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Université de Bourgogne - Dijon
Enrichir ses cours grâce au numérique : quoi, comm...
Université de Bourgogne - Dijon

Cette ressource médiatisée, qui s'inspire de l'atelier présentiel "Enrichir ses cours grâce au numérique : quoi, comment, pourquoi ?" co-développé par le CIPE et le service AIDE-numérique, PSIUN de l’université de Bourgogne, propose une sensibilisation au potentiel du numérique pour enrichir ses cours et faire évoluer ses approches pédagogiques.

La ressource ECN aborde cette question sous trois angles (Pourquoi ? Comment ? Quoi ?) pour interroger l'apport du numérique au soutien de différents objectifs, par exemple le développement de la coopération/collaboration, des capacités d’analyse critique et de la créativité, ou l’amélioration des interactions entre étudiants et enseignants par des pédagogies actives (pédagogie inversée, par projet, etc.).

Regards sur le trio pour violon, cor et piano de G...
Université de Bourgogne - Dijon

Ce web-documentaire aborde une œuvre phare de la musique du XXe siècle. Il s’inscrit dans un projet de recherche sur l’interprétation de la musique de Ligeti mené par le GREAM (Groupe de Recherches Expérimentales sur l'Acte Musical). 

Il est  principalement destiné aux étudiants qui suivent des études de musicologie à l’université ou des études d’interprète dans un Pôle d’Enseignement Supérieur de la Musique ou un Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse.

Il a pour objectif d’éclairer le rapport entre la partition écrite, avec son langage spécifique et ses exigences techniques et expressives, et l’interprète qui doit transmettre l’œuvre au public avec sa propre sensibilité et sa compréhension de l’œuvre.          

Le web documentaire comporte deux parcours et des ressources documentaires :

- Le premier est constitué par la captation d’un concert-lecture filmé en mai 2014 au Consortium à Dijon. Pierre Michel, musicologue spécialiste de Ligeti, propose des éléments historiques et analytiques de l’œuvre et invite les musiciens de l’Ensemble intercontemporain à jouer des extraits. Des incrustations de partitions illustrent les propos de Pierre Michel et des liens permettent d’approfondir certains aspects de l’œuvre en visionnant des extraits de l’enregistrement synchronisés avec la partition.

- Le second, intitulé « Le Trio interprété », est l’œuvre interprétée dans son intégralité par Diego Tosi (violon), Jean-Christophe Vervoitte (cor), Dimitri Vassilakis (piano),  musiciens de l’Ensemble Intercontemporain. Un schéma formel permet à l’utilisateur du web-documentaire de se repérer dans le déroulement de chaque mouvement.

- Les ressources documentaires comportent :

  • neuf extraits de l’œuvre synchronisés avec la partition et agrémentés d’explications textuelles ou graphiques, 
  • des vidéos : Ligeti et Brahms, Ligeti et l'avant garde, Ligeti et l'émotion, Le cor naturel,
  • un extrait d’une émission radiophonique où Ligeti parle de son œuvre,
  • des esquisses des 1er et 2e mouvements du Trio commentés par Pierre Michel.
La dénonciation dans l'Union Soviétique des années...
Université de Bourgogne - Dijon

La lecture de la lettre de Vera Riabova permet de mettre en valeur une idée fondamentale, celle de la pertinence du mot dénonciation dans le double sens qu’il a en français. On parle ainsi aussi bien de la dénonciation d’un individu, synonyme de délation, que de dénonciation d’une injustice. La lettre de Riabova est un mélange des deux.

Pour mieux comprendre la dénonciation, il faut en comprendre les acteurs. Ici :

- Le dénonceur : Riabova, anciennement mariée à un ingénieur réprimé quelques années auparavant, propriétaire de son logement. A sa vieille tante à charge.

- Le dénoncé : le couple Batenko-Odinokov. Provisoirement hébergé chez Riabova, il tente de l’évincer pour prendre son appartement. Utilise les services d’une bonne.

- L’instance auprès de qui l’on dénonce : le bureau des plaintes.

- Les acteurs extérieurs : la milice, Kalinine le chef de l’état.

Il s’agira ensuite de faire comprendre que la dénonciation est une stratégie : il est vital de convaincre son lecteur, de le pousser à l’action. Une lettre de dénonciation qui est classée est un échec pour le dénonciateur. Il faut donc montrer les éléments de cette stratégie de la conviction. On peut parler d’une « mise en texte » qu’il faudra expliquer, notamment grâce à une stratégie de la présentation de soi, et de l’autre, mais également grâce à une personnalisation du dysfonctionnement qui est au coeur de la pratique dénonciatrice soviétique.

La lettre Riabova : étude d'une lettre de dénoncia...
Université de Bourgogne - Dijon

Ce webdocumentaire destiné aux étudiants en 3e année de licence en Histoire permettra d’étudier une lettre de dénonciation, document issu des archives soviétiques et qui apporte des connaissances sur les mécanismes de dénonciation en URSS durant la période stalinienne.

Comprendre les motivations qui incitent la personne à écrire une lettre de dénonciation associée à la demande d’aide aux organes de pouvoir permet de mettre en valeur certains des dysfonctionnements de la société soviétique. L’étude de ce document par le biais de ce Web documentaire apporte un éclairage sur les sources de ces dysfonctionnements et explique le fonctionnement des structures sociales et politiques soviétiques et leur impact sur la vie économique, morale et sociale de l’individu en 1933.

L’étude de ce document, retrouvé dans les archives d’état de la région de Nijni-Novgorod, une grosse ville industrielle (la troisième du pays après Moscou et Saint-Pétersbourg), située sur les rives de la Volga à 400 kilomètres à l'est de Moscou, poursuit un triple objectif qui peut structurer ce web documentaire.

- Placer l’étudiant face à un document d’archive brut, interroger la source, sa forme, son origine, sa structure.

- Aborder la question de la dénonciation, de façon générale, mais également plus spécifique à la société stalinienne des années 1930.

- Découvrir l’histoire sociale de l’Union soviétique à travers trois questions essentielles, celles de l’alimentation, du logement et des rapports sociaux.

Chacune de ces trois dimensions est liée l’une à l’autre. C’est l’étude précise du document qui permet de comprendre qu’il s’agit d’une lettre de dénonciation, et c’est la réflexion sur ce qu’est une lettre de dénonciation qui introduit une dimension d’histoire sociale pertinente.

La société soviétique des années 30
Université de Bourgogne - Dijon

Approche fidèle ou image déformée de la réalité, la lettre de Riabova est un cas d'école pour l'historien et impose de se replonger dans le contexte de la société soviétique de l'époque. Entre idéal révolutionnaire dysfonctionnements multiples, six thèmes sont à explorer :

- Gorki ;

- Le logement ;

- L'alimentation ;

- Le contrôle social ;

- La collectivisation ;

- Les structures du pouvoir.

Le commentaire de source : méthodologie
Université de Bourgogne - Dijon

La lettre de Vera Nikolaevna Riabova est manuscrite, écrite à l’encre noire, d’une belleécriture régulière. On l’a retrouvé dans les fonds d’archives de l’Inspection ouvrière et paysanne de la ville de Gorki (le nom de Nijni Novgorod à partir de 1932) dans un dossier de 420 pages qui rassemble les « plaintes et déclarations des travailleurs au sujet des organisations publiques et des administrations » entre janvier et septembre 1933.

L’effort consiste donc à proposer une première étape de contextualisation du document, qui correspond en partie à ce que l’étudiant doit présenter dans son introduction. Il s’agira de présenter l’inspection ouvrière et paysanne, de s’interroger sur la taille du document, sur sa présentation. On doit également aborder ce qu’est la ville de Gorki, centre industriel fondamental dans l’organisation des premiers plans quinquennaux soviétiques, mais également présenter la période de 1932-33, forte de tensions sociales en URSS à l’origine de disette, voire de famine, liée à la collectivisation, difficultés alimentaires, contrôle social renforcé grâce à la mise en place d’un passeport intérieur, autant de thèmes abordés dans la lettre. Il faut expliquer le cadre général d’apparition du document, quand le détail des conséquences des politiques staliniennes sera abordé un peu plus tard.