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Des caractères pour former les caractères : un exc...
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Entretiens autour de l'ouvrage d'Innocenzo Ringhieri, "Dialogue de la vie et de la mort" du Musée de l’imprimerie et de la communication graphique.

Voir ne pas voir - Colloque Daniel Arasse
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Séance intitulée "La part de l'oeil", présidée par Eric Darragon (Université Panthéon SOrbonne - Paris 1). Hubert Damisch (EHESS) communique sur le thème : Voir ne pas voir. Colloque organisé à l'Institut national d'histoire de l'art (INHA - Paris) par l'Ecole normale supérieure les 8,9 et10 juin 2006, dans le cadre de la diffusion des savoirs de l'ENS. "Que voit-on dans un tableau ? Et si tout conspire à ce qu'on n'y voie guère, sinon rien, peut-on attendre de l'histoire qu'elle soit de quelque secours en la matière ? : Daniel Arasse en a fait le pari, mais pour y reconnaître une affaire moins de contexte que d'optique."

Hopper, ce n'est pas l'Amérique - Colloque "Vous a...
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Introduction par le président de séance Jean Kempf (université Lumière - Lyon II) du colloque "Vous avez dit Hopper ?", organisé par le Musée d'Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l'École normale supérieure le 14 mai 2004 et placé sous la responsabilité de Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glassman (TFA, MAAG). "Ce colloque sur l'effet Hopper pose la question de la circulation et de la superposition d'images dans des domaines artistiques différents qui caractérisent l'art d'aujourd'hui. Ce phénomène mérite aussi une analyse de l'image en tant que dépositaire d'une mémoire collective dans laquelle s'infiltrent des contenus identitaires et nationalistes. Les lieux et les personnages peints par Hopper sont devenus des icônes de la vie américaine, bien qu'ils relèvent d'un vocabulaire très personnel. Questionner le pourquoi de la projection d'américanité sur son œuvre permet de mieux comprendre certaines relations entretenues par le public français envers une Amérique imaginaire."

Relations culturelles internationales, acculturati...
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Communication de Pascal Ory (Université Panthéon Sorbonne - Paris 1) dans le cadre du colloque "Vous avez dit Hopper ?", organisé par le Musée d'Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l'École normale supérieure le 14 mai 2004 et placé sous la responsabilité de Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glassman (TFA, MAAG). "L'histoire de l’art serait incompréhensible sans la prise en compte de la dimension internationale : beaucoup d'artiste à titre individuel, beaucoup de groupes d'artistes, de mouvements, d'écoles ne peuvent s'interpréter qu'en relation avec une influence, ou contre-influence, d'essence étrangère. Modélisation, hégémonie, référence, ... : il ne s'agit jamais, au fond, que de la version exotique de la maîtrise. Dans le cas d'Edward Hopper le séjour en France, implicitement et explicitement, nous dit beaucoup sur, d'une part, l'attractivité de la France (ou faut-il dire de Paris ?) au début du XXe siècle et, tout particulièrement, la place que se désigne l'art américain à ses côtés, et, de l’autre, la manière, un peu compliquée, par laquelle Hopper a réglé son rapport avec elle – c'est-à-dire, comme toujours en pareil cas, avec soi."

Une liberté qui change tout ? Sartre et les moment...
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Des premiers romans aux ouvrages biographiques consacrés aux écrivains, en passant par les deux grands moments philosophiques de la guerre et des années soixante, Sartre décline de manière chaque fois singulière une même conception de la liberté qui tire toute son originalité d’une expérience originelle: celle de l’écrivain et de la littérature. De cette expérience découlent des conséquences philosophiques, morales, pratiques et politiques qui comportent à la fois des limites et des ressources pour la pensée.

 

Le Premier homme : Mémoire et manoeuvres intertext...
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Cette leçon présente Le Premier Homme comme une litanie de la déshérence, qui ne laisse aucun doute sur le statut précaire de l'Européen en terre algérienne.

Camus renverse la donne coloniale principalement à l'aide de deux oeuvres (Le manuscrit d'Eugène François et A l'aube de l'Algérie française : le calvaire des colons de 48).

L'intertextualité avec ces oeuvres est étudiée au plus près pour mettre en lumière l'opposition entre travail de la mémoire et rôle de l'Histoire.

Le Premier Homme : comment vivre sans Dieu ?
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Dans Le Premier Homme, Camus annonçait l'ouverture d'un troisième volet de son oeuvre : le cycle de l'amour, après ceux de l'absurde et de la révolte.

Le Premier Homme se constitue ainsi comme une nouvelle Genèse. Jacques Cormery, nouvel Adam, a cette particularité de s'avancer dans un univers sans créateur.

Si Camus se déclarait d'une incroyance « passionnée », on est frappé pourtant par la perpétuelle résurgence de la question de Dieu, grand absent-présent du Premier Homme.

La structure du manuscrit inachevé conduit Jacques Cormery à accepter la dérobade et l'oubli de l'origine, avant un ressourcement dans l'évocation de l'enfance.

(résumé auteur)

Politique de l'autobiographie chez Sartre
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Entre le récit autobiographique de Roquentin dans La Nausée et les dernières biographies dialoguées et filmées des années soixante-dix, se profile toute une nébuleuse de textes autobiographiques aux régimes multiples ; loin d'être sans unité, cet ensemble de textes est relié par la paradoxale conception sartrienne de l'écriture de soi, conception qui mobilise tant sa philosophie que sa conception de la politique.

Sartre à Venise, une palinodie
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L’attachement de Sartre à Venise est profond et durable, mais aussi mystérieux car tout chez Sartre paraît s’opposer à Venise. Sartre trouve à Venise la possibilité de changer radicalement de projet existentiel, d’être « un autre Sartre », d’écrire, à travers une utilisation fréquente de la métaphore, cette espèce de contre-Nausée qu’est La Reine Albemarle ou le dernier touriste, avant d’en sortir, et de revenir à son essai engagé sur Les communistes et la paix.