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Religions et Argent
Le Mans Université

Ce dixième module HEMED pose la question du rapport entretenu par les religions à l’argent qui est souvent paradoxal. Si la quête de spiritualité peut être jugée antinomique de l’entreprenariat et de la recherche de richesse, cette dernière est pourtant souvent lue comme le signe d’une élection. Cependant que faire dès lors des riches impies ? Le serpent se mord alors la queue… A l’autre bout du spectre l’on retrouve en effet l’association de l’argent à la magie ou à l’idolâtrie – image incontournable au début du christianisme à travers l’antinomie entre service de Dieu et service à Mamon. Incontournable est aussi la question de la promotion de l’ascèse particulièrement valorisée dans le christianisme mais que l’on rencontre également dans certaines branches du soufisme ou dans la sanctification de l’étude dans le judaïsme. De quoi, dès lors, la richesse ou l’absence de richesse est-elle le signe et comment en même temps assurer une forme de justice et d’équité entre les individus ? 

Religions et Argent - Le Webdocumentaire
Le Mans Université

Ce dixième module HEMED pose la question du rapport entretenu par les religions à l’argent qui est souvent paradoxal. Si la quête de spiritualité peut être jugée antinomique de l’entreprenariat et de la recherche de richesse, cette dernière est pourtant souvent lue comme le signe d’une élection. Cependant que faire dès lors des riches impies ? Le serpent se mord alors la queue… A l’autre bout du spectre l’on retrouve en effet l’association de l’argent à la magie ou à l’idolâtrie – image incontournable au début du christianisme à travers l’antinomie entre service de Dieu et service à Mamon. Incontournable est aussi la question de la promotion de l’ascèse particulièrement valorisée dans le christianisme mais que l’on rencontre également dans certaines branches du soufisme ou dans la sanctification de l’étude dans le judaïsme. De quoi, dès lors, la richesse ou l’absence de richesse est-elle le signe et comment en même temps assurer une forme de justice et d’équité entre les individus ?

Théories et pratiques de l'argent en religions
Le Mans Université

Composé de : « Vous ne pouvez servir Dieu et l'argent » : brève histoire de la réception de Mt 6,24 - Michel Grandjean (Université de Genève) L'argent dans l'islam - Abdelkrim Madoun (Université Ibn Zohr Agadir) Les Juifs et l'argent en Allemagne aux XVIIe-XVIIIe siècles : théories et pratiques de la figure du « Juif usurier » - Rachel Renault (Le Mans Université) Les revenus de l'Église maronite dans le vilayet de Sidon à la fin du XVIIIe s. - Karam Rizk & Grace Younès (Université du Saint Esprit de Kaslik)Les finances des habous et des zaouias - Mohamed El Mazouni (Université Ibn Zohr Agadir)

L'argent dans l'islam
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L'économie islamique prend ses racines dans la shar'ia. Par conséquent, les pratiques économiques et financières de la cité islamique doivent se conformer à l'ensemble de ses principes directeurs qui organisent non seulement les aspects spirituels, mais aussi tous les aspects de la vie quotidienne des populations musulmanes. Ainsi, l'économie islamique constitue un paradigme selon lequel les questions économiques ne sont plus considérées isolément mais dans le contexte global de tout un système social et culturel.Dans l'économie islamique les valeurs morales telles que l'équité, la liberté, la justice, l'honnêteté, etc. président. Cependant, toutes ces notions sont des termes abstraits qui possèdent des connotations différentes selon les sociétés, les périodes et les lieux, ce qui veut dire que l'expression « principes de l'islam » pour une économie islamique peut être vague. Le rôle de l'économie islamique, selon la shar'ia, est d'empêcher l'injustice dans l'acquisition des ressources matérielles et de fournir la satisfaction à l'homme devant Dieu et la société. Dans ce cadre religieux l'homme musulman est celui qui a peur de Dieu, il est pieux, vertueux, modeste, vrai, juste, sincère et altruiste, puisque par sa soumission à Dieu, il veut échanger les biens matériels de ce monde provisoire contre le paradis en respectant les valeurs les plus importantes.

« Vous ne pouvez servir Dieu et l'argent » : brève...
Le Mans Université

Parler de religion et d'argent implique à l'évidence d'examiner le rapport aux richesses et les relations entre riches et pauvres. C'est un thème qui, depuis les grands bouleversements du néolithique et les débuts de l'urbanisation, qui marque la première étape dans la monétarisation des économies, traverse toutes les sociétés humaines et toute l'histoire des représentations du monde. L'histoire des religions n'échappe pas à l'argent, ne serait-ce que dans la mesure où la relation à l'argent exprime avant tout les relations que les humains entretiennent entre eux. Dans les traditions bibliques, l'Argent est parfois même considéré comme une divinité dotée d'un pouvoir d'aliénation des humains (dans les pages qui suivent, on écrit, pour désigner cette puissance divinisée, avec un A majuscule).Nous n'allons pas prétendre ici relire toute l'histoire du christianisme à travers la question de l'argent mais nous allons nous fonder sur un passage aussi célèbre que bref du Nouveau Testament et tenter de montrer comment son interprétation se développe en deux traditions herméneutiques qui s'entrecroisent tout au long de l'histoire. 

Les Juifs et l'argent en Allemagne aux XVIIe-XVIII...
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En 1850, dans la Guerre des Paysans en Allemagne lorsqu'il évoque la révolte paysanne du Bundschuh en Alsace en 1493, Friedrich Engels écrit que :

"Les conjurés demandaient le pillage et l'extermination (Ausrottung) des Juifs, dont l'usure pressurait déjà, à cette époque, comme aujourd'hui encore, les paysans alsaciens." Pourtant, quarante ans plus tard, dans une longue lettre au banquier viennois Isidor Ehrenfreund, Engels adopte une position extrêmement claire qui condamne sans la moindre ambiguïté l'antisémitisme comme « la marque d'une culture arriérée », en rappelant que les Juifs sont nombreux dans le prolétariat et que le mouvement ouvrier doit presque tout aux Juifs. Quelques années auparavant, en 1844, Karl Marx publiait Sur la question juive, un texte également ambigu, et dont l'interprétation fait encore largement débat. Il y utilise le terme d'« émancipation » dans son sens conventionnel, pour faire référence à la citoyenneté moderne en général, et à l'acquisition par les Juifs de la citoyenneté en particulier. Mais cette « émancipation » désigne également une forme plus large de libération : libération de toute l'humanité vis-à-vis d'une économie de marché oppressive, libération des relations liées à la propriété privée, et du commerce. Or, Marx utilise parallèlement le terme allemand qui désigne à la fois les Juifs et le judaïsme (Judentum) comme un synonyme de « commerce ». L'émancipation des Juifs (au sens de Jewish emancipation – c'est-à-dire l'accession des Juifs à la citoyenneté) est dans le même temps l'émancipation from Judaism, au sens d'une libération « du judaïsme », qui équivaut aussi à une libération du (au sens de : « par rapport au ») commerce. Les trois sont presque indissociables dans son argumentation.

Capitalisme, finance et religions - Enjeux contemp...
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Composé de : Protestantisme et capitalisme : la théorie de Max Weber - Sarah Scholl (Université de Genève) Être riche et chrétien. Les associations catholiques des dirigeants, cadres et patrons (1920-2019) (Belgique-France) - Cécile Vanderpelen (Université Libre de Bruxelles) Les enjeux de la finance islamique contemporaine : le cas du Maroc - Abdelkrim Madoun (Université Ibn Zohr Agadir) Le financement public du culte musulman en Europe - Caroline Sägesser (Université Libre de Bruxelles)

Les finances des habous et des zaouias
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Le habous qui peut également être appelé waqf, est une institution juridique qui trouve son origine dans l'une des paroles du prophète Mohammad. Cette dernière rapporte une directive prévoyant l'immobilisation d'un fonds de sorte qu'il ne soit ni donné, ni vendu, et que ses revenus reviennent à l'aumône. En arabe, la racine H B S : habbasa signifie : immobiliser, emprisonner (la racine W Q F pour waqf a une signification approchante). Créer un habous c'est donc rendre inaliénable un bien suivant les règles de la loi islamique, pour en attribuer le revenu à une œuvre. Autrement dit, il s'agit d'extraire un bien hors de la sphère du commerce, à l'abri de toute aliénation pour qu'il serve l'intérêt général.

Les enjeux de la finance islamique contemporaine :...
Le Mans Université

Les banques traditionnelles, qui fonctionnent avec une philosophie morale dite capitaliste ne sont pas toujours adaptées aux principes fondamentaux et à la moralité économique de l'Islam qui interdit le profit ou intérêt (ribâ) prohibé par la shar'ia. Avec l'essor de l'islam politique depuis les années 1960, plusieurs pays ont donc choisi d'intégrer dans leurs systèmes économiques des banques islamiques se référant aux règles shariatiques, soit par conviction religieuse soit par conviction économique, afin d'attirer plus de fonds appartenant à des bailleurs venus de pays majoritairement musulmans. Les racines et les principes de la finance islamique sont aussi vieux que la religion elle-même. En effet, la jurisprudence des transactions (Fiqh Al Moamalat) constitue depuis des siècles un cadre structurant, déterminant toutes les transactions financières des musulmans. Cette discipline a produit une terminologie spécifique qu'on va analyser ici.