UOH stamping
  • UOH stamping (98)

Discipline
  • Arts (1)
    • Arts du spectacle (1)
      • Théâtre (1)
  • Langues, Littératures et Civilisations étrangères (17)
    • Arabe (15)
      • Civilisation (15)
    • Langues et cultures des régions de France (1)
      • Occitan, Provençal et Catalan (1)
    • Langues étrangères-Approches transversales et méthodologie (1)
      • Approches transversales (1)
  • Lettres classiques, Langues et Littératures françaises et de France (1)
    • Littératures française et de langue française (1)
      • Littérature dramatique (1)
  • Sciences de l'homme (168)
    • Homme-Approches transversales et méthodologie (1)
      • Méthodologie (1)
    • Philosophie (6)
      • Philosophie politique (6)
      • Philosophies occidentales de l'Antiquité et du Moyen-Age (1)
    • Sciences des religions (168)
      • Autres religions (11)
      • Christianisme - Théologie doctrinale (3)
      • Christianisme - Vie, culte et pratique religieuse (12)
      • Histoire et théorie de la religion - concepts transversaux - analyses comparées (150)
      • Islam, babisme et foi bahaïe (29)
      • Judaïsme (5)
      • Église chrétienne et sociétés (approches sociales et historiques) (11)
    • Sciences du langage (1)
      • Sociolinguistique (1)
  • Sciences de la société (143)
    • Géographie, Aménagement (2)
      • Géographie humaine (2)
      • Géographie physique (1)
      • Géographie économique et régionale (1)
    • Histoire, Histoire de l'Art, Archéologie (142)
      • Histoire de l'Afrique (3)
      • Histoire de l'Amérique du Nord (2)
      • Histoire du monde ancien, jusqu'à 499 après J.C. (3)
      • Histoire générale (138)
    • Sciences de l'éducation (1)
      • Philosophie et théorie de l'éducation (1)
    • Sociologie, Démographie, Anthropologie (5)
      • Sociologie des processus sociaux (1)
      • Théories sociologiques, ethnologiques, anthropologiques et méthodologie (4)
    • Société-Approches transversales et méthodologie (3)
      • Approches transversales (3)

Level
  • Doctorat (1)
  • Enseignement supérieur (173)
  • Formation continue (1)
  • Formation professionnelle (1)
  • L1 (69)
  • L2 (36)
  • L3 (35)
  • Licence (108)
  • M1 (89)
  • M2 (73)
  • Master (101)

  • Autres (1)
  • Conférence, table ronde et entretien (type UOH) (22)
  • Essentiel (type UOH) (2)
  • Etude de cas (1)
  • Etude et document (type UOH) (9)
  • Exercice (10)
  • Glossaire (18)
  • Grande Leçon (type UOH) (157)
  • Méthodologie (1)
  • Webdocumentaire (1)
  • Webographie, bibliographie (25)
173 results for your query 'Histoire%20des%20religions'
Descending sort by
Violence (symbolique) et histoire des religions
Le Mans Université

L'existence potentielle d'une vraie religion, d'origine universelle (adamique ou naturelle), est reconnue par des penseurs juifs, chrétiens et musulmans.

Il serait possible, selon eux, d'en reconnaître l'influence chez des païens ; cette idée ouvre la porte à des spéculations portant sur des traces de la vérité au sein même de ce que la foi réprouve comme relevant de l'erreur ou de l'idolâtrie.

Les théologiens chrétiens du christianisme antique hésitent alors entre deux scénarios explicatifs : soit ils postulent (comme le font Tertullien et Augustin d'Hippone) l'existence de païens éclairés par la lumière naturelle, conscients de l'existence d'un seul et unique dieu créateur ; soit ils affirment (parmi d'autres : Justin de Naplouse , Lactance ) que dans les élucubrations les plus délirantes du paganisme, et dans les tromperies elles-mêmes du Démon, on peut rencontrer des vérités voilées, déformées, mais bien présentes.

Guerre et Paix en Islam
Ecole normale supérieure de Lyon

Accédez aux 14 micro-ressources qui constituent ce cours grâce aux hyperliens du bloc Voir aussi de cette page.

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

Religions et mystiques
Le Mans Université

L’expérience mystique en religion n’est sans doute pas le phénomène le plus facile à saisir. Loin d’être le fruit d’une abstraction intellectuelle, elle est un cheminement, souvent personnel, dont l’expression, quand elle n’est pas simplement cachée, use et abuse des symboles et hyperboles propres à un certain langage poétique entraînant d’importantes difficultés herméneutiques. Les expériences mystiques s’expriment dans toutes les religions et en dépit des divergences fondamentales entre les religions immanentes du sous-continent indien, d’Asie orientale, d’Océanie, d’Afrique ou d’Amérique d’une part, et, d’autre part, les religions transcendantes en particulier les trois principaux monothéismes que sont le judaïsme, le christianisme et l’islam, elles se recoupent, à travers leurs cheminements, leurs pratiques voire leurs mots pour se dire, de façon tout à fait passionnante. 

* Evelyn de Morgan, Hope in a Prison of Despair (1887), Huile sur panneau (68×55), coll. particulière, domaine public

Religions et Argent
Le Mans Université

Ce dixième module HEMED pose la question du rapport entretenu par les religions à l’argent qui est souvent paradoxal. Si la quête de spiritualité peut être jugée antinomique de l’entreprenariat et de la recherche de richesse, cette dernière est pourtant souvent lue comme le signe d’une élection. Cependant que faire dès lors des riches impies ? Le serpent se mord alors la queue… A l’autre bout du spectre l’on retrouve en effet l’association de l’argent à la magie ou à l’idolâtrie – image incontournable au début du christianisme à travers l’antinomie entre service de Dieu et service à Mamon. Incontournable est aussi la question de la promotion de l’ascèse particulièrement valorisée dans le christianisme mais que l’on rencontre également dans certaines branches du soufisme ou dans la sanctification de l’étude dans le judaïsme. De quoi, dès lors, la richesse ou l’absence de richesse est-elle le signe et comment en même temps assurer une forme de justice et d’équité entre les individus ? 

Mourir en martyr de la foi. L'exemple du christian...
Le Mans Université

Le martyre, la mort en martyr de la foi, est une forme particulière de violence religieuse. Son histoire est longue et complexe, étroitement liée à celle du christianisme. Mais la notion permet aussi d'interroger d'autres traditions et, surtout, elle est d'une grande actualité. Loin d'être une réalité du passé, le martyre connaît en quelque sorte un nouvel « âge d'or » depuis le milieu du XXe siècle. En ce début de XXIe siècle, les martyrs, et notamment ceux qui se réclament de « vérités » religieuses, semblent encore avoir de beaux jours devant eux.

L'idéal d'un régime islamique et l'usage de la vio...
Le Mans Université

Le mouvement des Feda'iyan-e islâm est créé après la Seconde Guerre mondiale, en Iran. Même s'il a été marginal puisqu'il n'a jamais bénéficié d'une assise populaire importante, y compris parmi les jeunes et qu'il n'a pas été bien accueilli parmi les écoles religieuses et les ulémas – le mouvement des Feda'iyan-e islâm a eu un impact politique important pendant la période de nationalisation du pétrole iranien. Les Feda'iyan nourrissent l'espoir de l'instauration d'un régime islamique et légitiment l'usage de la violence en commettant notamment des assassinats qui visent leurs adversaires politiques. Ils perçoivent « la violence comme un acte politique de protection, de purification de la communauté, [produit d'une part à l'encontre] de groupes ou d'individus [considérés] comme hérétiques ou infidèles, etc.) [et d'autre part] contre des comportements [vus comme] déviants ».

Religions, droits et libertés
Le Mans Université

Ce neuvième module HEMED pose la question de la prétention des religions à légiférer et de leur capacité à construire et à imposer un cadre légal apte à assurer un régime d’équité entre les fidèles. La question se corse quand il s’agit de résoudre le problème des droits et des libertés à accorder aux minorités religieuses. Ces questionnements déjà particulièrement difficiles se complexifient encore avec l’irruption de la modernité et la construction d’autorités étatiques ne se réclamant plus d’une religion particulière et ne fondant plus (ou non exclusivement) leurs législations sur les préconisations des autorités religieuses. De puissants conflits de magistère opposent les tenants du droit religieux aux défenseurs des droits de l’homme. Les situations restent très contrastées des deux côtés de la Méditerranée. Alors qu’il reste difficile voire impossible pour les citoyens des États majoritairement musulmans de changer de religion ou de professer l’athéisme, en Europe ce n’est plus tellement la liberté du non-croyant ou de la minorité religieuse qui pose question mais celle du confessant qui attend que ses convictions et sa liberté de religion – professer, porter des signes religieux distinctifs, se nourrir selon les prescrits religieux… – ne soient pas bridées par la loi. 

Les Miroirs des princes : une pensée réaliste de l...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

La pensée de la guerre dans les Miroirs des prince...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.