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33 results for your query 'Le%20Prince'
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Machiavel - Chapitre 8 du prince - la question de ...
Ecole normale supérieure de Lyon

Il s'agit, en plus de l'initiation à la pensée de Machiavel, de mettre en évidence une approche des textes dans une conjoncture (ce que Machiavel nomme la qualità dei tempi, la qualité des temps.

Il s'agira donc d'initier les auditeurs à une lecture des textes liée aux enjeux historiques qui déterminent et donnent sens à leur écriture : philologie et historicisation seront donc au coeur de cette démarche.

Une telle approche peut selon nous fournir des éléments de connaissance sur Machiavel et son époque et permettre une initiation à la méthodologie de l'approche critique des textes nécessaires aux étudiants qui terminent leur licence en études italiennes, en philosophie ou en science politique.

Les fondements théoriques de cette approche s'appuient sur les travaux de « traduction critique » de Fournel et Zancarini et du groupe des italianistes de l'UMR Triangle, CNRS, ENS LSH, IEP de Lyon, université Lumière Lyon 2 (Savonarole, Francesco Guicciardini, Machiavel), sur l'ouvrage de Fournel et Zancarini, La politique de l'expérience, Alessandria, edizioni dell'Orso et sur celui de Michel Senellart, Les arts de gouverner, Paris, Le Seuil.

Le prince de Machiavel - Il principe di Niccollò M...
Ecole normale supérieure de Lyon

Il s'agit, en plus de l'initiation à la pensée de Machiavel, de mettre en évidence une approche des textes dans une conjoncture (ce que Machiavel nomme la qualità dei tempi, la qualité des temps). Il est donc question d'initier les auditeurs à une lecture des textes liée aux enjeux historiques qui déterminent et donnent sens à leur écriture : philologie et historicisation sont au c½ur de cette démarche. Une telle approche peut selon nous fournir des éléments de connaissance sur Machiavel et son époque et permettre une initiation à la méthodologie de l'approche critique des textes nécessaires aux étudiants qui terminent leur licence en études italiennes, en philosophie ou en science politique. Les fondements théoriques de cette approche s'appuient sur les travaux de « traduction critique » de Fournel et Zancarini et du groupe des italianistes de l'UMR Triangle, CNRS, ENS LSH, IEP de Lyon, université Lumière Lyon 2 (Savonarole, Francesco Guicciardini, Machiavel), sur l'ouvrage de Fournel et Zancarini.

Lo Stato
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Les essentiels : La philo par les mots - Lo Stato

11 - Machiavel. Le Prince. Problématique générale ...
Ecole normale supérieure de Lyon

Comprendre les enjeux de l'écriture du Prince implique d'avoir à l'esprit le moment des guerres d'Italie et les effets de ces guerres sur la cité de Machiavel.

Les guerres d'Italie constituent une coupure fondamentale dont le sens n'échappe pas aux contemporains : tout a été bouleversé par l'arrivée des troupes françaises en Italie en 1494.

Le cours présente les grands concepts qui donnent sens à l'écriture du Prince :

  • l'analyse pragmatique des faits et de leurs effets (andare drieto alla verità effettuale della cosa ("suivre la vérité effective de la chose", chapitre XV, 3) ;
  • l'analyse de la conjoncture (la qualità de tempi) ;
  • la réflexion sur les liens entre virtù et fortuna (la virtù devenant ce qui permet de résister à la fortuna) ;
  • la question de la guerre extérieure comme axe central de la réflexion du Prince.
Le genre des miroirs des princes dans l'histoire d...
Ecole normale supérieure de Lyon

Le genre des miroirs des princes occupe une place quelque peu marginale dans l'histoire des idées politiques. Il traite, en effet d'un thème "les vertus du bon prince" qui relève davantage de l'exhortation morale ou de la prédication religieuse que de la théorie politique. Si son origine remonte à l'antiquité, il apparait essentiellement comme un genre médiéval renouvelé certes par l'éthique humaniste du Quattrocento mais remise en cause dans sa substance même, par les conditions nouvelles de la vie politique.

Le temple du prince saint Echmoun. Sanctuaire puri...
Le Mans Université

La Phénicie est formée de plusieurs cités-états et sa religion officielle est liée à la cité. Chaque cité cherchant une autonomie propre crée son dieu ou ses dieux et ses déesses auxquels elle consacre un culte. À la tête de chaque panthéon règne une divinité. Celle-ci est maîtresse du lieu et protectrice de la cité, notamment de la figure royale. Elle est généralement associée à une autre divinité formant ainsi un couple divin. Seul El (El signifie premier), est le dieu créateur de la terre, donc par le fait même père des dieux et des hommes ; il est un dieu commun à tous les habitants de la Phénicie. 

Les Miroirs des princes : ruses et stratagèmes (Co...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

Les Miroirs des princes : définir la guerre (Cours...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

Les Miroirs des princes : une pensée réaliste de l...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.