Etude de quelques matrices en arabe.

Etude de quelques matrices en hébreu

Mise en place du cadre général : radical ; étymon ; matrice.

Les études antérieures (Gesenius ; Gesenius et Kautzsch). Le développement des étymons en arabe (début).

Le développement des étymons en arabe (suite).

Étude de la préfixation et de l'incrémentation. Le croisement des étymons.

Le développement des étymons en hébreu

Les matrices. La liaison du trait phonétique et du sens, la motivation mimophonique du signe linguistique.

Une propriété remarquable des étymons. Le non-ordonnancement, étudiée en arabe et en hébreu.

La notion de racine.

Démonstration en arabe : les locuteurs sont incapables d'analyser les mots en racines. Néanmoins, ils sont parfaitement capables de lire, c'est donc que la capacité à lire n'a rien à voir avec l'identification de la racine. Données qui, avant toute analyse, montrent que la notion de racine ne rend pas compte des relations phono-sémantiques dans le lexique, en arabe et en hébreu.

La matrice {[labial], [dorsal]} et l'arbitraire du signe, la matrice {[labial], [dorsal]} et la langue mère de Ruhlen. Conséquences générales de l'organisation en matrices, étymons, radicaux : l'explication de l'homonymie et de l'énantiosémie en arabe et en hébreu.