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La caféiculture en Amérique Latine
Université Toulouse - Jean Jaurès

Une approche de la caféiculture en Amérique Latine à travers différents thèmes : le milieu biogéographique du café, l'histoire du café, la production et l'exploitation du café et le café d'aujourd'hui, les cafés de demain.

DERNIERS CHASSEURS-CUEILLEURS ET PREMIERS PAYSANS ...
Université Toulouse - Jean Jaurès

Le projet « Derniers chasseurs-cueilleurs et premiers paysans : la fin de la Préhistoire en Europe » propose une ouverture inédite à ce jour sur un moment crucial mais souvent mal connu de l’histoire des populations européennes : la fin de la Préhistoire.

La Préhistoire est une période courte –quelques milliers d’années seulement, même pas 0,5 % de l’immensité des temps préhistoriques-  mais extrêmement dense en nouveautés et en changements décisifs, avec la disparition progressive des derniers chasseurs-cueilleurs-collecteurs et l’arrivée par l’Est des premières sociétés agro-pastorales, les deux évènements étant bien entendu intimement liés.

Le projet se structure autour de deux Grandes Leçons : une sur le Mésolithique, qui propose une vision d’ensemble de cette période de transition mal connue du grand public, mais traditionnellement enseignée à Toulouse depuis plus de 50 ans ; l’autre sur le Néolithique, avec une perspective historiographique inédite offerte par le plus grand spécialiste français de la période, premier et dernier titulaire de la chaire de Préhistoire récente du Collège de France. 

Ces leçons seront complétées par une série de 4 web documentaires vidéo venant éclairer ou préciser un point particulier abordé dans les leçons : visites de deux gisements archéologiques de référence (un par période et par leçon) qui font actuellement l’objet de fouilles et renouvellent la vision que l’on a des périodes considérées.

1 webdocumentaire, mettant en scène un tailleur expérimental, viendra également apporter une vision globale et dynamique de l’évolution des techniques de taille de la pierre tout au long de la Préhistoire.

L'effondrement de l'émirat, l'anarchie et les form...
Le Mans Université

L'effondrement de l'émirat des Chéhab, lié à la crise égypto-ottomane et à l'action des Puissances européennes en Orient, ouvre une longue période d'instabilité au Mont-Liban. Les Ottomans essayent de prévenir tout changements susceptibles d'être inconciliable avec leurs intérêts. Les accords politiques sont ponctués par des guerres internes et des mouvements paysans exprimant des revendications sociales. Les divisions resurgissent. 

La colonisation agricole du Brésil
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Le Mato Grosso est un état du Brésil d'environ 900 000 km2 et l'Amazonie Matogrossense représente la moitié nord de cette région. La colonisation agricole s'est mise en place dans les années 70 avec l'ouverture des routes et elle se poursuit à l'heure actuelle selon trois modes de mise en valeur : Une colonisation spontanée au profit de paysans sans terre, une clonisation publique avec des lots de 50 à 200 hectares, et une colonisation privée avec des exploitations qui peuvent atteindre 100 000 hectares dans certains cas. Savanes et forêts disparaissent progressivement, remplacées par des pâturages et par la culture du soya, du coton et de la canne à sucre.

L'émirat des Chéhab (1697-1841). Le mandat de Béc...
Le Mans Université

L'émirat du Mont-Liban constitue une entité politique propre au sein de l'Empire ottoman. Il possède une autonomie relative et surtout un statut particulier qui le distingue de nombreuses institutions ottomanes connues, dont la nature est principalement fiscale. La dynastie Maan est la première à avoir régi l'émirat, depuis la conquête ottomane des provinces arabes en 1516 jusqu'à son extinction en 1697. L'émirat se compose de notables et de paysans enserrés dans une société d'ordres quasi immuable. Le pouvoir passe alors aux mains des Chéhab, descendants de Quraysh, originaires de La Mecque et établis à Hasbayya à Wadi t-Taym pour combattre les Francs. 

Eau et sacré dans le Maghreb antique (époque romai...
Le Mans Université

Durant l'Antiquité, l'eau est au centre des préoccupations religieuses des Africains du nord : pluies, sources et fleuves sont investis d'une valeur sacrée, valeur d'autant plus grande que le Maghreb antique est avant tout une région peuplée de paysans et de pasteurs pour qui la fertilité des moissons et la fécondité des troupeaux sont les plus précieux des dons divins. Le caractère sacré de ces eaux est rattaché dans leur esprit à la présence tutélaire d'une force à laquelle ils donnent le nom de génie ou de divinité. Ce qui fait que cette eau sacrée reflète un sentiment de crainte d'une réalité surnaturelle qui dépasse leurs connaissances et leurs conceptions. 

Les Juifs et l'argent en Allemagne aux XVIIe-XVIII...
Le Mans Université

En 1850, dans la Guerre des Paysans en Allemagne lorsqu'il évoque la révolte paysanne du Bundschuh en Alsace en 1493, Friedrich Engels écrit que :

"Les conjurés demandaient le pillage et l'extermination (Ausrottung) des Juifs, dont l'usure pressurait déjà, à cette époque, comme aujourd'hui encore, les paysans alsaciens." Pourtant, quarante ans plus tard, dans une longue lettre au banquier viennois Isidor Ehrenfreund, Engels adopte une position extrêmement claire qui condamne sans la moindre ambiguïté l'antisémitisme comme « la marque d'une culture arriérée », en rappelant que les Juifs sont nombreux dans le prolétariat et que le mouvement ouvrier doit presque tout aux Juifs. Quelques années auparavant, en 1844, Karl Marx publiait Sur la question juive, un texte également ambigu, et dont l'interprétation fait encore largement débat. Il y utilise le terme d'« émancipation » dans son sens conventionnel, pour faire référence à la citoyenneté moderne en général, et à l'acquisition par les Juifs de la citoyenneté en particulier. Mais cette « émancipation » désigne également une forme plus large de libération : libération de toute l'humanité vis-à-vis d'une économie de marché oppressive, libération des relations liées à la propriété privée, et du commerce. Or, Marx utilise parallèlement le terme allemand qui désigne à la fois les Juifs et le judaïsme (Judentum) comme un synonyme de « commerce ». L'émancipation des Juifs (au sens de Jewish emancipation – c'est-à-dire l'accession des Juifs à la citoyenneté) est dans le même temps l'émancipation from Judaism, au sens d'une libération « du judaïsme », qui équivaut aussi à une libération du (au sens de : « par rapport au ») commerce. Les trois sont presque indissociables dans son argumentation.

Bonnets rouges : Une révolte rurale en Bretagne (1...
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Collection "Les Bretons et leur Histoire" Bonnets rouges ! Le nom sonne bien, et il évoque à certains la grande révolte paysanne qui affecte presque toute la Basse-Bretagne (la partie bretonnante, à l'Ouest) en 1675. Au-delà de ce vague souvenir, presque rien, sinon pour quelques-uns une image populiste, voire révolutionnaire, et évidemment quelque peu déformée... L'imprécision du souvenir et du savoir se comprend. De ce qui fut la seule grande révolte rurale de tout le règne de Louis XIV, il ne reste presque rien de palpable : de très rares traces monumentales, quelques aussi rares chansons oubliées, et les archives... Les archives, justement... Il en reste assez peu, et leur difficulté rebute celui qui n'en est pas spécialiste. Nous avons pourtant choisi d'y avoir largement recours : le livret, comme le film, les cite très largement, et aussi scrupuleusement qu'il est possible. Mais nous avons choisi aussi de recourir, quand il le fallait, à une mise en scène, à des procédés de fiction. Comment faire partager l'émotion, sans cette alliance du document clinique et du talent du réalisateur et des acteurs ? L'émotion ? oui. Elle n'interdit aucunement une démarche scientifique, mais elle aide à entrer dans l'univers de la dame de Montgaillard, du supplice du Grand Moign, de Sébastien Le Balp, des paysans bigoudens souvent anonymes, et de l'ineffable marquise de Sévigné.

Vivre en Bretagne, de Jean V à la Duchesse Anne
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Collection "Les Bretons et leur Histoire" La mer, le sel, le vin. La terre. Les métiers de la ville. Des échanges à échelle modeste, mais une expansion marquée. La masse des paysans, une abondante petite noblesse, une aristocratie très puissante. Autant de notes concrètes, quotidiennes, que le film ordonne et insère dans une culture exclusivement en breton pour la moitié de la population- dominée par la religion, par la très grande importance de la vie paroissiale, le culte des saints, les pèlerinages. L'Eglise y enseigne par l'image, celle des calvaires comme à Tronoën, celle des jubés comme à Saint-Fiacre du Faouët, celle des fresques comme à la chapelle de Kermaria en Plouha. Danse macabre, crainte de l'Enfer... La Bretagne du 15e siècle est celle de l'éclat de la puissance ducale (qu'a présentée un premier film, l'Etat breton de Jean V à la Duchesse Anne), celle d'une réelle prospérité économique, celle d'une paisible religion quotidienne, mais aussi une Bretagne de misère, de souffrance et de peurs.