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Entretien avec Jacqueline Lagrée - Série thématiqu...
Spinoza et le débat religieux : Après avoir rappelé comment, à partir de l'étude de la religion naturelle au 17ème siècle, elle en est venue à la philosophie de Spinoza, Jacqueline Lagrée livre dans cet entretien sa méthode de lecture de la philosophie spinoziste et revient sur les principaux thèmes développés dans son ouvrage, principalement autour de la position religieuse personnelle du philosophe. Entretien par Gérard Wormser
Les religions (Cours : le paléolithique supérieur ...
Fiche textuelle de synthèse sur les religions du paléolithique supérieur.
Le créationnisme dans les milieux évangéliques éta...
A la différence d'autres sujets liés à l'histoire des sciences, le créationnisme est une question sensible dans un certain nombre de milieux religieux contemporains. Ce caractère sensible implique d'expliciter d'entrée de jeu le lieu d'où l'on parle et la position méthodologique que l'on suit. L'optique adoptée est celle de l'histoire du christianisme. Il ne faut donc chercher dans ces pages ni une contribution à l'histoire des sciences en tant que telle, ni un exposé philosophique ou théologique sur la question de la création du monde. Formé dans le contexte d'une université européenne (celle de Genève, en Suisse), qui doit son origine au contexte chrétien, notamment au protestantisme, et qui revendique aujourd'hui une orientation laïque, l'auteur de ce chapitre enseigne dans une Faculté qui garantit à ses membres la liberté académique, ce qui exclut toute inféodation à quelque position idéologique que ce soit, fût-elle défendue par tel ou tel lobby protestant.
Dans ce cadre, le créationnisme est historiquement considéré comme une doctrine qui part de certitudes religieuses, en l'occurrence la notion de création telle qu'elle est interprétée à partir de la Bible et qui cherche à vérifier ces certitudes en leur apportant la caution de la science. D'un point de vue philosophique, une telle démarche mêle des catégories qui doivent être méthodologiquement distinguées, en cela qu'elle postule une finalité à tous les phénomènes naturels et qu'elle se fonde sur des textes considérés comme révélés (la Bible, et en particulier le récit de la création tel qu'il figure dans les premiers chapitres de la Genèse) pour élaborer un discours à prétention scientifique. Paul Clavier a montré, du point de vue philosophique qui est le sien, qu'il est parfaitement possible d'envisager une philosophie ou une théologie dans laquelle un agent transcendant a joué ou joue un rôle dans le surgissement et dans le devenir du monde (cf. Qu'est-ce que le créationnisme ?, 2012). Mais il s'agit alors d'une affirmation métaphysique, qui ne saurait d'aucune façon interférer avec la démarche scientifique. Ces raisons, qu'on pourrait longuement développer, justifient d'une part que le créationnisme ne soit pas considéré comme une science, mais bien comme une idéologie religieuse (et cela quoi qu'en disent ses porte-parole) ; d'autre part que cette doctrine ne soit pas enseignée dans les facultés des sciences des universités européennes.
Sciences et religions à l'époque contemporaine XIX...
La relation entre science et religion est un thème d’étude controversé. Parmi les enjeux historiographiques figurent la caractérisation de ce qui s’est passé dans l’Europe du XVIIe siècle et la place de l’héritage religieux, juif, chrétien et musulman. Le contenu du module d’histoire HEMED se place en aval de cette période, en distinguant trois volets le premier consiste à montrer comment les « sciences humaines et naturelles » ont acquis une indépendance à l’égard du « savoir religieux » ; le deuxième est centré sur la variété des réactions des autorités religieuses face au progrès scientifique et technologique ; le troisième vise à rendre compte de débats contemporains autour des questions épistémologiques. La spécificité de l’approche consiste à ne pas séparer a priori l’histoire de milieux culturels trop souvent présentés comme des blocs fossilisés.
Violence (symbolique) et histoire des religions
L'existence potentielle d'une vraie religion, d'origine universelle (adamique ou naturelle), est reconnue par des penseurs juifs, chrétiens et musulmans.
Il serait possible, selon eux, d'en reconnaître l'influence chez des païens ; cette idée ouvre la porte à des spéculations portant sur des traces de la vérité au sein même de ce que la foi réprouve comme relevant de l'erreur ou de l'idolâtrie.
Les théologiens chrétiens du christianisme antique hésitent alors entre deux scénarios explicatifs : soit ils postulent (comme le font Tertullien et Augustin d'Hippone) l'existence de païens éclairés par la lumière naturelle, conscients de l'existence d'un seul et unique dieu créateur ; soit ils affirment (parmi d'autres : Justin de Naplouse , Lactance ) que dans les élucubrations les plus délirantes du paganisme, et dans les tromperies elles-mêmes du Démon, on peut rencontrer des vérités voilées, déformées, mais bien présentes.
Les études des sciences humaines sur le genre : qu...
Depuis une quarantaine d'années, les sciences humaines interrogent les rapports de forces à l'œuvre dans la construction et la reproduction de la différenciation entre les rôles masculins et féminins. Il en a résulté, notamment, une remise en question de la détermination biologique qui conditionne ces rôles. Une partie de la hiérarchie catholique s'inquiète de ce phénomène qui, selon elle, met en danger l'ordre "naturel" de la société. Elle craint que la division traditionnelle homme/femme soit menacée à l'intérieur de la famille, dans la filiation, mais également dans l'institution ecclésiale puisque le sacerdoce, exclusivement masculin, est remis en question.
Ambiguïtés et fonctions de la mort dans le théâtre...
Ce cours se divise en plusieurs parties :
- Introduction : pourquoi parler de la mort au théâtre ?
- Mort et genres dramatiques ;
- La représentation de la mort dans le théâtre français ;
- Statuts dramaturgiques de la mort dans le théâtre français ;
- Sémantisme de la mort en scène.
Portulan (Roland Pécout, un écrivain voyageur)
Recueil des poèmes Portulan I et Portulan II