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Entretien de Pierre Girard et Philippe Audegean au...
C'est à un jeune Milanais de 26 ans que l'on doit une ½uvre majeure des Lumières européennes. Dans Des délits et des peines, Cesare Beccaria dénonce la torture, les supplices, les aberrations de la justice de son temps. En condamnant la peine de mort comme injuste et inutile, il devient, en 1764, le tout premier abolitionniste de l'histoire. Le livre a aussitôt déclenché un vaste débat qui, aujourd'hui encore, est loin d'être clos. De cette actualité de Beccaria témoigne la parution d'une nouvelle traduction française (Lyon, ENS Éditions, 2009), accompagnée d'une longue introduction et d'un important appareil critique. Philippe Audegean, auteur de cette nouvelle traduction, s'entretient ici avec Pierre Girard. Il revient sur la participation politique de Beccaria au contexte milanais de son temps, sur certaines thèses majeures des Délits et des peines (la critique de l'arbitraire et la douceur des peines), mais aussi sur la réception française du livre à l'époque de Voltaire, ainsi que sur l'actualité philosophique des thèses de Beccaria contre la peine de mort.
10 - Machiavel : éléments de biographie - L'art de...
Jean-Claude Zancarini expose dans ce cours les différents éléments de la vie, de la carrière et de l'oeuvre de Niccolò Machiavelli (1469 - 1527).
Niccolò Machiavelli naît à Florence le 3 mai 1469. Il est nommé secrétaire de la seconde chancellerie florentine, le 15 juin 1498, très peu de temps après la mort de Savonarole.
Cette période pendant laquelle il fut aux affaires, en tant que l'un des conseillers du gonfalonier à vie Piero Soderini, dure jusqu'à début novembre 1512, lorsque les Médicis, de retour à Florence d'où ils avaient été chassé en novembre 1494, le privent de son emploi à la chancellerie.
Pendant ces quinze ans, il parcourt l'Italie, la France, la Suisse, et rencontre, au nom de la république de Florence, les principaux condottieres et princes italiens. En novembre 1512, le retour des Médicis à Florence provoque sa mise à l'écart et sa condamnation à une année de résidence surveillée hors de Florence.
Le 12 février 1513, après la découverte de la conjuration d'Agostino Capponi et de Pierpaolo Boscoli, Machiavel est arrêté, soumis à la torture judiciaire de l'estrapade et condamné à la prison à vie ; il ne doit sa libération qu'à la liesse générale qui suivit l'élection de Giovanni de Medici au pontificat, le 11 mars 1513.
En août 1513, il commence à rédiger le Prince. Les Médicis continuent à se méfier de lui et cette méfiance va durer jusqu'en 1520. Machiavel fréquente les Orti oricellari, semble-t-il à partir de 1516, où il lit des passages de ses Discorsi sopra la prima deca di Tito Livio.
En 1519 il commence à écrire l'Arte della guerra, seul texte important qui sera publié de son vivant, en août 1521.
En 1520, il est reçu par le cardinal Giulio de Medici et écrit, à sa demande, le Discursus florentinarum rerum.
Il obtient en 1521 une mission à Carpi auprès des frères mineurs (franciscains) confiée par les Otto di Pratica ; c'est de cette mission que date son amitié et un échange assidu de correspondance avec Francesco Guicciardini, alors gouverneur de Modène.
C'est également en 1520 qu'il est chargé par les Provveditori allo Studio d'écrire gli annali o vero le istorie delle cose fatte da lo stato e città di Firenze ; il présentera les Istorie fiorentine au pape Clément VII en mai 1525.
En février 1526, Machiavel est nommé chancelier des Procuratori delle mura de Florence. En septembre, il est envoyé auprès de Francesco Guicciardini qui est alors lieutenant du pape dans l'armée de la sainte ligue ; il retournera à deux autres reprises (fin novembre 1526 puis février 1527) auprès du Lieutenant du pape pendant cette guerre qui aboutit au sac de Rome (6 mai 1527) et à la proclamation de la république à Florence le 17 mai.
Il tombe malade et meurt le 21 juin 1527.
Le Prince et les Discours, qui ont circulé manuscrits jusqu'à ce moment, seront publiés en 1531 et 1532.
Pour une histoire critique et citoyenne : le cas d...
Colloque international organisé du 20 au 22 juin 2006 par l'ENS Lettres et sciences humaines en partenariat avec le Laboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes (LARHRA), l'Institut d'Etudes Politiques de Lyon, l'Institut Charles-André Julien, l'Institut de Documentation et d'Etudes sur l'Histoire du Maghreb (IDEHM), l'Institut National de Recherche Pédagogique, l'IUFM de Lyon, le Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation et le Groupe de Recherche et d'Etudes sur le Maghreb et le Moyen-Orient (GREMMO).
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L'appréhension du paysage par l'écrivain algérien Mohammed Dib et par l'auteur antillais Edouard Glissant présentent des axes de convergence qui sont ici étudiés en mettant en valeur la connaissance primordiale, la connaissance historique et la connaissance relationnelle.
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Ce cours se divise en plusieurs parties :
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- Mort et genres dramatiques ;
- La représentation de la mort dans le théâtre français ;
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Litterature grecque antique : Platon, Lysis
Le cours présente un dialogue de Platon intitulé le Lysis et constitue une aide à la traduction du texte grec de l'édition de la C.U.F. Une introduction porte sur les liens entre Philia (l'amitié) et Eros (l'amour) dans la société grecque antique. Avant d'aborder le texte du Lysis proprement consacré à l'amitié, l'auteur invite à considérer l'importance d'Eros, d'abord du point de vue du vocabulaire grec, puis des institutions et enfin à rappeler son rôle dans les deux grands dialogues platoniciens qui lui sont consacrés, le Banquet et le Phèdre.