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8 results
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La peinture et les peintures
Toujours en ramenant la plume - Les travailleurs d...
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Si le grand public n'ignore plus, depuis les grandes rétrospectives qui ont été consacrées à son œuvre graphique ces vingt dernières années, que Victor Hugo fut aussi un dessinateur exceptionnel, en revanche, dans le domaine de la recherche universitaire, ses dessins demeurent le plus souvent soigneusement distincts de la production de l'homme de Lettres.

Or, comment ne pas être frappé des parentés étroites existant entre le geste de la plume à l'encre qui, dans le même temps, trace les signes de l'écriture et imprègne le papier de figures tantôt réalistes, tantôt hallucinées ?

Le manuscrit que Victor Hugo avait réalisé pour les Travailleurs de la Mer fut, de cette remarquable symbiose, la manifestation éclatante. S'il est impossible de le reconstituer (la Bibliothèque nationale, à laquelle il fut légué, a dû le démembrer pour les besoins de la conservation des documents), toutefois ce web documentaire se donne pour ambition de retrouver l'esprit d'une démarche artistique complexe, dans laquelle poésie et roman, écriture et dessin, méditation humaine et création divine (par l'entremise de la figure mythique de la Mer) communient étroitement sous l'espèce d'un même sens du Verbe.

Ce web documentaire est le résultat des recherches menées (et partiellement publiées en divers articles) par Jean-Pierre Montier et met en valeur celles de Pierre Georgel , considéré comme le meilleur spécialiste au monde des dessins de Victor Hugo. À ces recherches s’ajoutent celles de Victoria Tebar, enseignante chercheur en Arts Plastiques à l’université de Barcelone et plasticienne. Ses recherches portent essentiellement sur les techniques et les matériaux utilisés par Victor Hugo dans ses dessins.

 

Déclinaisons d'Yves Picquet
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Ce document suit les étapes de la création d'une oeuvre d'Yves Picquet "Déclinaisons". Cet artiste contemporain vit et travaille à Plouedern en Bretagne. "Déclinaisons" est un ensemble de 14 grandes toiles. Il s'agit, pour l'artiste de laisser "carte blanche à une série noire". En cours d'exposition, les toiles blanches remplacent emplacement pour emplacement les toiles noires.

Cézanne, une montagne
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Analyse plastique du tableau "La Montagne Sainte-Victoire" de Cézanne. A l'aide de l'image de synthèse, ce document propose une exploration minutieuse. Cette enquête graphique et chromatique nous entraîne au coeur du mystère de l'oeuvre emblématique du peintre.

Images de la mort dans la B.D. et la peinture
Université de Bordeaux

A une époque où la mort est devenue une « valeur marchande » pour les médias et où l'intérêt pour le fait divers se fait toujours plus vif, Pierre Christin offre de nous donner un aperçu de la représentation visuelle de la mort dans l'art pictural et photographique et dans la bande dessinée.

Occultée parfois, crainte le plus souvent, la mort est un thème récurrent dans l'art et sa représentation évolue en même temps que les croyances et les sociétés.

Tantôt prise sur le vif comme le permet l'instantané de la photographie, tantôt suggérée par une tonalité, un objet, un sentiment, les procédés narratifs pour représenter le mystère de la mort sont très nombreux : académique (la crucifixion, le cadavre), grotesque, surréaliste. En suscitant des sentiments de peur, de terreur, d'inquiétude chaque représentation permet de pousser la réflexion, d'éduquer, de ramener au souvenir.

Cette réalité de la mort disparait dans la bande dessinée où elle prend l'aspect d'un leurre et est très souvent associée à la disparition ou à la chute d'un personnage. Cette distinction est due principalement comme l'explique Pierre Christin au caractère continu de la bande dessinée. Il est en effet délicat de faire passer dans l'au-delà le personnage d'une série en cours, la disparation permet donc si nécessaire de le « ressusciter ».

Guillevic et ses peintres
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Ce documentaire évoque la personnalité d'Eugène Guillevic et surtout une part importante de sa création, moins connue que ses oeuvres strictement poétiques, mais tout à fait révélatrice d'une orientation de la vie artistique des années 1930 à 1980 qui démontre la coopération régulière des poètes avec des peintres.

Dans ce film nous découvrons une alternance de témoignages sur les lieux et liens de vie du poète, un récit de son rapport avec le milieu de la peinture et des illustrations commentées de quelques livres d'art réalisés par Guillevic avec plusieurs peintres.

Voir ne pas voir - Colloque Daniel Arasse
Ecole normale supérieure

Séance intitulée "La part de l'oeil", présidée par Eric Darragon (Université Panthéon SOrbonne - Paris 1). Hubert Damisch (EHESS) communique sur le thème : Voir ne pas voir. Colloque organisé à l'Institut national d'histoire de l'art (INHA - Paris) par l'Ecole normale supérieure les 8,9 et10 juin 2006, dans le cadre de la diffusion des savoirs de l'ENS. "Que voit-on dans un tableau ? Et si tout conspire à ce qu'on n'y voie guère, sinon rien, peut-on attendre de l'histoire qu'elle soit de quelque secours en la matière ? : Daniel Arasse en a fait le pari, mais pour y reconnaître une affaire moins de contexte que d'optique."

Hopper, ce n'est pas l'Amérique - Colloque "Vous a...
Ecole normale supérieure

Introduction par le président de séance Jean Kempf (université Lumière - Lyon II) du colloque "Vous avez dit Hopper ?", organisé par le Musée d'Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l'École normale supérieure le 14 mai 2004 et placé sous la responsabilité de Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glassman (TFA, MAAG). "Ce colloque sur l'effet Hopper pose la question de la circulation et de la superposition d'images dans des domaines artistiques différents qui caractérisent l'art d'aujourd'hui. Ce phénomène mérite aussi une analyse de l'image en tant que dépositaire d'une mémoire collective dans laquelle s'infiltrent des contenus identitaires et nationalistes. Les lieux et les personnages peints par Hopper sont devenus des icônes de la vie américaine, bien qu'ils relèvent d'un vocabulaire très personnel. Questionner le pourquoi de la projection d'américanité sur son œuvre permet de mieux comprendre certaines relations entretenues par le public français envers une Amérique imaginaire."

Relations culturelles internationales, acculturati...
Ecole normale supérieure

Communication de Pascal Ory (Université Panthéon Sorbonne - Paris 1) dans le cadre du colloque "Vous avez dit Hopper ?", organisé par le Musée d'Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l'École normale supérieure le 14 mai 2004 et placé sous la responsabilité de Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glassman (TFA, MAAG). "L'histoire de l’art serait incompréhensible sans la prise en compte de la dimension internationale : beaucoup d'artiste à titre individuel, beaucoup de groupes d'artistes, de mouvements, d'écoles ne peuvent s'interpréter qu'en relation avec une influence, ou contre-influence, d'essence étrangère. Modélisation, hégémonie, référence, ... : il ne s'agit jamais, au fond, que de la version exotique de la maîtrise. Dans le cas d'Edward Hopper le séjour en France, implicitement et explicitement, nous dit beaucoup sur, d'une part, l'attractivité de la France (ou faut-il dire de Paris ?) au début du XXe siècle et, tout particulièrement, la place que se désigne l'art américain à ses côtés, et, de l’autre, la manière, un peu compliquée, par laquelle Hopper a réglé son rapport avec elle – c'est-à-dire, comme toujours en pareil cas, avec soi."