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Autres religions
Le Christianisme au patriarcat d'Antioche dans l'A...
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Antioche, sur l'Oronte, est fondée en 300 av. J-C Par Séleucos Ier Nicator en souvenir de son père Antiochos et devient la capitale du royaume des Séleucides. Elle tombe sous la domination romaine en 64 av. J-C, et reste la capitale de l'Orient jusqu'à la fondation de Constantinople en 330. Elle occupe le troisième rang parmi les villes de l'Antiquité, immédiatement après Rome et Alexandrie. Elle est cosmopolite : Grecs, Syriaques, Juifs et autres vivent ensemble. Elle constitue la plateforme du patriarcat d'Antioche dans la mesure où la géographie ecclésiastique se calque sur le découpage administratif civil. Ainsi le titre de tout l'Orient que portent les patriarches d'Antioche de tous les rites orientaux traduit la juridiction patriarcale sur ces provinces qui regroupent environ 100 évêchés au début du IVe siècle. 

Pouvoir et religion dans l'univers phénico-punique
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L'univers phénicien s'étend de la Méditerranée orientale jusqu'aux atlantiques, des cèdres du Liban actuel jusqu'à l'embouchure du fleuve Loukkos devant le site de Lixus situé dans le Nord du Maroc contemporains. Il est impossible de dresser une carte complète de la Phénicie, puisque les limites du territoire ont largement varié au cours des siècles. Naviguant dans le monde, fondant des établissements à cheval sur la terre et la mer, les Phéniciens transmettent pacifiquement leurs connaissances, leurs exploits, et leurs inventions. Quelle est la nature de l'organisation politique et sociale qui caractérise ainsi le monde phénico-punique ? Quels sont les moyens les plus efficaces qui consolident le pouvoir et la puissance phénico-punique ? Et enfin, quels sont les aspects les plus marquants qui conditionnent l'univers phénico-punique sur les plans religieux et culturels ? 

Le culte d'Apollon et l'idéologie du pouvoir à Rom...
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Dès la fin du VIe siècle av.J-C, le dieu grec Apollon est honoré dans les sanctuaires étrusques emporiques à quelques dizaines de kilomètres au nord de Rome, et il semble probable qu'à l'époque des rois étrusques la ville ait connaissance d'un dieu que les Etrusques en pays tyrrhénien assimilaient à l'un de leurs divinités du monde funéraire et souterrain, Suri. Plus tard, en 449 av. J-C, Tit Live (Histoire Romaine, III, 6-11) mentionne la présence d'un Apollinare dans région des Prés Flaminiens, un lieu de culte à ciel ouvert qui pourrait être bien plus ancien. Ensuite, il faut attendre l'année 433 av. J-C. pour avoir le premier témoignage véritablement explicite relatif à la présence d'un lieu de culte officiel du dieu Apollon. 

Eau et sacré dans le Maghreb antique (époque romai...
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Durant l'Antiquité, l'eau est au centre des préoccupations religieuses des Africains du nord : pluies, sources et fleuves sont investis d'une valeur sacrée, valeur d'autant plus grande que le Maghreb antique est avant tout une région peuplée de paysans et de pasteurs pour qui la fertilité des moissons et la fécondité des troupeaux sont les plus précieux des dons divins. Le caractère sacré de ces eaux est rattaché dans leur esprit à la présence tutélaire d'une force à laquelle ils donnent le nom de génie ou de divinité. Ce qui fait que cette eau sacrée reflète un sentiment de crainte d'une réalité surnaturelle qui dépasse leurs connaissances et leurs conceptions. 

La « fin » de la religion pharaonique
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L'idée que la religion de l'Égypte ancienne puisse d'effondrer s'exprime, de manière très littéraire, dans un texte célèbre, mais dont il est délicat d'évaluer la relation exacte qu'il pourrait entretenir avec des événements historiques réels. Il s'agit d'un passage de l'Asklepios, un texte apocalyptique appartenant au corpus hermétique. Cette lamentation développe le thème de la fuite des dieux, quittant leur pays, abandonnant l'Égypte ; elle évoque aussi prophétiquement un changement culturel - des étrangers vont venir en Égypte, une population qui sera dépourvue de l'observance de la religio qui était celle des anciens habitants - conduisant à l'abolition de l'ancienne piété et à l'oubli des cultes. L'Égypte "désertée" par les dieux, l'abandon des cultes, de la perte et de l'oubli, c'est la mort d'une culture en quelque sorte. 

Le phénix comme symbole universel de mort et de re...
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Le phénix est un oiseau légendaire. Les récits antiques, principalement ceux de Hérodote et de Pline évoquent sa résurrection après sa mort sur un bûcher d'aromates au terme d'un laps de temps qui peut varier. La légende du phénix vient probablement d'Orient. Elle aurait été incorporée au culte égyptien par les prêtres d'Heliopolis. Mais c'est dans le monde grec que l'oiseau, sous son nom de phénix, est le mieux connu. Pour ces Pères de l'Église chrétienne, le phénix est véritablement un symbole du Christ, souvent interprété par analogie avec la résurrection et la survie de l'âme. Les sources arabes du Moyen Age, musulmanes comme chrétiennes, évoquent un oiseau fabuleux, brulé et ressuscité, portant des noms divers : le 'Anka', le Phokays ou même le Phakannas. 

Les cultes dans l'Afrique du Nord antique
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A la fin de la préhistoire, des populations s'installent dans la partie nord du continent africain. La diversité des groupes contribue à l'apparition de plusieurs divinités majeures. Plus tard, les influences phénicienne, grecque et romaine sont à l'origine de la mutation des dieux africains et de leurs rites jusqu'à la fin de l'Antiquité. Des études récentes portant sur l'histoire de la religion nord-africaine ont mis en évidence la pluralité des dieux antiques honorés dans cette région, qualifiée de Libye par les auteurs grecs, ainsi que l'évolution permanente des cultes et des rites pratiques par les habitants. 

Des dieux poliades aux dieux des nations
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On entend généralement par "divinité poliade" la divinité protectrice d'une cité antique. Cependant, pour ce qui concerne l'idée elle-même de "divinité poliade", "protectrice de la cité", il est utile de faire un petit sondage. L'appellation polias est propre à la seule Athéna, à Athènes bien sûr mais aussi en Arcadie et à Spartes, en Argolide, en Epire, en Eubée, à Théra, à Ios, à Rhodes, à Imbros, à Pergame (culte important) et dans différentes cités d'Asie Mineure et de Grande Grèce. Zeus, lui, est fréquemment qualifié de Polieus en Attique, à Rhodes, à Théra, à Cos, en Asie Mineure, en Grande Grèce, comme Sarapis l'est parfais aussi, en Égypte. On retrouve une Athéna Poliouchos ("soutien de la cité") à Spartes, et peut-être aussi à Athènes, une Aphrodite Poliouchos en Epire, un Zeus Poliouchos à Antioche. 

Le temple du prince saint Echmoun. Sanctuaire puri...
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La Phénicie est formée de plusieurs cités-états et sa religion officielle est liée à la cité. Chaque cité cherchant une autonomie propre crée son dieu ou ses dieux et ses déesses auxquels elle consacre un culte. À la tête de chaque panthéon règne une divinité. Celle-ci est maîtresse du lieu et protectrice de la cité, notamment de la figure royale. Elle est généralement associée à une autre divinité formant ainsi un couple divin. Seul El (El signifie premier), est le dieu créateur de la terre, donc par le fait même père des dieux et des hommes ; il est un dieu commun à tous les habitants de la Phénicie.