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Petite introduction à l'histoire de la Grande-Bret...
Université Toulouse - Jean Jaurès

Cet entretien informel entre une jeune étudiante britannique qui poursuit ses études en France et une enseignante de l'Université de Toulouse - Le Mirail introduit quelques aspects de l'histoire et de la civilisation du Royaume-Uni. Sont abordés les diverses appellations des îles britanniques, le peuplement des îles à travers l'histoire, ainsi que la vie d'un monarque - Henri VIII- qui a fortement influencé l'évolution religieuse et politique du pays.

Rail and Culture : chemin de fer et civilisation b...
Université de Lorraine

Cet ensemble de ressources pédagogiques numériques proposent une vue globale de la civilisation britannique de 1830 à nos jours tout en permettant l’approfondissement de certains aspects essentiels dans différents domaines : historique, culturel et géographique.

L’originalité de ce webdocumentaire réside dans la découverte de la Grande-Bretagne à travers des voyages en train et des "arrêts culturels". Le sujet abordé ne se limite pas à l'histoire des voies ferroviaires, ni à la géographie du pays : le chemin de fer représente l'emblème le plus évident du progrès et l’étude de son histoire permet de découvrir l’évolution de toute une société.   
Le découpage des ressources en vingt périodes (de 1830 à nos jours) permet de retracer les grands évènements qui ont marqué l’histoire britannique (chapitres "chemin de fer" et "histoire"). Les différentes régions du Royaume-Uni et ses habitants vous seront présentés dans le chapitre "géographie".

Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon : Le my...
Ecole normale supérieure de Lyon

L'intervention de Frédéric Regard se propose de cerner les mécanismes du mythe qui se cristallise autour des figures héroïques de l'exploration arctique, notamment John Ross.

Frédéric Regard rappelle en préambule que cette recherche s'inscrit dans un plan quadriennal financé par le Ministère, le CNRS et l'ENS-LSH. Le plan est mis en oeuvre par l'équipe qu'il dirige à l'Ecole, SEMA, rattachée au LIRE (UMR 5611). Cette équipe d'anglicistes se consacre à l'étude des récits d'exploration anglais, avec un intérêt particulier pour les relations des première rencontres, conçues comme des fabriques d'identité, individuelle et nationale. L'équipe a publié une première série de travaux, De Drake à Chatwin : rhétoriques de la découverte (Lyon : ENS-Editions, 2007).Elle prépare actuellement des journées d'études sur les relations intersubjectives dans les récits du passage du Nord-Ouest (ENS, 4-5 juin 2009), ainsi qu'un colloque international en anglais, "The Quest for the Northwest Passage : Nation, Identity, Inquiry" (ENS, 3-5 juin 2010).

Frédéric Regard commente ensuite les cartes qu'il a fait distribuer dans l'assistance et souligne l'importance du détroit de Lancaster, accessible pour les marins anglais en longeant la côte occidentale du Groenland. Cette ouverture est celle que les explorateurs de l'Arctique ont recherchée durant des siècles ; c'est le Graal de cette quête. A partir de 1508, les Anglais, investissent massivement dans la recherche de cette hypothétique voie maritime nord qui relierait l'Atlantique au Pacifique et éviterait aux navires commerçant avec l'Asie le long et périlleux détour par le sud, c'est-à-dire aussi par le cap Horn. Cette quête maudite, ponctuée d'aventures héroïques et de désastres retentissants, prend fin le 25 octobre 1850 quand, venus du Pacifique, un groupe de marins britanniques commandés par Robert McClure, postés sur l'île de Banks, aperçoit à l'est le détroit du Vicomte-Melville, dont on sait depuis 1820 grâce à William Parry qu'il communique avec le détroit de Lancaster.


Les régions du Canada
Université Côte d'Azur

Le visiteur européen au Canada est souvent étonné par l’homogénéité des paysages canadiens. Par endroit, il faut parcourir des milliers de kilomètres avant de percevoir un changement notable dans le paysage. La traversée du bouclier canadien en Ontario n’est qu’un exemple : heure après heure de forêts, lacs et rochers – de Toronto à Kenora, la traversée en voiture semble interminable. Et après une quinzaine d’heures du bouclier, le voyageur s’attaque ensuite à quelques jours de prairies… Le contraste est fort avec la France, où chaque région possède sa spécificité – les Landes, le Massif Central, la Méditerranée, Les Alpes, la Bretagne…

Avant de décrire les caractéristiques physiques et humaines des provinces et territoires, une brève présentation des superficies permettra de mieux appréhender les disparités régionales. Le Canada a une superficie totale de 9 984 670 km2, dont 9 093 507 km2 de terre et 891 163 km2 d’eau douce, ce qui le classe deuxième plus grand pays du monde après la Russie. La répartition des surfaces en terre et eau est montrée dans les figures ci-dessous : en km2 et en % des surfaces terrestres et en eau.

Le premier fait marquant est la faible superficie des provinces maritimes (Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Ecosse, et l’Ile du Prince Edouard). Ensemble, ces trois provinces cumulent moins de 1,5% du pays. Les implications de ces faibles superficies sont importantes, surtout en termes d’exploitations de ressources primaires : avec moins de surface, le potentiel pour cultiver le sol ou découvrir et exploiter des ressources minières et forestières reste limité.

Le Nunavut se distingue par sa très grande superficie, plus de 20% du pays. Cependant, les terres du Territoire de Nunavut sont dispersées sur de nombreuses îles et restent difficilement accessibles pour cette raison ainsi que pour sa position dans les très hautes latitudes. La province du Québec a la plus grande superficie terrestre provinciale et toutes les provinces à l’ouest du Québec ont des valeurs similaires. Enfin, l’extrême ouest du Canada (Colombie-Britannique, Alberta, le Yukon) représente des terres avec relativement peu d’eau douce par rapport aux autres provinces et territoires de tailles similaires.

Pour le Canada, l’unité administrative la plus simple à traiter est celle de la province ou territoire. Dans l’ensemble de ce site web, seules les régions physiographiques, ou naturelles, ne correspondent aux limites administratives des provinces et territoires. Certaines limites naturelles s’imposent comme une barrière naturelle – des lignes de crêtes, des cours d’eau, des îles – mais le plus souvent une unité physiographique est partagée par différentes provinces/territoires et une province ou un territoire peut contenir différentes unités physiographiques. Cette partie débutera par une description des unités physiographiques (géologie et relief, climat, végétation, sols) avant de s’adresser aux aspects « humains » : les richesses économiques des provinces et territoires ainsi que leurs caractéristiques démographiques. Enfin, cette première partie se terminera par un bref résumé de ce que nous appellerons la « nordicité » du Canada (d’après Bone, 2002) et un bilan global des régions du Canada.