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La violence domestique au Liban, et le positionnem...
Le Mans Université

Dans ce chapitre,le positionnement des croyants chrétiens et musulmans vis-à-vis de la violence domestique est abordé à partir de l'étude du cas libanais. La violence domestique existe dans toutes les sociétés, elle frappe d'abord les femmes et les enfants. Au regard des Nations Unies, elle constitue une atteinte majeure aux droits fondamentaux. Au Liban, il est impossible d'exercer sa citoyenneté en dehors d'une des dix-huit communautés confessionnelles. Le droit civil est largement inspiré par celui qui prévaut en France, mais le droit privé concernant le mariage, le divorce, la tutelle et l'héritage est régi par des doctrines et règlements propres à chaque confession. Elles sont les seules références légitimes reconnues par l'Etat. Chacune dispose de ses tribunaux religieux qui régissent le statut personnel.De ce fait, la société libanaise permet de saisir la diversité des manières avec laquelle cette violence est pensée, interprétée, régulée et jugée.

Juifs et musulmans d'al-Andalus face aux autorités...
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Dans l'espace d'al-Andalus, il y a eu cohabitation avec, parfois, des formes d'imprégnation, des partages d'habitude vestimentaires, mais en même temps des distinctions d'us et coutumes qui ont perpétué l'existence de communautés clairement identifiables au fil des siècles, ce qui permet à tel souverain almohade de rejeter, ponctuellement, les non musulmans. La Reconquista fait basculer le rapport de force politico-militaire, et dès lors, se pose la question de la gestion de la diversité confessionnelle et culturelle de la population placée sous l'autorité de la Couronne. 

Des Shawam entre Egyptiens et Européens (XVIIIe – ...
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L'Égypte est située sur la route des élèves maronites allant étudier à Rome dans un collège spécialement fondé pour eux au XVIe siècle. Quelques familles s'y établissent dès ce moment. Leurs noms sont fixés dans les registres paroissiaux tenus par les franciscains, religieux à qui le pape a confié la garde des Lieux saints et dont le supérieur est toujours un légat pontifical auprès des maronites. Leur présence au service de cet ordre catholique reste modeste et ne semble pas avoir suscité d'opposition de la part des autorités ottomanes. Au demeurant, ces chrétiens bénéficient de la protection garantie par le régime des Capitulations. Au XVIIe siècle, deux de leurs savants séjournent encore sur les rives du Nil pour y effectuer une double mission : récolter des manuscrits anciens ; confronter les coptes catholiques dans leur récente union avec l'Église catholique romaine. 

Le Refuge huguenot (v. 1660 – v. 1750). (Migration...
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Les réfugiés de 1685 trouvent sur leur route des Églises réformées francophones déjà plantées par leurs coreligionnaires. Depuis certaines régions de France ou de l'actuelle Belgique, ils ont fui les persécutions nées des guerres de religions au XVIe siècle puis la dégradation des conditions d'application de l'Édit de Nantes ("l'étouffement à petites goulées", Janine Garrisson) au XVIIe siècle. Dès les années 1660, les autorités politiques et religieuses de certains pays du "Refuge" commencent à consigner ce qui concerne ces réfugiés protestants dans des registres particuliers. Les réfugiés s'orientent principalement vers les pays protestants d'Europe : la Suisse, l'Allemagne, .... Un plus petit nombre se rend dans les pays scandinaves et en Russie ; un dernier groupe, souvent un deuxièmement temps, prend la route de l'Amérique ou de l'Afrique du Sud. 

Des catholiques repoussés par la colonisation prot...
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Une bonne partie de l'aristocratie d'origine irlandaise est, très tôt, hostile aux Plantations, non seulement pour des raisons culturelles et religieuses, mais aussi politiques : le développement de l'administration anglaise menace en effet sa propre autorité sur les populations gaéliques. Hugh O'Neill, comte de Tyrone et chef d'une puissante famille de l'Ulster, prend la tête d'une insurrection dès 1594. Confronté à l'expansion écossaise et anglaise dans sa province où il tient à joue un rôle de premier plan, il se place à la tête d'une confédération des chefs de l'Ulster qui ont entrepris une campagne contre les garnisons et les représentants de l'autorité anglaise qu'incarnait Henry Bagenal.

Migrations religieuses (XVIe–XIXe siècles)
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Des mouvements de population importants ont, dans l'espace euro-méditerranéen, touché toutes les confessions au cours des cinq derniers siècles. Afin d’analyser ce phénomène, les auteurs de cette ressource présentent quatre types de migrations.

Tout d'abord, ils abordent les motifs et les développements des flux migratoires, puis ils présentent la gestion des flux par les autorités civiles et religieuses. Enfin, les mémoires des migrations religieuses sont développées.

De nombreuses références bibliographiques, des références biographiques et un glossaire sont proposés en complément du cours.

Le christianisme latin face à l’image : du refus à...
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La position des autorités religieuses de la Chrétienté latine face à l'image a longtemps été hésitante, partagées entre le refus complet issu de l'interdit vétéro-testamentaire et l'acceptation professée par Grégoire le Grand à la fin du VIe siècle. Une position médiane est finalement adoptée : ni refus, ni pratique conçue comme idolâtrique. Cette position, définie par les autorités carolingiennes, permet une relative banalisation de l'image, ouvrant la voie à son utilisation dans le culte et la pastorale, et préparant la « décisive révolution de l’image » que Jean-Claude Schmidt met en évidence aux Xe et XIe siècles.

Sciences et religions à l'époque contemporaine XIX...
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La relation entre science et religion est un thème d’étude controversé. Parmi les enjeux historiographiques figurent la caractérisation de ce qui s’est passé dans l’Europe du XVIIe siècle et la place de l’héritage religieux, juif, chrétien et musulman. Le contenu du module d’histoire HEMED se place en aval de cette période, en distinguant trois volets le premier consiste à montrer comment les « sciences humaines et naturelles » ont acquis une indépendance à l’égard du « savoir religieux » ; le deuxième est centré sur la variété des réactions des autorités religieuses face au progrès scientifique et technologique ; le troisième vise à rendre compte de débats contemporains autour des questions épistémologiques. La spécificité de l’approche consiste à ne pas séparer a priori l’histoire de milieux culturels trop souvent présentés comme des blocs fossilisés.

Religions, droits et libertés
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Ce neuvième module HEMED pose la question de la prétention des religions à légiférer et de leur capacité à construire et à imposer un cadre légal apte à assurer un régime d’équité entre les fidèles. La question se corse quand il s’agit de résoudre le problème des droits et des libertés à accorder aux minorités religieuses. Ces questionnements déjà particulièrement difficiles se complexifient encore avec l’irruption de la modernité et la construction d’autorités étatiques ne se réclamant plus d’une religion particulière et ne fondant plus (ou non exclusivement) leurs législations sur les préconisations des autorités religieuses. De puissants conflits de magistère opposent les tenants du droit religieux aux défenseurs des droits de l’homme. Les situations restent très contrastées des deux côtés de la Méditerranée. Alors qu’il reste difficile voire impossible pour les citoyens des États majoritairement musulmans de changer de religion ou de professer l’athéisme, en Europe ce n’est plus tellement la liberté du non-croyant ou de la minorité religieuse qui pose question mais celle du confessant qui attend que ses convictions et sa liberté de religion – professer, porter des signes religieux distinctifs, se nourrir selon les prescrits religieux… – ne soient pas bridées par la loi.