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La conférence de paix de Paris - Partie 2/2 - Cour...
Deuxième partie du cours n°2 "La conférence de paix de Paris" du thème "La recomposition de l’Europe dans l’immédiat après-guerre" du Mooc Verdun #3 "Verdun, d'hier à aujourd'hui", présentée par François Cochet, Professeur émérite des Universités en Histoire contemporaine. Spécialiste de la captivité de guerre, des représentations militaires et de l'expérience combattante à l'époque contemporaine. Président du Conseil d'orientation scientifique du Mémorial de Verdun.

Les philosophes et la Bible
À la Renaissance, la Bible change de statut. Elle est désormais traduite en langue vernaculaire, elle constitue l’enjeu des controverses religieuses liées à la Réforme, et elle est continuellement convoquée pour intervenir dans des questionnements scientifiques ou politiques. On se demande par exemple si les lois mosaïques fournissent un modèle théocratique, si l’Église a une indépendance à l’égard de l’État – voire un droit de contrôle sur celui-ci. On essaie parfois, en s’appuyant sur l’Écriture Sainte, de déterminer la nature de la liberté humaine. On tente, aussi, de déterminer ce qu’est le sens de la Bible dans un monde héliocentrique, régi par des lois universelles, apparemment incompatibles avec les miracles relatés dans l’Écriture.
Ainsi, chacun des grands philosophes de l’âge classique est amené à se confronter avec l’Écriture Sainte – pour s’en réclamer, pour s’interroger sur la portée de ses enseignements, pour proposer une méthode d’interprétation, pour tracer une frontière avec les thèses qu’il défend en sciences, en métaphysique ou en politique.
La série explore les prises de positions des grands philosophes de l’époque moderne à l’égard de l’Écriture Sainte, le matériel dont chacun disposait (éditions, traductions, instruments de travail, milieu exégétique), la cohérence de ces positions avec son système, ainsi que leur éventuelle transformation au cours de l’évolution de ce système. La série souligne aussi, en sens inverse, l’influence que les élaborations philosophiques ont pu avoir sur les contemporains et la postérité, y compris sur les spécialistes – éditeurs, traducteurs et théologiens, dont le travail ne se réduit pas à une pure activité technique mais passe aussi par une réception des cadres de pensée proposés par les philosophies.

Honorer les dieux
Durant l’Antiquité, la Méditerranée et ses rives sont un espace particulièrement dynamique pour les déplacements humains, les échanges commerciaux et culturels, les conflits militaires et politiques. Les cultes sont inscrits dans cette équation. Le plus souvent, ils ne sont pas au cœur des enjeux de pouvoir, mais ils ne sont pas non plus absents. Les traces laissées par l’archéologie ou les sources écrites révèlent de multiples formes de création, d’adaptation et de récupération de références ou de pratiques religieuses. Loin de toute perspective téléologique, les chercheurs du réseau HEMED ont cherché à penser ce moment particulier de l’histoire religieuse à partir de trois thématiques : espaces du sacré ; mutations religieuses ; articulation entre religions et pouvoirs.

Histoire du confucianisme : vue panoramique
Cette présentation panoramique trace, du point de vue philosophique et historique, quelques grandes lignes du confucianisme pré-impérial et du néo-confucianisme ainsi que les contextes intellectuels et politiques qui ont favorisé leur formation.
Dès ses origines, la pensée chinoise a fait appel aussi bien à l'intuition qu'aux formes abstraites de raisonnement. Même si le confucianisme qui devient une doctrine étatique à partir du IIe siècle av. J.-C. sous les Han constitue le soubassement de la culture des lettrés, il ne cesse d'être confronté aux autres modes de pensée de la même époque, comme le taoïsme, l'école nominaliste, le légisme et plus tard au bouddhisme qui est introduit en Chine à partir du Ie siècle après J.-C. Ces confrontations non sans heurts contribuent sous les Song (960-1279) à un renouveau de pensée sans précédent : le néo-confucianisme, courant confucéen qui s'inspire de l'apport du taoïsme et du bouddhisme tout en les critiquant.

Des catholiques repoussés par la colonisation prot...
Une bonne partie de l'aristocratie d'origine irlandaise est, très tôt, hostile aux Plantations, non seulement pour des raisons culturelles et religieuses, mais aussi politiques : le développement de l'administration anglaise menace en effet sa propre autorité sur les populations gaéliques. Hugh O'Neill, comte de Tyrone et chef d'une puissante famille de l'Ulster, prend la tête d'une insurrection dès 1594. Confronté à l'expansion écossaise et anglaise dans sa province où il tient à joue un rôle de premier plan, il se place à la tête d'une confédération des chefs de l'Ulster qui ont entrepris une campagne contre les garnisons et les représentants de l'autorité anglaise qu'incarnait Henry Bagenal.

Les Essentiels des Sciences humaines et sociales -...
Cette série d’essentiels consacrée a Descartes prolongera la première série d’essentiels de la philosophie qui avaient été réalisés par l’ENS Lsh en 2008.
Deux séries de notions seront proposées.
La première correspond à une approche systématique et envisage aussi bien des thèmes canoniques du cartésianisme (les passions, les animaux, le sujet et l’enfance) que d’autres moins attendus (la politique et la morale) ou plus techniques (la médecine). L’objectif est de circuler à l’intérieur de l’œuvre de Descartes pour en souligner et en articuler, de façon pédagogique, les concepts essentiels et les aspects pratiques.
La seconde série entend sortir du système pour, rétroactivement, en souligner les possibilités, les points de fracture et les enjeux. Dans une perspective dynamique d’histoire des idées, elle confronte Descartes à deux de ses principaux interlocuteurs directs (Elisabeth et Regius), à deux de ses principaux successeurs (Spinoza et Malebranche) et à deux types d'interlocuteurs (théologiens et matérialistes) avec lesquels il eut à dialoguer tout en s’en démarquant.
Dans le premier cas, on s’intéresse aux dynamiques internes et aux enjeux du système ; dans le second, on montre comment Descartes travaille à l’histoire de sa propre réception sans que la dite réception ne se prive de retourner contre Descartes lui-même les arguments les plus importants.
1/ Notions:
Descartes et les passions ;
Descartes et la politique ;
Descartes et la morale ;
Descartes et la médecine ;
Descartes et les animaux ;
Descartes et l'enfance ;
Descartes et le sujet ;
2/ Confrontations
Descartes et Elisabeth ;
Descartes et Regius ;
Descartes et Spinoza ;
Descartes et Malebranche ;
Descartes et la théologie ;
Descartes et le matérialisme

Marc Henri Piault Leçon 8 : Vers un ethnocinéma
Un ethnocinéma dialogique
La production d’images met un regard à l’épreuve d'autres regards et l’écoute à d'autres écoutes. Cette confrontation conduit au discours critique de l’intersubjectivité. Les expériences menées permettent une réappréciation des rapports entretenus entre sociétés différentes et contribuent à cette décentration de la visée de l’autre dont l’anthropologie contemporaine tente de se faire l’instrument.
On s’oriente vers une réflexion critique collective à propos du réel, donnant lieu notamment à des reconstitutions (Jean-Pierre Olivier de Sardan au Niger : La bouche déliée, mariage wogo). Il s’agit de rendre compte de la vie quotidienne aujourd’hui : les relations des hommes et des femmes, les interactions du social et du politique, du religieux et de l’économique. Guy Le Moal (Les Masques de feuilles ; Le grand masque Molo) est conduit par ses « acteurs » à s’interroger sur les modalités contemporaines de la croyance en Afrique.
Peu à peu le regard est entraîné, à travers la caméra entre les mains du réalisateur, à dépasser un simple enregistrement, il y a un mouvement vers, une adhésion dynamique au développement d’une situation. La situation anthropologique est un sas d’interconnaissance. Faire un film devient une conversation construite aussi bien d’incompréhension que de reconnaissance. Notamment lorsqu’il s’agit d’interpréter la relation des êtres humains avec leur environnement visible ou invisible (Nicole Echard : Noces de Feu).Au-delà des quotidiens vécus et ressentis, les situations locales se relient de plus en plus aux transformations économiques et politiques d’environnements plus larges et il y a une utilisation de plus en plus fréquente de techniques légères incluant la vidéo. On peut alors reconsidérer ce que pourrait être un ethnocinéma dialogique questionnant les transformations en cours sur les lieux des anciennes recherches (Patrick Menget, Yves Billon, Jean-François Schiano : Chronique du temps sec ; Bernard Saladin d’Anglure, Michel Treguer : Iglolik, notre terre ; Luis Figueroa : Les fils de Tupac Amaru). Le vécu exprimé et les expériences individuelles apparaissent, s’expriment (Jean-Louis Le Tacon : Cochon qui s’en dédit), interrogent le réalisateur mis en cause à son tour (Marc Piault : Akazama ; Eliane de Latour : Comptes et Contes de la Cour ; Les Temps du Pouvoir, Si bleu si calme).

Le style "néo-arménien" à Erevan : patrimoine et i...
Cours publics 2007/2008 proposés par l'Université Rennes 2. Thème : Patrimoine et identité. Conférence donnée par Taline Ter Minassian, Maître de conférences habilité en histoire contemporaine, le 17 Décembre 2007. Patrimoine et Histoire, Patrimoine et Société, tels sont les titres des cours publics qui furent donnés à l'université Rennes 2, entre 1995 et 1997. Les conférences alors prononcées par les historiens François Hartog, Jean-Pierre Rioux, François Loyer ou Pierre Nora ont laissé un souvenir vif. L'ouverture de la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris, cet automne, montre comment notre héritage commun s'est affirmé, depuis, comme un objet de pratiques culturelles et comment le présent se nourrit des métamorphoses du passé, sous les auspices du marché. Sur la colline de Chaillot, les mécènes se pressent en effet pour éponger les 80 millions d'Euros qu'a coûtés la Cité. Le portail de Vézelay, hérité de l'ancien Musée des monuments français, y côtoie la cité radieuse de Marseille. Alors, Viollet-le-Duc et Le Corbusier, même combat ? Mais l'intégration des modernités dans l'inventaire des valeurs consacrées suit-elle un parcours aussi linéaire ? On a vu avec quelle force ces valeurs ont envahi l'arène politique, lors des dernières élections présidentielles. À l'évidence, les conceptions de la nation et de la République, qu'elles sous-tendent, sont plurielles. Il existe la France certes, mais aussi des France. Comment incarner cette diversité sans la dénaturer ? Le commissaire Maigret, disait-on récemment, est le véritable ministre de l'identité française. Or, voici qu'à présent ces thèmes surgissent au coeur même de la mondialisation. Si l'identité s'est rêvée nationale au XIXe siècle, puis découverte régionale au siècle suivant, chacun d'entre nous est désormais porteur d'identités multiples, de moins en moins réductibles à la couleur du drapeau. Que faut-il attendre de la mutation des identités collectives ? Choc ou enrichissement ? Ouverture pacifiée ou confrontation ? C'est en explorant les systèmes de représentation symbolique du passé proche - ici et ailleurs, en Afrique du Nord ou dans l'ancien empire soviétique notamment - que ce nouveau cours public alimentera le débat d'idées. Marc Gontard Président de l'université Rennes 2 Jean-Yves Andrieux Professeur d'histoire de l'architecture

Patrimoine colonial, identités nationales et const...
Cours publics 2007/2008 proposés par l'Université Rennes 2. Thème : Patrimoine et identité. Conférence donnée par Jean-Baptiste Minnaert, Professeur d'histoire de l'art contemporain, le 5 mars 2008. Patrimoine et Histoire, Patrimoine et Société, tels sont les titres des cours publics qui furent donnés à l'université Rennes 2, entre 1995 et 1997. Les conférences alors prononcées par les historiens François Hartog, Jean-Pierre Rioux, François Loyer ou Pierre Nora ont laissé un souvenir vif. L'ouverture de la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris, cet automne, montre comment notre héritage commun s'est affirmé, depuis, comme un objet de pratiques culturelles et comment le présent se nourrit des métamorphoses du passé, sous les auspices du marché. Sur la colline de Chaillot, les mécènes se pressent en effet pour éponger les 80 millions d'Euros qu'a coûtés la Cité. Le portail de Vézelay, hérité de l'ancien Musée des monuments français, y côtoie la cité radieuse de Marseille. Alors, Viollet-le-Duc et Le Corbusier, même combat ? Mais l'intégration des modernités dans l'inventaire des valeurs consacrées suit-elle un parcours aussi linéaire ? On a vu avec quelle force ces valeurs ont envahi l'arène politique, lors des dernières élections présidentielles. À l'évidence, les conceptions de la nation et de la République, qu'elles sous-tendent, sont plurielles. Il existe la France certes, mais aussi des France. Comment incarner cette diversité sans la dénaturer ? Le commissaire Maigret, disait-on récemment, est le véritable ministre de l'identité française. Or, voici qu'à présent ces thèmes surgissent au coeur même de la mondialisation. Si l'identité s'est rêvée nationale au XIXe siècle, puis découverte régionale au siècle suivant, chacun d'entre nous est désormais porteur d'identités multiples, de moins en moins réductibles à la couleur du drapeau. Que faut-il attendre de la mutation des identités collectives ? Choc ou enrichissement ? Ouverture pacifiée ou confrontation ? C'est en explorant les systèmes de représentation symbolique du passé proche - ici et ailleurs, en Afrique du Nord ou dans l'ancien empire soviétique notamment - que ce nouveau cours public alimentera le débat d'idées. Marc Gontard Président de l'université Rennes 2 Jean-Yves Andrieux Professeur d'histoire de l'architecture