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Parité et mixité des filières : culture, sport, fi...
Cette formation, intitulée « Être en responsabilité demain : se former à l'égalité femmes-hommes », traite de l'égalité réelle entre les femmes et les hommes, en abordant l'éducation, les stéréotypes, l'orientation, la parité et la mixité des filières et des métiers, le sexisme ordinaire, le harcèlement et les violences faites aux femmes, pour conclure en terme de responsabilité et de vie citoyenne. Elle est destinée à tout-e étudiant-e et plus largement tout-e apprenant-e désirant se former à ces thèmes.
Cette séquence, intitulée « Parité et mixité des filières : culture, sport, finance, médical et paramédical, politique...) » est la quatrième d'une série de sept.
Comme toute séquence, elle est découpée en plusieurs sous-thèmes. Un même scénario pédagogique est déployé par sous-thème : tout d'abord quelques minutes de sensibilisation utilisant le plus souvent une vidéo, puis un quiz en quelques questions permettant à l'apprenant-e de situer ses connaissances, enfin, quelques points de cours apportant des réponses aux questions soulevées par la vidéo et le quiz. A la fin de la séquence, après un récapitulatif en 10 points, une auto-évaluation finale est proposée.
Sauf indication contraire, toutes les données concernent la France, les données chiffrées résultant de nombreux travaux scientifiques en sociologie de l'éducation et sociologie du genre.
Capitalisme, finance et religions - Enjeux contemp...
Composé de : Protestantisme et capitalisme : la théorie de Max Weber - Sarah Scholl (Université de Genève) Être riche et chrétien. Les associations catholiques des dirigeants, cadres et patrons (1920-2019) (Belgique-France) - Cécile Vanderpelen (Université Libre de Bruxelles) Les enjeux de la finance islamique contemporaine : le cas du Maroc - Abdelkrim Madoun (Université Ibn Zohr Agadir) Le financement public du culte musulman en Europe - Caroline Sägesser (Université Libre de Bruxelles)
Les finances des habous et des zaouias
Le habous qui peut également être appelé waqf, est une institution juridique qui trouve son origine dans l'une des paroles du prophète Mohammad. Cette dernière rapporte une directive prévoyant l'immobilisation d'un fonds de sorte qu'il ne soit ni donné, ni vendu, et que ses revenus reviennent à l'aumône. En arabe, la racine H B S : habbasa signifie : immobiliser, emprisonner (la racine W Q F pour waqf a une signification approchante). Créer un habous c'est donc rendre inaliénable un bien suivant les règles de la loi islamique, pour en attribuer le revenu à une œuvre. Autrement dit, il s'agit d'extraire un bien hors de la sphère du commerce, à l'abri de toute aliénation pour qu'il serve l'intérêt général.
Le financement public du culte musulman en Europe
Durant la seconde moitié du XXe siècle, des populations de confession musulmane se sont installées dans les pays d'Europe occidentale. Ce qui était à l'origine une immigration imaginée comme temporaire et essentiellement masculine s'est mué en une installation durable des familles. Ces populations ont créé des lieux de culte, dont elles ont confié le rôle d'animateurs parfois à des personnalités issues de leurs communautés mais le plus souvent à des imams venus à leur tour de l'étranger et pas nécessairement de leur pays d'origine. Progressivement, les autorités politiques des différents pays concernés par l'immigration musulmane se sont penchées sur la question de l'organisation et du financement du culte islamique. En effet, dans la quasi-totalité des pays européens, il existe des mécanismes de financement public en faveur de certaines communautés confessionnelles. Ces mécanismes sont variés, et inscrits dans l'histoire nationale de chaque pays. La façon dont l'islam peut y être intégré est l'objet de débats et d'initiatives dans tous les pays où existe une communauté musulmane. L'attention dont fait l'objet le culte islamique s'est renforcée depuis quelques années en raison de préoccupations liées au terrorisme islamiste.
Les enjeux de la finance islamique contemporaine :...
Les banques traditionnelles, qui fonctionnent avec une philosophie morale dite capitaliste ne sont pas toujours adaptées aux principes fondamentaux et à la moralité économique de l'Islam qui interdit le profit ou intérêt (ribâ) prohibé par la shar'ia. Avec l'essor de l'islam politique depuis les années 1960, plusieurs pays ont donc choisi d'intégrer dans leurs systèmes économiques des banques islamiques se référant aux règles shariatiques, soit par conviction religieuse soit par conviction économique, afin d'attirer plus de fonds appartenant à des bailleurs venus de pays majoritairement musulmans. Les racines et les principes de la finance islamique sont aussi vieux que la religion elle-même. En effet, la jurisprudence des transactions (Fiqh Al Moamalat) constitue depuis des siècles un cadre structurant, déterminant toutes les transactions financières des musulmans. Cette discipline a produit une terminologie spécifique qu'on va analyser ici.
Auto-évaluation finale de "Parité et mixité des fi...
Cette auto-évaluation est proposée aux apprenant-e-s ayant terminé l'étude de la séquence intitulée «Parité et mixité des filières : culture, sport, finance, médical et paramédical, politique... ». La note finale qu'elles/ils obtiendront leur permettra de juger de leurs acquis et d'identifier les points qui n'auraient pas été assimilés.
Il convient de réaliser cette auto-évaluation finale en une seule fois, et si possible en 15 minutes. Le sous-thème auquel se rapporte chaque question est indiqué en en-tête, à côté du numéro de la question. Toutes les réponses figurent dans la séquence correspondante, elles ne sont donc pas commentées. Sauf indication spécifique, ces questions concernent la France.
Bonne évaluation !
Théories et pratiques de l'argent en religions
Composé de : « Vous ne pouvez servir Dieu et l'argent » : brève histoire de la réception de Mt 6,24 - Michel Grandjean (Université de Genève) L'argent dans l'islam - Abdelkrim Madoun (Université Ibn Zohr Agadir) Les Juifs et l'argent en Allemagne aux XVIIe-XVIIIe siècles : théories et pratiques de la figure du « Juif usurier » - Rachel Renault (Le Mans Université) Les revenus de l'Église maronite dans le vilayet de Sidon à la fin du XVIIIe s. - Karam Rizk & Grace Younès (Université du Saint Esprit de Kaslik)Les finances des habous et des zaouias - Mohamed El Mazouni (Université Ibn Zohr Agadir)
La prochaine éthique biomédicale
Sujet de controverse depuis des années, la bioéthique soulève encore aujourd'hui de nombreuses interrogations : faut-il immanquablement se conformer aux lois bioéthiques? Peut-on faire abstraction des revendications individuelles ? Est-il toujours possible de trouver des arguments éthiques fondateurs pour dire non ? Pour Véronique Fournier la pratique du terrain, rendue effective avec l'ouverture du Centre Ethique de l'Hôpital Cochin, peut apporter des éléments de réponses à ces interrogations en appréhendant les problèmes d'adaptabilité de certains principes face aux cas concrets posés par les patients sur des sujets aussi variés que la douleur, l'aide médicale à la procréation. En effet, dans une société en perpétuel changement, plus libre, plus autonome, il deviendra de plus en plus difficile de faire accepter les principes entendus. Les lois devront s'adapter à la société. Mais si le refus n'est plus justifiable, sera-t-il pour autant possible de financer l'accès aux techniques ? Que sera-t-il juste de financer ?
Demain, l'Université
L'étiolement en France de la conception d'une université comme unique lieu de production du savoir et d'échange, et la conséquente création des grandes écoles, organismes de recherche, IUT...,ont appauvri, en même temps que le sous-financement et le manque d'autonomie, l'université française. Et demain ? L'université devra se construire autour des initiatives à venir. La loi de liberté et d'autonomie, dite loi Pécresse (LRU), sera un premier pas en avant car elle propose du mieux, surtout en matière de budget global, mais ses champs d'action restent encore trop limités : elle ne s'attaque ni au problème des droits d'inscription et de l'égalité des chances, ni à la question des moyens. Une prise de conscience est indispensable : l'université doit devenir une priorité absolue.