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Dans l'espace du soupçon : terrorisme et société
Lundi 11 décembre 2006 Conférence de Dominique Linhardt, sociologue, Ecole nationale supérieure des mines de Paris, Centre de sociologie de l'innovation. Toutes les aires culturelles sont concernées par la problématique de la violence, interne ou importée, externe, proche ou lointaine. Le haut niveau de développement de moyens de communication et de diffusion des informations contraint chacun à un spectacle permanent. Des séquences d'affrontement en scènes de harcèlement, ces violences permanentes et persistantes, lues, vues, vécues... se perçoivent en terme d'insécurité, que l'on occulte en les banalisant ou au contraire que l'on cherche à éradiquer en leur donnant une ampleur démonstrative jamais atteinte. Qu'elles soient organisées ou impromptues, classiques ou plus contemporaines, chacun se trouve dans l'obligation de prendre position sur leurs origines et sur les réductions dont elles font l'objet. Quand la criminologie s'invente au XIX ème siècle, elle participe d'un courant de pensées fortement marqué par de théories médicales, biologiques et sociologiques incluant la santé mentale et le désordre public dans une police et une criminalistique qui se cherchaient. Aujourd'hui avec quoi, avec qui se construit-elle et où sont les résistances à sa construction ? Pourquoi la criminologie devrait-elle devenir au XXI ème siècle, en Sciences Humaines et Sociales, un bien aussi commun que la Psychiatrie l'a été au XX ème siècle ? En d'autres termes, comment et avec quelles déterminations participons-nous à l'écriture du crime aujourd'hui ? Quelles perspectives en avons-nous, avec quelles rétrospectives? Le cours public organisé cette année va tenter de reprendre quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?
L'approche de la diversité linguistique en socioli...
Ce module sur la diversité linguistique en sociolinguistique est construit autour d'une "fiction pédagogique" - qui expose en quelque sorte le territoire notionnel et conceptuel dynamique de la sociolinguistique actuelle- pour tenter d'expliquer par l’exemple ce sur quoi travaille la sociolinguistique" (d'après le prologue de l'auteur)
La société du risque ? (Cours : La société à l'aub...
Il s'agit du troisième chapitre de la Grande Leçon "La société à l'aube du XXIème siècle". Jean-Yves Trépos, Christelle Stupka et Sabrina Sinigaglia-Amadio nous proposent ici d'aborder notre société et le passage du XXème au XXIème siècle par le biais de la question de "la société du risque ?"
A travers les travaux de d'Ulrich Beck, Anthony Giddens, Peter Knight ou Robert Castel, entre autres auteurs, ils abordent la question de la place de différents types de risques dans notre société, leur mesure, leur expertise et leur perception (risques calculés, risques calculables, catastrophes naturelles et industrielles, théorie du complot, attaques informatiques, insécurité, etc.)
Variations et normes d'une langue (Dynamiques de l...
Ce module sur les variation et normes d'une langue est divisé en trois parties :
- Introduction : considérations autour des termes « variations » et « normes »
- Les facteurs externes de la variation d’une langue
- Typologie des normes : existe-t-il un français / une langue standard ?
- Sécurité / insécurité linguistique et la notion de faute
- Normaison et normalisation : la production discursive des normes
La justice restaurative, vers un nouveau modèle de...
Conférence de Robert Cario, professeur de sciences criminelles, directeur du master "Criminologie et droit(s) des victimes", Université de Pau, président de l'association paloise d'aide aux victimes et de médiation (APAVIM), le 12 février 2007. Toutes les aires culturelles sont concernées par la problématique de la violence, interne ou importée, externe, proche ou lointaine. Le haut niveau de développement de moyens de communication et de diffusion des informations contraint chacun à un spectacle permanent. Des séquences d'affrontement en scènes de harcèlement, ces violences permanentes et persistantes, lues, vues, vécues... se perçoivent en terme d'insécurité, que l'on occulte en les banalisant ou au contraire que l'on cherche à éradiquer en leur donnant une ampleur démonstrative jamais atteinte. Qu'elles soient organisées ou impromptues, classiques ou plus contemporaines, chacun se trouve dans l'obligation de prendre position sur leurs origines et sur les réductions dont elles font l'objet. Quand la criminologie s'invente au XIX ème siècle, elle participe d'un courant de pensées fortement marqué par de théories médicales, biologiques et sociologiques incluant la santé mentale et le désordre public dans une police et une criminalistique qui se cherchaient. Aujourd'hui avec quoi, avec qui se construit-elle et où sont les résistances à sa construction ? Pourquoi la criminologie devrait-elle devenir au XXI ème siècle, en Sciences Humaines et Sociales, un bien aussi commun que la Psychiatrie l'a été au XX ème siècle ? En d'autres termes, comment et avec quelles déterminations participons-nous à l'écriture du crime aujourd'hui ? Quelles perspectives en avons-nous, avec quelles rétrospectives? Le cours public organisé cette année va tenter de reprendre quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?
Aménagements de peine et alternatives à l'incarcér...
Lundi 5 février 2007 Conférence de Philippe Pottier, adjoint au sous-directeur des personnes placées sous main de justice, direction de l'administration pénitentiaire (sous direction PMJ). Toutes les aires culturelles sont concernées par la problématique de la violence, interne ou importée, externe, proche ou lointaine. Le haut niveau de développement de moyens de communication et de diffusion des informations contraint chacun à un spectacle permanent. Des séquences d'affrontement en scènes de harcèlement, ces violences permanentes et persistantes, lues, vues, vécues... se perçoivent en terme d'insécurité, que l'on occulte en les banalisant ou au contraire que l'on cherche à éradiquer en leur donnant une ampleur démonstrative jamais atteinte. Qu'elles soient organisées ou impromptues, classiques ou plus contemporaines, chacun se trouve dans l'obligation de prendre position sur leurs origines et sur les réductions dont elles font l'objet. Quand la criminologie s'invente au XIX ème siècle, elle participe d'un courant de pensées fortement marqué par de théories médicales, biologiques et sociologiques incluant la santé mentale et le désordre public dans une police et une criminalistique qui se cherchaient. Aujourd'hui avec quoi, avec qui se construit-elle et où sont les résistances à sa construction ? Pourquoi la criminologie devrait-elle devenir au XXI ème siècle, en Sciences Humaines et Sociales, un bien aussi commun que la Psychiatrie l'a été au XX ème siècle ? En d'autres termes, comment et avec quelles déterminations participons-nous à l'écriture du crime aujourd'hui ? Quelles perspectives en avons-nous, avec quelles rétrospectives? Le cours public organisé cette année va tenter de reprendre quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?
Entre innovation des conceptions et permanence du ...
Lundi 29 janvier 2007 Conférence d'Eric Pierre, maître de conférences d'histoire contemporaine, directeur adjoint du Centre d'Histoire des Régulations Sociales (HIRES), Université d'Angers. Toutes les aires culturelles sont concernées par la problématique de la violence, interne ou importée, externe, proche ou lointaine. Le haut niveau de développement de moyens de communication et de diffusion des informations contraint chacun à un spectacle permanent. Des séquences d'affrontement en scènes de harcèlement, ces violences permanentes et persistantes, lues, vues, vécues... se perçoivent en terme d'insécurité, que l'on occulte en les banalisant ou au contraire que l'on cherche à éradiquer en leur donnant une ampleur démonstrative jamais atteinte. Qu'elles soient organisées ou impromptues, classiques ou plus contemporaines, chacun se trouve dans l'obligation de prendre position sur leurs origines et sur les réductions dont elles font l'objet. Quand la criminologie s'invente au XIX ème siècle, elle participe d'un courant de pensées fortement marqué par de théories médicales, biologiques et sociologiques incluant la santé mentale et le désordre public dans une police et une criminalistique qui se cherchaient. Aujourd'hui avec quoi, avec qui se construit-elle et où sont les résistances à sa construction ? Pourquoi la criminologie devrait-elle devenir au XXI ème siècle, en Sciences Humaines et Sociales, un bien aussi commun que la Psychiatrie l'a été au XX ème siècle ? En d'autres termes, comment et avec quelles déterminations participons-nous à l'écriture du crime aujourd'hui ? Quelles perspectives en avons-nous, avec quelles rétrospectives? Le cours public organisé cette année va tenter de reprendre quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?
Délinquances et nouvelles infractions
Lundi 27 novembre 2006 Conférence de Jean Danet, maître de conférences à la Faculté de Droit, Université de Nantes. Toutes les aires culturelles sont concernées par la problématique de la violence, interne ou importée, externe, proche ou lointaine. Le haut niveau de développement de moyens de communication et de diffusion des informations contraint chacun à un spectacle permanent. Des séquences d'affrontement en scènes de harcèlement, ces violences permanentes et persistantes, lues, vues, vécues... se perçoivent en terme d'insécurité, que l'on occulte en les banalisant ou au contraire que l'on cherche à éradiquer en leur donnant une ampleur démonstrative jamais atteinte. Qu'elles soient organisées ou impromptues, classiques ou plus contemporaines, chacun se trouve dans l'obligation de prendre position sur leurs origines et sur les réductions dont elles font l'objet. Quand la criminologie s'invente au XIX ème siècle, elle participe d'un courant de pensées fortement marqué par de théories médicales, biologiques et sociologiques incluant la santé mentale et le désordre public dans une police et une criminalistique qui se cherchaient. Aujourd'hui avec quoi, avec qui se construit-elle et où sont les résistances à sa construction ? Pourquoi la criminologie devrait-elle devenir au XXI ème siècle, en Sciences Humaines et Sociales, un bien aussi commun que la Psychiatrie l'a été au XX ème siècle ? En d'autres termes, comment et avec quelles déterminations participons-nous à l'écriture du crime aujourd'hui ? Quelles perspectives en avons-nous, avec quelles rétrospectives? Le cours public organisé cette année va tenter de reprendre quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?
Glossaire sur le thème des paysages
En complément de la ressource, le glossaire facilite et consolide la mémorisation des notions et des fondamentaux en matière de lecture de paysages.