- UOH stamping (1)
- Sciences de la société (2)
- Sciences de l'information et de la communication (1)
- Télécommunications (1)
- Sociologie, Démographie, Anthropologie (1)
- Sociologie des processus sociaux (1)
- Sciences de l'information et de la communication (1)
- Enseignement supérieur (2)
- L3 (1)
- Licence (2)
- Conférence, table ronde et entretien (type UOH) (1)
- Essentiel (type UOH) (1)
- Webographie, bibliographie (1)
L'informatique dans les années 70, révolution ou m...
Si l'immédiat après-guerre représente dans l'histoire de l'informatique une période pionnière du fait de l'émergence des premiers ordinateurs à programme enregistré, il faudra attendre les années 70 pour que se développe grâce à de nombreuses innovations technologiques, un usage interactif et personnel de l'ordinateur.
Industries, universités et grands organismes se partagent les domaines d'innovations : composants, architecture des machines, interfaces homme-machine et transforment l'informatique. Mais peut-on pour autant parler de révolution informatique ?
La négociation contemporaine (Essentiel : Éléments...
Cinquième partie de l'Essentiel "Éléments pour une rencontre de la Sociologie et de l'Économie" qui fait suite à "La négociation (Grande Leçon : La sociologie peut-elle aider à comprendre l'économie, 5/5)". Les auteurs vous proposent de rencontrer Olgierd Kuty, Jean-François Orianne et Christophe Dubois, tous trois sociologues, pour aborder la question de la négociation contemporaine, au moment même où il est question de souffrance au travail, de stress, de violence au travail, de licenciements massifs ou d'exclusion. L'analyse de la négociation contemporaine (depuis les années 1980), appelée aussi post-fordiste ou post-taylorienne, révèle une tension entre deux pôles microsociologiques : négociation contrainte d'une part, coproduction normative (négociation des valeurs) d'autre part, qui révèlent deux états de la régulation autonome. Elle succède à la négociation des Trente Glorieuses (1945-1975), celle des arrangements stratégiques clandestins, que les concepts de Crozier ont aidé à comprendre comme tournant autour d'une règle taylorienne. Aujourd'hui il faut approfondir davantage l'analyse dans deux directions : tout d'abord, le niveau institutionnel (méso) et son articulation au niveau micro; ensuite le monde des acteurs de la régulation de contrôle et la complexité de leurs relations internes, face à la régulation autonome.