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Psychiatrie et justice pénale : aux origines du dé...
Conférence de Marc Renneville, chercheur associé au centre A. Koyré (UMR 8560), chargé de mission "Histoire", direction des enseignements/département de Droit, École Nationale d'Administration Pénitentiaire, le 15 janvier 2007. Le cours public reprend quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?
Critique de la prise en charge des malades mentaux...
L'accroissement ces dernières années de la responsabilisation et de la pénalisation des malades mentaux sévères a provoqué un déplacement de la psychiatrie publique vers la psychiatrie pénitentiaire.
Malgré les tentatives d'adaptation à cette nouvelle réalité et la création des SMPR (service médico-psychologique régional) et des UHSA (Unités d'Hospitalisation Spécialement Aménagées), les prisons demeurent des établissements inadaptés à la prise en charge des malades et handicapés mentaux.
De nombreux rapports ont souligné ces problèmes et des réformes ont été envisagées et engagées mais ces démarches ne sont pas complètement satisfaisantes.
Pour Michel Bezenech, il faut avant tout améliorer le fonctionnement de ce qui existe déjà : donner des moyens en personnel et en lits aux centres hospitaliers, augmenter les moyens médicaux des prisons, évaluer correctement la dangerosité des individus...Il faut légiférer et réglementer moins pour gouverner mieux, pour soigner mieux.
Les nouvelles mystiques féminines dans le regard d...
Contrairement à ce que pourrait laisser supposer le titre de ce cours, je ne souhaite pas aborder l'histoire des mystiques du XIXe siècle à partir des grilles d'analyses psychiatriques ou psychanalytiques, et encore moins exclure les femmes mystiques elles-mêmes de cette histoire, mais je propose une démarche d'histoire sociale, de saisir comment la mystique est travaillée par émergence de nouveaux savoirs et de quelle manière elle se trouve plongée au coeur de nouveaux enjeux de pouvoirs.
La lutte contre les violences sexuelles en milieu ...
Le viol, les attouchements sexuels, le harcèlement sont des pratiques avérées dans le milieu sportif et les cas sont nombreux. Toutefois, les victimes de ces violences sont encore très souvent difficiles à identifier car elles refoulent les abus subis tant par peur d'être exclues du système sportif que par déni (PTSD, syndrome secondaire à un abus sexuel).
Par ailleurs, le lien qui souvent unit la victime à son agresseur (entraîneur, autre sportif...), à la fois soutien, ami, « parent » rend la dénonciation difficile et culpabilisante. Comment déceler les signes d'un abus ? les lieux à risque ? et les agresseurs sexuels, quelle prise en charge pénale, thérapeutique proposer? Psychiatres et médecins légistes répondent.
Sport Intensif et Maltraitance,
3e journées de Psychopathologie du sport
- 4 et 5 juin 2009 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2
Actualités en psychopathologie du sport (Session 2...
Notre société hédoniste voit dans le sport un garant de santé et de bien-être. Pourtant l'activité sportive des enfants prend très souvent l'apparence d'un travail à temps plein : l'entraînement prend le pas sur le loisir.
Doit-on imputer cette transformation aux exigences de performance de notre société et au désir des proches (parents, entraîneurs...) d'assouvir leur propre idéal ou ces déviances sont-elles inhérentes au sport ?
Jean-Christophe Seznec et Pierre-Marie Lincheneau, respectivement psychiatre et psychologue nous livre leur analyse de ce problème, oscillant entre une vision sociologique du sport et un regard mythifié.
Sport Intensif et Maltraitance
3e journées de Psychopathologie du sport
4 et 5 juin 2009 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2 * Actualités en psychopathologie du sport (Session 2)
Neurosciences et linguistique, en hommage à Olivie...
Conférence d'Attie Duval, Professeur en sciences du langage à l'Université Rennes 2. L'observation commune de patients atteints d'aphasie a conduit le Professeur Olivier Sabouraud (Neurologue, 1924-2006) et le Professeur Jean Gagnepain (Linguiste, 1923-2006) à développer une théorie sur le langage qui a radicalement changé l'approche des faits humains. Tous deux ont étendu leurs recherches à toute la pathologie neurologique dite des fonctions supérieures, et à la psychiatrie. Ils ont ainsi élaboré une théorie de la rationalité humaine dite « théorie de la médiation », basée sur quatre plans : le Signe, l'Outil, la Personne et la Norme. L'exposé retracera l'histoire de cette découverte rennaise et les grandes lignes de la théorie de la médiation.
La justice restaurative, vers un nouveau modèle de...
Conférence de Robert Cario, professeur de sciences criminelles, directeur du master "Criminologie et droit(s) des victimes", Université de Pau, président de l'association paloise d'aide aux victimes et de médiation (APAVIM), le 12 février 2007. Toutes les aires culturelles sont concernées par la problématique de la violence, interne ou importée, externe, proche ou lointaine. Le haut niveau de développement de moyens de communication et de diffusion des informations contraint chacun à un spectacle permanent. Des séquences d'affrontement en scènes de harcèlement, ces violences permanentes et persistantes, lues, vues, vécues... se perçoivent en terme d'insécurité, que l'on occulte en les banalisant ou au contraire que l'on cherche à éradiquer en leur donnant une ampleur démonstrative jamais atteinte. Qu'elles soient organisées ou impromptues, classiques ou plus contemporaines, chacun se trouve dans l'obligation de prendre position sur leurs origines et sur les réductions dont elles font l'objet. Quand la criminologie s'invente au XIX ème siècle, elle participe d'un courant de pensées fortement marqué par de théories médicales, biologiques et sociologiques incluant la santé mentale et le désordre public dans une police et une criminalistique qui se cherchaient. Aujourd'hui avec quoi, avec qui se construit-elle et où sont les résistances à sa construction ? Pourquoi la criminologie devrait-elle devenir au XXI ème siècle, en Sciences Humaines et Sociales, un bien aussi commun que la Psychiatrie l'a été au XX ème siècle ? En d'autres termes, comment et avec quelles déterminations participons-nous à l'écriture du crime aujourd'hui ? Quelles perspectives en avons-nous, avec quelles rétrospectives? Le cours public organisé cette année va tenter de reprendre quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?
Aménagements de peine et alternatives à l'incarcér...
Lundi 5 février 2007 Conférence de Philippe Pottier, adjoint au sous-directeur des personnes placées sous main de justice, direction de l'administration pénitentiaire (sous direction PMJ). Toutes les aires culturelles sont concernées par la problématique de la violence, interne ou importée, externe, proche ou lointaine. Le haut niveau de développement de moyens de communication et de diffusion des informations contraint chacun à un spectacle permanent. Des séquences d'affrontement en scènes de harcèlement, ces violences permanentes et persistantes, lues, vues, vécues... se perçoivent en terme d'insécurité, que l'on occulte en les banalisant ou au contraire que l'on cherche à éradiquer en leur donnant une ampleur démonstrative jamais atteinte. Qu'elles soient organisées ou impromptues, classiques ou plus contemporaines, chacun se trouve dans l'obligation de prendre position sur leurs origines et sur les réductions dont elles font l'objet. Quand la criminologie s'invente au XIX ème siècle, elle participe d'un courant de pensées fortement marqué par de théories médicales, biologiques et sociologiques incluant la santé mentale et le désordre public dans une police et une criminalistique qui se cherchaient. Aujourd'hui avec quoi, avec qui se construit-elle et où sont les résistances à sa construction ? Pourquoi la criminologie devrait-elle devenir au XXI ème siècle, en Sciences Humaines et Sociales, un bien aussi commun que la Psychiatrie l'a été au XX ème siècle ? En d'autres termes, comment et avec quelles déterminations participons-nous à l'écriture du crime aujourd'hui ? Quelles perspectives en avons-nous, avec quelles rétrospectives? Le cours public organisé cette année va tenter de reprendre quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?
Dans l'espace du soupçon : terrorisme et société
Lundi 11 décembre 2006 Conférence de Dominique Linhardt, sociologue, Ecole nationale supérieure des mines de Paris, Centre de sociologie de l'innovation. Toutes les aires culturelles sont concernées par la problématique de la violence, interne ou importée, externe, proche ou lointaine. Le haut niveau de développement de moyens de communication et de diffusion des informations contraint chacun à un spectacle permanent. Des séquences d'affrontement en scènes de harcèlement, ces violences permanentes et persistantes, lues, vues, vécues... se perçoivent en terme d'insécurité, que l'on occulte en les banalisant ou au contraire que l'on cherche à éradiquer en leur donnant une ampleur démonstrative jamais atteinte. Qu'elles soient organisées ou impromptues, classiques ou plus contemporaines, chacun se trouve dans l'obligation de prendre position sur leurs origines et sur les réductions dont elles font l'objet. Quand la criminologie s'invente au XIX ème siècle, elle participe d'un courant de pensées fortement marqué par de théories médicales, biologiques et sociologiques incluant la santé mentale et le désordre public dans une police et une criminalistique qui se cherchaient. Aujourd'hui avec quoi, avec qui se construit-elle et où sont les résistances à sa construction ? Pourquoi la criminologie devrait-elle devenir au XXI ème siècle, en Sciences Humaines et Sociales, un bien aussi commun que la Psychiatrie l'a été au XX ème siècle ? En d'autres termes, comment et avec quelles déterminations participons-nous à l'écriture du crime aujourd'hui ? Quelles perspectives en avons-nous, avec quelles rétrospectives? Le cours public organisé cette année va tenter de reprendre quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?