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Sport intensif: douleur et performance
Université de Bordeaux

Marginalisés et assujettis à des normes strictes de dépassement de soi et de performance, les sportifs sont soumis à des règles de vie et à des entraînements intensifs éprouvants. Mais quels rapports entretiennent-ils avec la douleur et la souffrance ? Faut-il souffrir pour être performant ?

Les témoignages qu'apportent David Douillet et Serge Simon sont unanimes: de par ses valeurs et son idéologie, le milieu sportif intègre et banalise les sensations de douleur et de blessure. A force d'efforts et d'entraînements, la douleur devient même un indicateur de progrès : avoir mal, souffrir fait partie du contrat. Résistants à la douleur, les sportifs de haut niveau en deviennent des surhommes surprotégés car ils ont le devoir d'user de leurs corps sans jamais l'user.

Mais la banalisation de la souffrance rend difficile le repérage et la reconnaissance des pathologies psychologiques et physiques. Reconnues comme normales malgré le cadre légal, certaines blessures échappent à la prise en charge sanitaire alors que ce qui est d'urgence sanitaire chez le non-sportif l'est tout autant chez le sportif de haut niveau. Mais peut-on remettre en cause un système qui fonctionne ?

2ème journées de Psychopathologie du sport

- 5 et 6 juin 2008 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2 * Le soin dans cet univers « hors normes ».

Les conditions de l'intégration scolaire de la gym...
Université de Franche-Comté

L'histoire de l'EP française s'est assez peu préoccupée des évènements antérieurs à l'intégration scolaire de la gymnastique en janvier 1880 à l'exception de quelques travaux sur les grandes modifications épistémiques des corps et des savoirs et sur les grands acteurs. On s'accorde à dire que la gymnastique a répondu à la fameuse « orthodoxie scolaire » (Arnaud) sans penser que la discipline scolaire résulte d'évolutions corporelles intéressant tout le champ sociétal. Cette grande leçon envisage donc de prendre le contrepied des options habituellement retenues. Autrement dit, la formation des corps, conduisant à l'élaboration d'une gymnastique particulière, n'a-t-elle pas été à l'origine de l'orthodoxie scolaire en raison des relations étroites tissées entre Ecole, société civile et domaine politique ? De nombreux facteurs jouant sur la transformation des corps ont préparé l'avènement de la gymnastique scolaire. Bref, avant les propositions de Gréard (1867-1868), l'orthodoxie scolaire de la gymnastique a une histoire qu'il convient de raconter.

Plan :

Introduction

I. Les débuts de la gymnastique de formation en France

II. Les débuts d'une prise en compte d'une gymnastique scolaire par l'Etat

III. Premières obligations scolaires de la gymnastique

Conclusion

Actualités en psychopathologie du sport (Session 2...
Université de Bordeaux

Notre société hédoniste voit dans le sport un garant de santé et de bien-être. Pourtant l'activité sportive des enfants prend très souvent l'apparence d'un travail à temps plein : l'entraînement prend le pas sur le loisir.

Doit-on imputer cette transformation aux exigences de performance de notre société et au désir des proches (parents, entraîneurs...) d'assouvir leur propre idéal ou ces déviances sont-elles inhérentes au sport ?

Jean-Christophe Seznec et Pierre-Marie Lincheneau, respectivement psychiatre et psychologue nous livre leur analyse de ce problème, oscillant entre une vision sociologique du sport et un regard mythifié.

Sport Intensif et Maltraitance

3e journées de Psychopathologie du sport

4 et 5 juin 2009 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2 * Actualités en psychopathologie du sport (Session 2)

Le sport intensif, un univers « hors normes ». Le ...
Université de Bordeaux

L'engouement que suscite aujourd'hui le sport dans nos sociétés modernes est à la hauteur des performances réalisées par les sportifs. Le sport fascine et rassemble les foules. Mais cet univers est-il vraiment « hors normes » ? Quelle est la frontière entre normalité et pathologie ?

Le sport, qu'il soit intensif ou de haut niveau, est régi par des normes et des codes qui le singularisent et en font un univers « extraordinaire »: rigorisme, exemplarité, intransigeance, performance...De ce fait, il constitue au même titre que la famille, le travail ou la politique, une sphère sociale avec son propre système normatif et ses propres valeurs d'excellence.

Mais à côté de ces spécificités, le monde sportif s'appuie sur de nombreuses valeurs sociales validées comme l'idéal de justice sociale, le culte du corps et de la santé ou la norme esthétique de la minceur. Ces principes fondateurs, par lesquels on entend susciter performances et dépassements de soi, sont également des facteurs de risque pour le sportif. La « pression » morale et/ou psychologique qu'ils impliquent est très souvent la cause de pathologies graves, de dépendance au sport ou de troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie, obésité). L'équilibre de l'univers sportif est donc un équilibre fragile et instable, au seuil entre normalité et pathologie.

2ème journées de Psychopathologie du sport

- 5 et 6 juin 2008 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2

Approche globale de la maltraitance
Université de Bordeaux

La maltraitance sportive vue à travers le filtre de l'anthropologie, du droit et de la sociologie.

Trois regards avertis sur la « société sportive » et une même volonté de combattre les violences subies par les sportifs de haut niveau. Une cause juste qui bénéficie de l'appui des instances officielles et pénales et voit la multiplication des programmes de lutte, des campagnes de prévention et une clarification des lois. Il s'agit là d'un combat difficile car les victimes sont encore trop nombreuses à se taire au nom de la performance mais aussi au nom de valeurs, de codes dont la micro-société sportive est vectrice et qui, s'ils ne justifient pas l'inacceptable, légitiment certaines pratiques sportives. La frontière entre acceptable et inacceptable est très variable : ce qui est considéré comme une pratique admise en France ne le sera pas forcément dans un autre pays ; les critères de jugement évoluent selon les sociétés, les cultures, les traditions. Il faut donc traiter le problème de la maltraitance sportive avec un certain relativisme et replacer le comportement étudié dans son contexte culturel.

« Aucune société n'est parfaite. Toutes comportent une impureté incompatible avec les normes qu'elles proclament, et qui se traduit concrètement par une certaine dose d'injustice, d'insensibilité, de cruauté. Des sociétés qui nous paraissent féroces à certains égards savent être humaines et bienveillantes quand on les envisage sous un autre aspect. » Claude Lévi-Strauss, Tristes Tropiques

Sport Intensif et Maltraitance

3e journées de Psychopathologie du sport

4 et 5 juin 2009 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2 * Approche globale de la maltraitance

La « bulle sportive ». Les micros sociétés, l'élit...
Université de Bordeaux

Fondée sur une idéologie structurante et protectrice forte, l'institution sportive a des effets régulateurs sur le comportement des sportifs qu'elle mobilise vers un idéal. Le sentiment d'appartenance à une communauté et d'engagement vers un objectif défini sont des valeurs qui offrent un cadre rassurant et stimulant. Mais à vouloir surprotéger, à vouloir trop donner, ne risque t-on pas de marginaliser et d'uniformiser le milieu sportif car nous le constatons déjà l'idéologie sportive a ses contreparties et ses ambivalences. Elle génère des angoisses sur la valeur : suis-je apte à atteindre cet idéal sportif ?, elle suggère une uniformisation des comportements et freine les échanges verbaux car la priorité c'est la performance. Tenus écartés des réalités du monde ordinaire et assujettis à des codes de comportement uniformes, les sportifs, en formation ou déjà confirmés, peuvent par la suite avoir du mal à trouver leurs repères à l'extérieur. L'idéologie sportive est donc, au même titre que le dopage ou l'isolement géographique, un facteur déterminant de la marginalisation des sportifs, elle est partie composante de la « bulle sportive ».

2ème journées de Psychopathologie du sport

- 5 et 6 juin 2008 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2

Le sport intensif, un univers « hors normes ». Du ...
Université de Bordeaux

L'engouement que suscite aujourd'hui le sport dans nos sociétés modernes est à la hauteur des performances réalisées par les sportifs. Le sport fascine et rassemble les foules. Mais cet univers est-il vraiment « hors normes » ? Quelle est la frontière entre normalité et pathologie ?

Le sport, qu'il soit intensif ou de haut niveau, est régi par des normes et des codes qui le singularisent et en font un univers « extraordinaire »: rigorisme, exemplarité, intransigeance, performance...De ce fait, il constitue au même titre que la famille, le travail ou la politique, une sphère sociale avec son propre système normatif et ses propres valeurs d'excellence.

Mais à côté de ces spécificités, le monde sportif s'appuie sur de nombreuses valeurs sociales validées comme l'idéal de justice sociale, le culte du corps et de la santé ou la norme esthétique de la minceur. Ces principes fondateurs, par lesquels on entend susciter performances et dépassements de soi, sont également des facteurs de risque pour le sportif. La « pression » morale et/ou psychologique qu'ils impliquent est très souvent la cause de pathologies graves, de dépendance au sport ou de troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie, obésité). L'équilibre de l'univers sportif est donc un équilibre fragile et instable, au seuil entre normalité et pathologie.

2ème journées de Psychopathologie du sport

- 5 et 6 juin 2008 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2

Spécialisation précoce (Controverse 1 - Spécialisa...
Université de Strasbourg

Balance bénéfice-risque de la spécialisation précoce pour la santé de l’enfant

Aux fondements de l'identité de la culture corpore...
Université de Franche-Comté

A quel moment peut-on dire que la gymnastique est devenue scolaire ? Bien sûr, la loi George de 1880 instituant l'obligation scolaire de la gymnastique est la réponse la plus facile, mais est-elle la plus convaincante ? Au cours du XIXème siècle, des tentatives d'impositions législatives antérieures (1854 Fortoul, Duruy 1869) ont eu lieu. Or, elles-mêmes sont les conséquences d'idées, de courants et d'actions politiques et culturelles plus ou moins abouties qui ont commencés bien avant. Par ailleurs, la nature des pratiques elles-mêmes pose le souci de l'identité scolaire de cet enseignement. Il faut donc remonter le temps et le questionner de manière idoine ! Dès lors, dans cette présentation nous tenterons resituer de manière plus complexe le phénomène « d'intégration » scolaire à travers quatre parties qui s'échelonnent depuis les préoccupations privées et philosophiques de la gymnastique au XVIIIème siècle pour devenir une réelle préoccupation nationale.

 

Plan :

Introduction

I. L'émergence d'une idée d'éducation physique nationale au regard du patrimoine culturel hexagona

lII. De nouvelles finalités : une EP patriotique (1789-1795)

III. La possibilité d'une autre éducation corporelle ? (1794-1801)

IV. Les réformes napoléoniennes : retour ou progrès ? (1801-1814)

Conclusion