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Pendant les répétitions : la présence du spectateu...
Université Ouverte des Humanités

La présence du spectateur et son impact pendant les répétitions d'un spectacle.

Après la 1ère représentation : influences de la ré...
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Deux entretiens réalisés avec la metteur en scène Madeleine Louarn et l'éducatrice Erwana Prigent (avant les répétitions).

 

Tentatives de définitions du film documentaire (Pe...
Aix-Marseille Université

Définir le cinéma documentaire occasionne un débat sans fin : est-ce simplement l'« interprétation créative de la réalité » ? Nous allons voir que le documentaire n'est pas un genre au sens des films de genre, caractérisés par leurs sujets ou leurs effets sur les spectateurs et que ses caractéristiques formelles ne suffisent pas à le définir.

"De la théorie à la pratique de l'Anthropologie Vi...
Aix-Marseille Université

Le cinéaste propose de répondre à certaines questions qui éclairent sa pratique du cinéma anthropologique :

1. L'anthropologue doit-il être un cinéaste ?

2. Y a t-il une convergence entre l'anthropologie contemporaine et le cinéma ?

3. Quelles différences entre le film et le texte

4. Quelles relations entre le cinéaste, le sujet et le spectateur

5. L'écriture est-elle conçue uniquement au montage ?

6. Quelle type de connaissance propose l'anthropologie visuelle ?

Châteaubriand, l'indompté
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Collection "Les Bretons et leur Histoire" (n° hors série) Né à l'aube de grandes mutations sociales dont les "Mémoires d'outre-tombe" s'appliquent à rendre compte et expliquer, le "barde d'Armorique" traverse près d'un siècle de bouleversements historiques, soit en spectateur enclin aux chimères soit en acteur tantôt investi, tantôt désinvesti. Ecartelé, de toutes façons, entre une indéfectible fidélité à la monarchie des "fils de Saint-Louis" et une intelligence aiguë de temps nouveaux qu'il sait ne pouvoir accompagner jusqu'au bout.

La couleur au cinéma
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Grande Leçon Cinématographique.

Nous savons tous qu'il existe deux façons principales de définir la couleur :

  • l'une, objective, qui la définit comme un phénomène produit physiquement ;
  • l'autre, subjective, qui la définit comme un phénomène perçu par notre cerveau à partir des informations transmises par l'oeil.

Dans le premier cas, il s'agit d'analyser et de comprendre un ensemble mesurable de phénomènes physiques objectifs.

Dans le second, il s'agit plutôt de décrire l'expérience psychosensorielle du spectateur qui perçoit et interprète les informations de couleurs qui l'environnent. Le cours qui suit va tenter de discuter la notion de couleur dans ces deux aspects.

"De la théorie à la pratique de l'Anthropologie Vi...
Aix-Marseille Université

"Les films documentaires portant l’estampille « MacDougall » ont l’immense mérite de laisser advenir des situations de la vie courante dans lesquelles « des gens » (des aborigènes d’Australie, des Turkana du Kenya, des photographes ambulants, des étudiants indiens) révèlent leur intelligence, leur humour et la profondeur de leurs réflexions sur le sens de leur vie. Donner au spectateur l’accès à une manière de considérer le temps, l’espace, la vie, le travail, la mort, l’amour, c’est tout l’art des MacDougall, qui excellent à restituer de manière sensorielle des lieux et des paroles. Pourquoi et de quoi vivent les bergers sardes ? Quels sont les horizons et les aspirations des élèves d’un grand internat de l’Inde postcoloniale ? C’est le genre de question auxquelles les films de MacDougall s’efforcent de répondre ? Cette œuvre est fortement politique en ce qu’elle ne se borne pas à préserver les traces d’un mode de vie en voie de disparition, mais finit par faire intrinsèquement partie des efforts consentis par les personnages des films eux-mêmes pour exprimer leurs opinions."

Cette leçon propose l'étude des films suivants de David Mac Dougall :

Chap 1. Créer une géographie imaginaire (durée: 7mn), Extrait du film : Lorang's Way, 69mn, 1997

Chap 2. Comprendre le comportement humain (durée: 7mn ), Extrait du film : With Morning Hearts, 87mn, 2001.

Chap 3. Comprendre les processus de pensées durée: 7mn), Extrait du film : The age of raison, 2004.

Chap 4. Le croisement des regards (durée:6mn), Extrait du film : Karam in Jaipur, 2001.

Chap 5. L'interaction entre le sujet et le cinéaste (durée:6mn), Extrait du film : The New boys, 2003.

Chap 6. Comprendre l'expérience humaine (durée: 18mn), Extrait du film : Gandhi's Children, 185min, 2008

Marc Henri Piault Leçon 7 : Cinéma vérité - Cinéma...
Aix-Marseille Université

La parole en action : cinéma-vérité, cinéma-direct ?

 

Richard Leacok, associé aux USA avec Robert Drew, Dan Pennebaker et Albert Maysles (Drew Associates) propose d’enregistrer les événements sans influencer leur déroulement et, à la limite, sans que la présence de la caméra ne soit perçue. C’est une exploration du champ apparemment paradoxal de l’objectivité engagée (R.Drew, R.Leacock, A.etD. Maysles : The children are watching) qui tentera une transcription de l’émotion dans la totalité d’un événement (D. Pennebaker : Monterey Pop). Voir et ressentir, ce sont là des propositions propres au cinéma direct.

La période de l’après-guerre est aussi dans le monde une période d’interrogation sur les appartenances et les définitions nationales. Au Canada le cinéma de l’Office National du Film, destiné d’abord à présenter le Canada aux Canadiens, permet de manifester différentes interrogations identitaires, en particulier pour les cinéastes québécois. Pendant les années 1958-1960 un courant appelé Candid Eye (l’Oeil Candide) vise à aborder la réalité du quotidien sans idée préconçue (Michel Brault, Marcel Carrière, Gilles Groulx : Les Raquetteurs ; Wolf Koenig, Roman Koitor : Lonely Boy/Paul Anka).Il s’agit aussi pour le cinéma québéquois de revaloriser une culture et une langue nationale en s’approchant des lieux, des gens et en partageant leur parole (Pierre Perrault : La Bête Lumineuse ; Pour la suite du monde, Le règne du jour, ...). Comme le dit Perrault : « Un dialogue vécu doit être tiré de la substance même des personnages. » Le cinéaste reste son premier spectateur et il se pose des questions avec lesquelles il rencontre les autres.

 

C’est ce qu’a tenté en France Mario Ruspoli  (Les Inconnus de la terre ; Regard sur le Folie ; La fête prisonnière). Pour lui, regarder c’est suivre et reconnaître l’intention des gestes et non pas les décomposer en suivant les plans unifiés d’une mesure universelle de l’efficace. C’est aussi, et peut-être surtout, écouter une parole en situation et non dans un dialogue préconçu par l’observateur.

Cette écoute est essentielle à l’établissement d’une situation anthropologique introduisant la présence de l’anthropologue dans ce dont il doit rendre compte : elle le met lui-même, par l’échange des regards, dans un processus partagé de connaissance. Les conditions à partir desquelles s'organise, se projette l'intention d'une réalisation filmique peuvent être décisives et c'est ce que nous montre l'expérience menée au Brésil de 1964 à 1980 où, pour échapper à la dictature, des cinéastes, lancés par Thomaz Farkas (Brasil Verdade ; Herança do Nordeste), vont tenter de faire le portrait cinématographié d’un peuple et d’une région, le Nordeste mythique du Brésil. Le cinéma se donne une mission rejoignant celle des sociologues brésiliens : définir l’identité d’un peuple. Connaissance et re-connaissance sont les objectifs poursuivis, c’est une construction de la réalité témoignant d’une société en mouvement et montrant ce qu’alors il faut cacher.