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La Valeur de l'oeuvre littéraire, entre pôle artis...
sillages.info

Podcasts audio/vidéo de la présentation de l'ouvrage collectif "La Valeur de l'oeuvre littéraire, entre pôle artistique et pôle esthétique" répondant à l'un des axes du programme de français de khâgne (session 2013) organisée à l'Ecole normale supérieure, à Paris, le 12 janvier 2013

Un Montaigne qui cache bien son jeu, Du comte d'Ho...
Ecole normale supérieure de Lyon

Exposés et entretiens autour de l'exemplaire des "Essais" de Montaigne, appartenant à la Bibliothèque municipale de Lyon :

- entretien avec Yves Jocteur-Montrozier (bibliothèque municipale de Lyon) ;

- entretien avec Jean Viardot (expert auprès de la Cour d’appel de Paris pour les livres rares et précieux) et Yves Jocteur-Montrozier (bibliothèque municipale de Lyon) ;

- entretien avec Emmanuel Naya (Maître de conférence, Université Lyon 2) et Catherine Volpilhac-Auger (ENS de Lyon et IUF).

L'impact de la traduction de la Bible sur l'éveil ...
Le Mans Université

Au milieu du XIXe siècle, des intellectuels arabes manifestent le souhait de revivifier un patrimoine hérité en consonance avec certaines démarches adoptées dans l'espace européen depuis le XVIe siècle. Le terme "Nahda", souvent traduit par Renaissance, prend diverses acceptions, mais il se voit aussi supplanté par le terme "Isläh" aux connotations religieuses marquées. Nombreux sont les acteurs de ce mouvement transversal de renaissance arabe moderne, à la fois littéraire, politique, culturelle et religieux dont les prémices ont commencé à apparaître avec la fin du XVIIIe siècle. 

Colloque Mai 68 en quarantaine
Ecole normale supérieure de Lyon

Ce colloque associe plusieurs disciplines qui ont rarement été convoquées ensemble à ce propos. En revenant sur les effets philosophiques, sociaux et politiques, littéraires et artistiques de Mai 68, il se donne pour objectif d'en tracer les suites effectives et constatables, en associant la sociologie, l'histoire, les sciences politiques, les études littéraires, la sociologie de l'art et la philosophie.

Le darwinisme au regard de la revue des Jésuites, ...
Le Mans Université

Al-Mashrîq est une revue scientifique arabophone mensuelle, fondée en 1898 sous la direction des Jésuites à Beyrouth par l'orientaliste arabisant Louis Cheikho. Sous-titrée Revue Catholique Orientale, elle traite un large éventail de thèmes historiques, littéraires, scientifiques, religieux et artistiques. Dans les volumes 8,9, 10, 11 et 12 qu'elle consacre à l'importante question de l'origine de l'homme, le père Alexandre Torrend reprend certains éléments du darwinisme en les opposant aux darwinistes qualifiés de " matérialistes" et d'"intellectualistes", deux doctrines présentées comme des filles du XIXe siècle. 

Le réformisme islamique et la science moderne - Al...
Le Mans Université

Au cours du XIXe sècle, l'Empire ottoman est amené à moderniser ses structures politiques et sociales, face à la pression européenne. Dans les provinces arabes du Moyen-Orient ottoman s'opère alors des changements de nature diverse, dans les domaines politique, littéraire, artistique, social et religieux. La notion d'"éveil" - Nahda en arabe - fait son apparition, pour désigner le combat visant à extraire la société arabe de la "stagnation" (inhitat) dans laquelle elle se trouve. La Nahda est ainsi supposée annoncer une ère nouvelle de réformes et nécessairement en rupture avec un passé considéré comme obscurantiste et inique (zulm), ou tout du moins sclérosé (djumud). En ce sens, la Nahda se rapporte à un processus visant au changement, plutôt qu'à un événement précis, et on comprend aisément que sa nature peut varier en fonction des origines sociale, politique et géographique de ses acteurs. 

La « fin » de la religion pharaonique
Le Mans Université

L'idée que la religion de l'Égypte ancienne puisse d'effondrer s'exprime, de manière très littéraire, dans un texte célèbre, mais dont il est délicat d'évaluer la relation exacte qu'il pourrait entretenir avec des événements historiques réels. Il s'agit d'un passage de l'Asklepios, un texte apocalyptique appartenant au corpus hermétique. Cette lamentation développe le thème de la fuite des dieux, quittant leur pays, abandonnant l'Égypte ; elle évoque aussi prophétiquement un changement culturel - des étrangers vont venir en Égypte, une population qui sera dépourvue de l'observance de la religio qui était celle des anciens habitants - conduisant à l'abolition de l'ancienne piété et à l'oubli des cultes. L'Égypte "désertée" par les dieux, l'abandon des cultes, de la perte et de l'oubli, c'est la mort d'une culture en quelque sorte. 

Un livre, deux regards
Ecole normale supérieure de Lyon

Le livre n’est-il que le support d’un texte, d’une œuvre ? C’est aussi un objet, qui se caractérise par sa mise en page, son papier, ses caractères d’imprimerie, sa reliure, son illustration, en un mot par sa technique et son histoire propres. Mettez un spécialiste de littérature et un historien du livre devant le même ouvrage, ils ne verront pas la même chose…

« Un livre, deux regards » aborde sous deux angles différents sept ouvrages, du XVe au XIXe siècle, pour vous faire découvrir les trésors de collections lyonnaises. Les documents, choisis parce qu’ils sont exceptionnels ou particulièrement représentatifs, sont présentés par des spécialistes, qui vous montrent ce qui retient leur attention et mérite explication : ainsi l’Hypnerotomachia Poliphili ou songe de Poliphile (1499) constitue à la fois une prouesse typographique, due au grand imprimeur de Venise, Alde Manuce, et un texte d’une richesse foisonnante. Pour en rendre compte, dialoguent une conservatrice des bibliothèques et une universitaire, qui soulignent les détails remarquables d’un ouvrage devenu mythique et qui reste mystérieux pour bien des raisons.

De même deux voix alternent pour décrire et surtout révéler les implicites d’un ouvrage beaucoup plus tardif et sans aucune valeur bibliophilique ou d’érudition, mais très intéressant pour l’histoire de l’édition, un exemplaire de la collection Ad usum Delphini ; d’autres encore permettent de découvrir comment se fabriquent les ouvrages de Jules Verne et comment se constitue un public au temps de l’industrie du livre : phénomène que l’on ne comprendra que si l’on évoque son éditeur, Hetzel. Mais ces voix ne sont ni discordantes, ni opposées : elles se renforcent l’une l’autre. Comment envisager autrement le Livre de Pomorié, ce livre manuscrit suscité par des conflits théologiques au cœur de la Russie du xviiie siècle ? Il faut entrer dans une histoire séculaire pour mesurer les conséquences de ces affrontements et les déchiffrer au fil des pages.

Il faut aussi deux éclairages différents pour apprécier pleinement l’importance en leur temps des « caractères de civilité », qui nous renvoient à l’idéal d’éducation et de sociabilité d’Érasme, donc à une composante essentielle de l’humanisme. Et si un incunable témoigne du rôle que pendant des siècles Virgile joua dans la culture classique, il révèle aussi les débuts de l’imprimerie et permet de mesurer le chemin parcouru depuis le xve siècle. Dernier aspect qui méritait d’être évoqué : le phénomène étrange de la bibliophilie, abordé grâce à un Montaigne relié de manière étonnante, qui voyagea dans les collections des plus riches amateurs avant d’arriver à la bibliothèque municipale de Lyon, et dont le texte donne l’occasion d’exposer les difficultés auxquelles sont confrontés, aujourd’hui plus que jamais, les éditeurs des Essais.

Histoire du livre, histoire de la lecture, histoire culturelle, autant de champs qui doivent s’ouvrir à tous ceux, littéraires et philosophes, qui s’intéressent aux textes avec le souci d’en reconstituer les conditions initiales de lecture pour mieux en pénétrer le sens ; autant de champs qui réciproquement doivent s’enrichir des usages et des méthodes de ces lecteurs passionnés.

C’est dans cette perspective qu’il faut replacer ces sept rencontres autour d’un livre ; sept moments de discussion et d’échange des connaissances, qui permettent aussi de guider ceux qui découvrent le domaine du livre ancien, en offrant des ouvrages rares et précieux aux regards, innombrables, de tous ceux qui aiment les livres.

Les gens du livre (Lyon, une capitale du livre à l...
Ecole normale supérieure de Lyon

Au milieu du XVIe siècle, 500 ou 600 personnes vivent de l'imprimerie à Lyon : leurs identités et leurs fonctions sont diverses et leur histoire est faite de trajets individuels, de mouvements collectifs et parfois de conflits.Par leurs compétences techniques ou commerciales, ces gens du livre nouent des relations avec différents acteurs, résidents ou passagers, de la vie lyonnaise : financiers susceptibles d'investir dans le marché des livres, protecteurs parfois issus de la cour royale, savants et écrivains en quête de publication.

C'est en entrant dans les ateliers et en parcourant les rues de la ville, grâce aux gravures du XVIe siècle, et aussi en ouvrant les livres eux-mêmes, que l'on peut tenter de reconstituer l'univers de ces gens du livre.