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L'« islam politique » et la violence dans le monde...
Le Mans Université

Dans la plupart des pays majoritairement musulmans, l'islam est proclamé « religion d'Etat » et la sharî‘a source principale voire exclusive de toute législation. L' « islam politique » se définit lui-même comme un projet d'instauration d'un gouvernement se fondant sur le Coran, le Hadîth et des valeurs associées qui sont promues comme normes suprêmes, ainsi que sur l'islamisation des codes, des pratiques et des discours dans l'espace public. L'« islamisme » n'est pas un mouvement monolithique, même si tous ceux qui s'y attachent se reconnaissent dans une vision binaire du monde, opposant le dâr al-islâm d'un côté et le dâr al-kufr de l'autre.

Il a pris trois formes distinctes, chacune porteuse d'un rapport au monde et de modes opératoires spécifiques :

- Les mouvements islamiques politiques (al-harakat al-islâmiyya al-siyâssiyya), représentés par l'association des Frères musulmans en Egypte, matrice d'autres organisations au Maghreb et au Moyen-Orient ayant pris des visages différents.

- Les mouvements islamiques missionnaires en vue de la conversion (al-da‘wa). Leur objectif primordial n'est pas le pouvoir politique, mais la défense et la promotion d'une orthopraxie, d'une orthodoxie, d'une identité, d'un ordre moral face à ce qu'ils appellent l' « incroyance » (kufr ou zandaqa).

- Les mouvements djihadistes (al-harakat al-jihâdiyya), qui appellent à la lutte armée contre l' « ennemi proche », à savoir les régimes se référant à l'islam mais considérés par eux comme « impies » (nuzumkuffâr), et à la lutte globale contre l' « ennemi lointain », c'est-à-dire prioritairement « l'Occident non-musulman », mais aussi les bouddhistes ou les hindous en Asie. Ils se réclament notamment de la pensée de l'Egyptien Sayyid Qutb

Colloque L'Islam et l'Occident à l'époque médiéval...
Ecole normale supérieure de Lyon

Organisé par les laboratoires Triangle Action, discours, pensée politique et économique (UMR 5206), Cerphi Centre d'Etudes en Rhétorique, Philosophie et Histoire des Idées, Ciham Centre Interuniversitaire d'Histoire et d'Archéologie Médiévales à l'Ecole normale supérieure Lettres et sciences humaines, ce colloque international est conçu comme un moment de débat scientifique et d'échanges sur les enjeux sociaux de l'écriture de l'histoire, dès lors que l'on traite du monde arabo-musulman, de ses rapports avec les sociétés occidentales et, plus particulièrement, de la transmission des savoirs entre les deux mondes au Moyen Âge.

Représentations figurées et images dans l'art musu...
Le Mans Université

L’art arabo-musulman d’Al-Andalus est l’expression et le produit d’influences diverses. Il s’inspire des pratiques préislamiques, il est marqué par le cadre juridique musulman qui s’élabore aux VIIIe et IXe siècles, il bénéficie des contacts entre populations musulmanes, chrétiennes et juives et d’une circulation intense des biens et des mouvements de pensée.

Islam et liberté de conscience : débat entre droit...
Le Mans Université

Après le printemps arabe en 2011, plusieurs États majoritairement musulmans ont choisi de modifier leurs textes constitutionnels. Ce fut l'occasion pour plusieurs d'entre eux d'adhérer aux conventions internationales des droits de l'homme, dont celle concernant la liberté de croyance, en faisant cependant toujours référence à l'état de droit, de liberté et de justice sociale, d'une part, tels que conçus dans les normes internationales et à la shari'a, d'autre part. Parmi ces États figure le Maroc, qui a fait le choix de faire figurer dans sa constitution ces deux piliers A ce niveau-là une problématique se pose ; elle se focalise sur l'adéquation conceptuelle entre le droit musulman, basé sur le Coran et la sharia'a, et les droits de l'Homme concernant la liberté de croyance. En effet, les textes des constitutions et des conventions internes des états arabo-musulmans (Charte arabe des droits de l'homme, la déclaration des droits de l'homme en islam, la déclaration islamique universelles des droits de l'homme, la déclaration de Marrakech, ...) présentent plusieurs éléments d'incompatibilité avec la Déclaration universelle des droits de l'Homme en particulier concernant le droit d'un musulman de choisir de changer de religion. Comment ces textes traitent et intègrent-ils le concept de « liberté de religion » ? Et à quel point ces textes se contredisent-ils avec les textes universels sur le plan du droit à la liberté de croyance ?