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Les traditions de la pensée politique de l'Islam c...
Troisième chapitre d'une première partie du cours Averroès, intitulée "une biographie politique".
Bien qu'il y ait eu, en terre d'Islam, de nombreux philosophes entre les XIIIe et XVIIe siècles, de l'andalou Ibn Sab'în (XIIIe siècle) jusqu'au perse Molla Sadra (XVIIe siècle), la plupart des recherches s'accordent à dire que c'est Averroès (1126-1198) qui est le dernier philosophe de la civilisation de l'Islam classique. Ce jugement, qui doit être nuancé sur certains points, repose principalement sur l'ampleur du projet qu'il a réalisé, et surtout sur la réception de ce même projet dans l'Occident latin pendant le Moyen Âge.
Le droit de la guerre en Islam : Comparaison avec ...
Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.
Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.
Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.
Les Tanzimats : religions, droits et libertés dans...
Dès sa naissance au début du XIIIe siècle dans la partie orientale du monde islamique, l’État ottoman a su reprendre à son compte le patrimoine juridique et jurisprudentiel perse et seldjoukide et en faire les piliers de sa construction étatique. Par la suite et tout au long de ses six siècles d'histoire, il a réussi à agréger diverses traditions juridiques constituant un ensemble de textes connu sous différents noms : Kanun-name, adalet-name ou siyaset-name, régissant aussi bien l'administration et la justice que les affaires militaires et financières. Deux grandes périodes peuvent être distinguées dans l'histoire de l'Empire ottoman. Des origines, jusque 1839 et le début de la période des Tanzimat, la shari'a est la source toute législation. Avec les Tanzimat, la législation est réformée en profondeur. A travers les grandes étapes des réformes : le Hatt-i Sharif de Gülhane en 1839, le Hatt-i Humayoun en 1856 et la promulgation de la constitution ottomane en 1876, de nombreuses dispositions antérieures sont abandonnées. En témoigne en particulier l'adoption du code civil ottoman (Majalet al ahkam al adlya) qui constitue un changement juridique et doctrinal majeur dans l'histoire de l'Empire. L'objectif de cette étude sera de comprendre comment les normes juridiques de l’État ottoman étaient fixées et de mesurer à quel point les Tanzimat constituent une rupture dans l'histoire de la législation d'un Etat musulman.
Jihâd et harb (Cours : Guerre et Paix en Islam, 2/...
Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.
Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.
Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.
Conclusion (Cours : Guerre et Paix en Islam, 14/14...
Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.
Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.
Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.
Guerre et Paix en Islam
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Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.
Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.
Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.
La guerre et le contexte coranique (Cours : Guerre...
Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.
Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.
Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.
La pensée de la guerre chez les islamistes (Cours ...
Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.
Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.
Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.
Approche du thème de la guerre en islam : introduc...
Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.
Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.
Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.