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Les paradoxes des Sciences humaines
Eclaircissements sur quelques thèses importantes concernant les sciences humaines : - les sciences humaines sont nées au 19ème siècle - ce n'est pas l'homme qui est l'objet des sciences humaines (Foucault) - les sciences humaines vont bientôt devenir de vraies sciences (la question du prototype en matière de science). - Science, invention et cumulation des résultats. Sciences humaines et technologies.
"Partie carrée" : les Fêtes galantes de Debussy
Dernière-née de la série L’Opus à l’œil, cette ressource sur les Fêtes galantes aborde à nouveau une œuvre « multiple », où le couple Debussy-Verlaine croise le couple Couperin-Watteau dans une "Partie quarrée" associant deux époques (le XVIIIe siècle de la Régence et le tournant du XXe siècle) et trois arts (musique, poésie et peinture).
Elle requiert de ce fait une même approche pluridisciplinaire, ainsi qu’un même traitement multimédia, susceptible de satisfaire l’œil autant que l’oreille, et le cerveau des émotions artistiques autant que celui de l’intelligence cognitive…
Patrimoine colonial, identités nationales et const...
Cours publics 2007/2008 proposés par l'Université Rennes 2. Thème : Patrimoine et identité. Conférence donnée par Jean-Baptiste Minnaert, Professeur d'histoire de l'art contemporain, le 5 mars 2008. Patrimoine et Histoire, Patrimoine et Société, tels sont les titres des cours publics qui furent donnés à l'université Rennes 2, entre 1995 et 1997. Les conférences alors prononcées par les historiens François Hartog, Jean-Pierre Rioux, François Loyer ou Pierre Nora ont laissé un souvenir vif. L'ouverture de la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris, cet automne, montre comment notre héritage commun s'est affirmé, depuis, comme un objet de pratiques culturelles et comment le présent se nourrit des métamorphoses du passé, sous les auspices du marché. Sur la colline de Chaillot, les mécènes se pressent en effet pour éponger les 80 millions d'Euros qu'a coûtés la Cité. Le portail de Vézelay, hérité de l'ancien Musée des monuments français, y côtoie la cité radieuse de Marseille. Alors, Viollet-le-Duc et Le Corbusier, même combat ? Mais l'intégration des modernités dans l'inventaire des valeurs consacrées suit-elle un parcours aussi linéaire ? On a vu avec quelle force ces valeurs ont envahi l'arène politique, lors des dernières élections présidentielles. À l'évidence, les conceptions de la nation et de la République, qu'elles sous-tendent, sont plurielles. Il existe la France certes, mais aussi des France. Comment incarner cette diversité sans la dénaturer ? Le commissaire Maigret, disait-on récemment, est le véritable ministre de l'identité française. Or, voici qu'à présent ces thèmes surgissent au coeur même de la mondialisation. Si l'identité s'est rêvée nationale au XIXe siècle, puis découverte régionale au siècle suivant, chacun d'entre nous est désormais porteur d'identités multiples, de moins en moins réductibles à la couleur du drapeau. Que faut-il attendre de la mutation des identités collectives ? Choc ou enrichissement ? Ouverture pacifiée ou confrontation ? C'est en explorant les systèmes de représentation symbolique du passé proche - ici et ailleurs, en Afrique du Nord ou dans l'ancien empire soviétique notamment - que ce nouveau cours public alimentera le débat d'idées. Marc Gontard Président de l'université Rennes 2 Jean-Yves Andrieux Professeur d'histoire de l'architecture
L'homme dans la vallée
L’installation de l’homme date des temps préhistoriques, mais la forêt alluviale n’a été vraiment défrichée qu’à la fin du Moyen Age. Les défrichements ont été particulièrement marqués sur les marges de la vallée. Les villages de la vallée sont favorisés par la rivière, qui fournit des espaces pour la pâture, des graviers et des étangs, mais en subissent les contraintes (inondations, destructions). Au cours du 19ème siècle, des tentatives d’irrigation ont été faites par les frères Dutac, qui se sont soldées par un échec. Ces canaux ont été toutefois récupérés partiellement par les industriels et les ingénieurs du Canal de l’Est ainsi que certains particuliers qui ont installé des microcentrales. Les perturbations humaines (défrichements, gravières, microcentrales, corsetage localisé) ont modifié l’hydrologie naturelle de la rivière avec exhaussements ou incision, augmentation de la charge sédimentaire grossière, diminution des embâcles). Actuellement, il est interdit de creuser des gravières dans et en bordure du lit mineur, et les embâcles sont laissées en place. Des techniques végétales douces tentent de limiter les défluviations. Ces mesures permettent de conserver les services écologiques offerts par la rivière (eau de bonne qualité, dissipation de l’érosion). Cette vidéo est la huitième partie de la ressource "La Moselle ensauvagée - De l’eau et des forêts dans la vallée de la Moselle ou le retour d’une dynamique naturelle".
L'Amazone, le fleuve de la démesure
Fleuve de tous les superlatifs, le plus long, le plus puissant, avec des débits de crue jusqu'à 300 fois le débit moyen de la Loire, des milliers d'émissaires dont une quinzaine de la taille du Rhin, un bassin-versant de la superficie de l'Europe, tel nous apparaît l'Amazone. Ici le temps ne compte pas... 80 % de la population rurale s'abrite le long des berges et la vie est rythmée par le fleuve, la crue et la décrue annuelles... Les caboclos vivent d'un peu de pêche, polyculture de subsistance, petit commerce ou travail saisonnier hors de la cellule familiale. Les petites et moyennes agglomérations suivent à peu près toutes le même schéma d'aménagement avec l'église, le centre en damier et le port avec ses pontons et entrepôts. Elles ne s'animent que lors de l'arrivée de quelque gaïola ou pirogue. Manaus et Belem ont tiré leur richesse de l'extraction et de la commercialisation du caoutchouc fin 19ème / début 20 ème siècles. Après une période de léthargie consécutive à la débâcle de l'économie du latex, les deux villes ont saisi de nouvelles opportunités pour revitaliser leur économie, mais aujourd'hui l'explosion démographique n'est plus le reflet de la vitalité urbaine. Il reste cependant l'ambiance amazonienne et le fleuve. Ce fleuve seul lien terrestre direct entre les deux métropoles. L'Amazone est en effet navigable jusqu'au Pérou, sur plus de 4 000 km, mais le trafic ne doit pas faire illusion, l'Amazone,en dépit de ses énormes potentialités, n'est pas un grand axe commercial. Le fleuve, avec sa force tranquille, impose toujours sa marque au milieu, et l'Homme reste encore insignifiant dans cet univers trop grand pour lui.
Pour une histoire critique et citoyenne : le cas d...
Colloque international organisé du 20 au 22 juin 2006 par l'ENS Lettres et sciences humaines en partenariat avec le Laboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes (LARHRA), l'Institut d'Etudes Politiques de Lyon, l'Institut Charles-André Julien, l'Institut de Documentation et d'Etudes sur l'Histoire du Maghreb (IDEHM), l'Institut National de Recherche Pédagogique, l'IUFM de Lyon, le Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation et le Groupe de Recherche et d'Etudes sur le Maghreb et le Moyen-Orient (GREMMO).