Description

La Réforme du christianisme latin connaît, notamment dans les espaces de langues allemande et française, diverses manifestations de destruction d’images sacrées. Ces phénomènes, qui commencent très tôt (1521), traduisent la haine d’un système ecclésial considéré comme infidèle à l’Evangile et témoignent de la volonté de vivre la dévotion autrement que face à des images. Sauf exception, les raisons invoquées par les réformateurs n’impliquent ni haine de l’image en tant que telle, ni programmes de destruction des œuvres d’art, mais distinguent généralement entre l’image (autorisée) et l’idole (expression d’une piété dévoyée).


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Université productrice

Le Mans Université

Etablissement co-éditeurs

Université Ouverte des Humanités, Université Cheik Anta Diop de Dakar, Université Ibn Zohr, Université de Genève
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