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12 résultats pour votre recherche 'Judaïsme'
Tri décroissant par
Le judaïsme antique et l'interdit aniconique
Le Mans Université

Le judaïsme a noué une relation complexe avec les images, d’autant plus qu’il n’est pas monolithique. Dans la Thora, la représentation figurée est condamnée dans des textes à caractère juridique. Plusieurs événements semblent attester cette répulsion très forte des Juifs de l’Antiquité. Mais les découvertes archéologiques au Levant sud obligent à nuancer ce postulat. En effet, les synagogues des périodes romaines et byzantine contiennent de nombreuses mosaïques qui représentent des scènes bibliques, avec même quelques références païennes. Il faut donc envisager le rapport à l’image comme multiple et divers à la fois, selon les courants et les époques, en lien avec les changements politiques de la région.

Les femmes juives face aux problématiques de l'éma...
Le Mans Université

Si l'historiographie du judaïsme a longtemps travaillé cette question du point de vue des hommes, elle s'est attachée, depuis une vingtaine d'années, à réévaluer ses conséquences selon un angle féminin. Or, les bouleversements induits par l'émancipation sont au moins aussi importants pour ces dernières. La religion juive traditionnelle est surtout une affaire d'hommes ; de nombreux commandements ne s'appliquent pas aux femmes dont celui d'étude de la Torah. L'essentiel du rôle féminin consiste en la procréation et l'entretien d'un cadre propice au respect, par l'homme des mitsvot (commandements). 

Religions et représentation figurée
Le Mans Université

Au cours de la problématique de la représentation figurée sont posées, depuis 25 siècles et pour des croyants de différentes confessions, trois questions :

Comment représenter ce qui est conçu comme transcendant ? Est-il possible, souhaitable et permis de restituer par la plume, le pinceau ou divers autres instruments un geste créateur concernant le vivant ? Quel type de relation le croyant/la croyante peut-il/elle ou doit-il/elle entretenir avec cette représentation ?

L’intérêt de cette histoire consiste à montrer que chacune des traditions religieuses, en fonction des lieux et des moments, a pu véhiculer des positions contradictoires. Trois moments apparaissent particulièrement saillants : les VIIe-VIe siècle avant l’ère chrétienne, marqués par la mise par écrit d’un interdit et de récits montrant que celui-ci n’a pas toujours prévalu ; le VIIIe siècle au cours duquel se cristallisent pour les juifs, chrétiens et musulmans les principaux termes théoriques du rapport religieux à l’image ; les XIXe et XXe siècles marqués par une impossibilité croissante de la maîtrise du flux des représentations pour des raisons à la fois techniques et politiques.

« “Qu'est-ce que la Rose ?” : mystique et ésotéris...
Le Mans Université

La mystique juive est étudiée principalement au sein de deux domaines de recherche, que sont les études juives d'une part et les études sur l'ésotérisme, d'autre part. Si les écrits de Gershom Scholem fondateur de la première chaire d'étude du mysticisme juif à Jerusalem dans les années 1930 ont entériné l'expression de "mystique juive" pour parler de la kabbale, les études sur l'histoire de l'ésotérisme la considèrent comme "l'ésotérisme" ou la " tradition ésotérique" du judaïsme par excellence, en établissant une distinction - peu claire - entre ésotérisme et mystique. La terminologie d'Antoine Faivre relative à la kabbale apparaît d'autant plus floue dès lors qu'il est questio du Zohar, "sommet de la thésophie juive". Du point de vue de la constitution du champ disciplinaire couvert par l'"étude de l'ésotérisme occidental", de création relativement récente, il faut peut-être voir ici une volonté d'intégrer sous une nouvelle étiquette qui ne soit pas religieusement différenciée ce qui jusque là était dénommé sans trop de formalité la "mystique juive".  

Le mysticisme juif dans le sud-marocain
Le Mans Université

Le present travail s'inscrit dans le sillage des travaux qui proposent une histoire des communautés juives du Sud Marocain mettent en valeur dix siècles de vie communautaire partagées avec le reste de la population de la région. Ici il s'agira d'éclairer les échanges judéo-musulmans en matière de pratiques mystiques et surtout de culte des saints. 

Les Juifs et l'argent en Allemagne aux XVIIe-XVIII...
Le Mans Université

En 1850, dans la Guerre des Paysans en Allemagne lorsqu'il évoque la révolte paysanne du Bundschuh en Alsace en 1493, Friedrich Engels écrit que :

"Les conjurés demandaient le pillage et l'extermination (Ausrottung) des Juifs, dont l'usure pressurait déjà, à cette époque, comme aujourd'hui encore, les paysans alsaciens." Pourtant, quarante ans plus tard, dans une longue lettre au banquier viennois Isidor Ehrenfreund, Engels adopte une position extrêmement claire qui condamne sans la moindre ambiguïté l'antisémitisme comme « la marque d'une culture arriérée », en rappelant que les Juifs sont nombreux dans le prolétariat et que le mouvement ouvrier doit presque tout aux Juifs. Quelques années auparavant, en 1844, Karl Marx publiait Sur la question juive, un texte également ambigu, et dont l'interprétation fait encore largement débat. Il y utilise le terme d'« émancipation » dans son sens conventionnel, pour faire référence à la citoyenneté moderne en général, et à l'acquisition par les Juifs de la citoyenneté en particulier. Mais cette « émancipation » désigne également une forme plus large de libération : libération de toute l'humanité vis-à-vis d'une économie de marché oppressive, libération des relations liées à la propriété privée, et du commerce. Or, Marx utilise parallèlement le terme allemand qui désigne à la fois les Juifs et le judaïsme (Judentum) comme un synonyme de « commerce ». L'émancipation des Juifs (au sens de Jewish emancipation – c'est-à-dire l'accession des Juifs à la citoyenneté) est dans le même temps l'émancipation from Judaism, au sens d'une libération « du judaïsme », qui équivaut aussi à une libération du (au sens de : « par rapport au ») commerce. Les trois sont presque indissociables dans son argumentation.

Documents Textuels : Histoire euro-méditerranéenne
Le Mans Université

Un grand nombre de documents numérisés sur le thème de la religion et de l'histoire euro-méditerranéenne. 

Documents Iconographiques : Histoire euro-méditer...
Le Mans Université

Un grand nombre de documents iconographiques sur les thématiques de la religion et de l'histoire euro-méditerranéenne. 

Religions et Argent
Le Mans Université

Ce dixième module HEMED pose la question du rapport entretenu par les religions à l’argent qui est souvent paradoxal. Si la quête de spiritualité peut être jugée antinomique de l’entreprenariat et de la recherche de richesse, cette dernière est pourtant souvent lue comme le signe d’une élection. Cependant que faire dès lors des riches impies ? Le serpent se mord alors la queue… A l’autre bout du spectre l’on retrouve en effet l’association de l’argent à la magie ou à l’idolâtrie – image incontournable au début du christianisme à travers l’antinomie entre service de Dieu et service à Mamon. Incontournable est aussi la question de la promotion de l’ascèse particulièrement valorisée dans le christianisme mais que l’on rencontre également dans certaines branches du soufisme ou dans la sanctification de l’étude dans le judaïsme. De quoi, dès lors, la richesse ou l’absence de richesse est-elle le signe et comment en même temps assurer une forme de justice et d’équité entre les individus ?