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Langages logiques
La logique est-elle barbante ? (La philo en petits...
Ce sixième épisode met en scène le paradoxe de Russel, communément appelé le paradoxe du barbier, ainsi que sa résolution par les logiciens au début du 20ème siècle. Le lien entre la logique et les mathématiques, ainsi que l'enjeu de fondation liant la première aux secondes, sont ainsi abordés.
Ludique et pédagogique, ce court film d'animation sur la philosophie des sciences émane de la série La Philo En Petits Morceaux.
Cours de logique
Introduction à la logique (Cours : Six questions c...
La logique est- elle barbante ? : En s’appuyant essentiellement sur le paradoxe de Russel, communément appelé le « paradoxe du barbier », l’animation introduit un problème de logique qui a interrogé les plus grands mathématiciens et logiciens au début du 20 ème siècle.
Amirouche Moktefi Chercheur associé à l'IRIST (Strasbourg) et au LHSP - Archives H. Poincaré (Nancy) présente les notions de base de la logique, à partir d’un paradoxe introduit par Lewis Caroll (écrivain et logicien) dans « Alice au pays des merveilles ».
Problème flash dans l'introduction.
Module 5 : l'analyse de la perception de la place
Pendant longtemps, l’analyse géographique des espaces urbains s’est centrée sur les actions des sociétés dans l’espace, à travers les aménagements, les fonctions, les pratiques. Depuis les années 1960 et les travaux novateurs de K. Lynch, elle s’intéresse également aux perceptions et aux représentations, c’est-à-dire aux images du monde construites par les habitants dans leur pratique quotidienne des espaces. L’expression spatiale des phénomènes culturels, par exemple le rôle des différentes identités sociales et culturelles dans la création des quartiers urbains, ou encore la distinction profane / sacré de certains lieux urbains dans certains pays, et inversement, la lecture culturelle de formes spatiales comme les paysages ou les imaginaires géographiques, sont désormais des domaines bien explorés. C’est dans ce cadre que se situe ce module.
« Toute démarche humaine repose sur des représentations, c'est à dire des images de la réalité. Celle-ci ne peut jamais être atteinte directement et sa saisie est toujours partielle. Elle dépend à la fois de l'objet perçu et de celui qui le perçoit, de ce qu'il est, de son idéologie, de son environnement, c'est à dire de ses valeurs (idées ou principes auxquels on tient et souvent partagés ou influencés par le/les groupes auxquels on appartient) » selon B. Mérenne Schoumaker (2002, p.83). Ainsi la perception de l'espace urbain est différente selon le ou les usagers ou le ou les analystes.
La perception de l'espace est un élément déterminant dans la caractérisation des espaces publics. En effet, l’ensemble des éléments de représentation spatiale des espaces publics urbains sont nombreux et divers : images visuelles d’abord, mais également valeurs, symboles, sensations, impressions, odeurs, etc. ; et ils interagissent tous avec d’autres aspects de l’espace public : fonctions, usages, fréquentations, composition, etc. La qualification des espaces publics est donc tout autant le fruit de la réalité que de la perception qu’en est faite. Certes, les images, les valeurs, les symboles attribués aux espaces publics urbains varient suivant qui les fréquente, à partir de quel lieu, en quelles compagnies, avec quelles connaissances, etc. Mais ces représentations, si elles sont fondamentales, n’en sont pas moins extrêmement difficiles à saisir et à comprendre pour deux raisons. D’une part, les perceptions reposent sur des critères d'appréciation ou de répulsion subjectifs, qui relèvent bien souvent des idéologies, des histoires personnelles, voire de la psychologie, et qui sont donc difficiles à évaluer, surtout pour un géographe ou un urbaniste. D’autre part, elles s’inscrivent souvent dans la diversité de l’individu, et les confrontations de représentations spatiales mènent parfois difficilement à la mise en évidence des points communs. Pourtant, des outils, conceptuels et théoriques, existent et peuvent nous guider dans la compréhension des perceptions de l’espace urbain.
Ce module a pour objectif de montrer de quelles façons un individu ou un professionnel de l'espace se représente la place dans le paysage urbain et quels outils peuvent être utilisés pour analyser ces représentations.
L'ordinateur dans les sciences d'aujourd'hui, mais...
L'apparition dans les années 50 de l'ordinateur a sensiblement bouleversé le fonctionnement et les habitudes d'usage de nombreux secteurs économiques, du monde éditorial aux domaines technologiques. Mais plus que tout autre, c'est le monde scientifique qui bénéficie de façon étendue des largesses de l'ordinateur.
Objet d'innovation garant de progrès, il est devenu de par ses facultés (accroissement des capacités de calcul, rapidité du traitement de l'information...) un outil indispensable à la science, tant en chimie qu'en médecine, physique...Mais cette machine programmable ne nous ôte-t-elle pas la capacité de comprendre la science ?
Introduction à une socio-anthropologie des marchés...
Les auteurs vous proposent de rencontrer le sociologue Jean-Yves Trépos pour une introduction à la socio-anthropologie des marchés.
L'approche socio-anthropologique du marché qui est présentée ici, tout en se situant par rapport à certaines théories usuelles, économiques, voire sociologiques (notamment ce qu'on appelle la Nouvelle Sociologie Economique), cherche surtout à combiner ce qui fait le point fort des approches sociologiques récentes (le caractère construit et encastré du marché) et ce qui fait le point fort de certaines théories économiques (la spécificité "autoréférentielle" du marché), sans oublier de souligner que tous ces discours croisés sur le marché sont aussi actifs sur ce qu'il est et devient.
Les morales de Sartre, une logique de l'erreur
A partir des indications fragmentaires données par Sartre, il est possible de suivre sa tentative d'élaborer une morale à partir d'une « logique de l'erreur » qui n'est autre qu'une « logique des émotions ». De L'Esquisse d'une théorie des émotions au livre sur Flaubert, en passant par la psychanalyse existentielle, cette logique se décline comme une originale théorie de l'enfance qui, reprenant certains n½uds de la philosophie d'Alain, renoue les thèmes de la temporalité, de l'imagination et du social et nous oriente vers une philosophie de la culture.
Questions clés en philosophie des sciences
Cette collection aborde la thématique de la philisophie des sciences et de sa place dans la démarche scientifique.
Elle se compose en 12 parties :
- La démarcation : Alors, scientifique ou pas ?
- La causalité
- Mathématiques et réalités
- Changements de paradigme
- Introduction à la logique
- L'âme, l'esprit et la matière
- Le principe de précaution
- Le relativisme
- Les expériences de pensée
- Expliquer ou comprendre
- La connaissance
- Machines et pensée
Le développement des sciences et de leurs applications appelle une démarche réflexive qui est fondamentale dans toute formation universitaire. L'initiative proposée ici consiste à donner à des étudiants une première approche philosophique portant sur des sujets classiques et très généraux, et à leur donner l'idée, voire le goût d'une pensée de type épistémologique, applicable à leur discipline, et plus généralement à toute entreprise d'ordre scientifique.
Le choix des sujets traités vise à couvrir un éventail large de problématiques disciplinaires (en sciences de la nature et sciences humaines) et transdisciplinaires (dans l'examen de notions comme la démarcation, la causalité, etc.). On illustrera ainsi une réflexion philosophique conçue non pas comme « sui generis », mais liée à des pratiques et des théories existantes.