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11 résultats pour votre recherche 'autrui'
Tri décroissant par
Visage de l'Autre : les barbares de l'empire romai...
Université de Bordeaux

La représentation du « barbare » évolue avec le temps et l'histoire. Désignant à l'origine celui qui ne parlait pas la même langue, sa signification se déplace avec les « invasions barbares » vers l'étrange et le mystère puis au fil des conquêtes et des batailles en peur de l'Autre. Patrice Cambronne retrace les grands événements de l'histoire (Bataille d'Andrinople, Sac de Rome, Bataille des Champs Catalauniques...) qui ont bousculés les mentalités et donner au mot « barbare » le sens que nous lui connaissons aujourd'hui.

Se faire connaître et reconnaître autrui (Consolid...
Université Panthéon Sorbonne - Paris 1

Dans cette unité, il s'agit de s'approprier le minimum de vocabulaire nécessaire pour se faire connaître dans une brève présentation, dans une correspondance, ou encore par un curriculum vitae.

Etant en début du module, il est important plus qu'ailleurs de procéder par étape. Le vocabulaire doit être maîtrisé de manière solide avant de commencer les exercices. Il faut éviter d'essayer de chercher tout de suite d'autres termes.

L'entraînement proposé à l'utilisation du vocabulaire vise d'une part :

  • à bien mémoriser ce dernier, à apprendre à bien le prononcer, ce qui facilite par la suite la prononciation de tout terme d'une même forme,
  • à commencer à l'utiliser en contexte et à l'identifier dans des documents authentiques.

 Problème flash avec quelques images. 

A quoi servent les langues pour les individus et l...
Université de Lille

C’est une question très vaste, mais on peut y répondre de manière assez simple, en disant, d’une part, que les langues servent à communiquer, c’est-à-dire que, lorsque l’on doit se coordonner avec autrui, c’est quand même bien de pouvoir communiquer avec lui, d’échanger. Donc communiquer ...

Décrire (Consolidation des acquis en arabe littéra...
Université Panthéon Sorbonne - Paris 1

Dans cette unité, on ne parle pas de soi. Il est question d'autrui ou d'un objet, d'une situation, d'un concept...

La maîtrise de la conjugaison à la 3ème personne doit être complète. L'apport lexical est non négligeable et doit être assimilé avec rigueur.

Une fois les outils bien travaillés et les exercices bien avancés, il faut commencer à visiter un maximum de pages Web pour une consolidation progressive.

 Problème flash avec quelques images. 

Liberté de religion et prosélytisme. Quelques exem...
Le Mans Université

Le prosélytisme peut être défini comme une activité qui consiste à exposer sa pensée à autrui en vue de la conduire à l'adopter à son tour. Le but de faire connaître ses convictions est donc de manière générale de convaincre autrui de leur bien-fondé afin d'obtenir son adhésion, adhésion qui, dans le cas d'un prosélytisme religieux, pourrait se traduire en conversion. Si le terme prosélytisme n'était pas péjoratif à l'origine, il a pris dès le milieu du XIXème siècle une nuance dépréciative et polémique, notamment suite aux missions d'évangélisation dans les pays colonisés. Aujourd'hui, le prosélytisme est souvent perçu comme agressif et lié à une forme de contrainte ou même de violence. Pourtant, de nombreuses religions demandent à leurs fidèles de propager leurs croyances et de chercher à convertir de nouveaux adeptes. On peut donc se demander si un droit au prosélytisme fait partie de la liberté de religion et quelles sont les limites d'un tel droit. La liberté de religion est garantie dans un grand nombre de constitutions nationales, ainsi que dans des traités internationaux. Elle fait l'objet de l'article 18 de la Déclaration universelle des droits de l'homme, adoptée en 1948, et de l'article 9 de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH), adoptée en 1950. Juridiquement, il n'y a pas une liberté de religion dont le contenu serait unanimement reconnu, mais de nombreuses interprétations faites par les différentes cours nationales et internationales de ce que protège cette liberté. On s'intéressera ici à la jurisprudence de la Cour européenne de droits de l'homme (CourEDH) qui applique les droits et libertés garantit dans la Convention européenne des droits de l'homme. On verra que bien que la jurisprudence de la CourEDH dessine un droit au prosélytisme, la sphère de protection de ce droit demeure floue et ses limites discutables.

La liberté de procréer et le droit de mourir
Université de Bordeaux

Alors que les travaux en vue de la révision des lois de bioéthique ont débuté, il s'agit de montrer que, dans leur état présent, ces lois, et d'autres qui concernent aussi ces questions intimes de vie et de mort sont trop paternalistes, pas assez respectueuses des libertés individuelles. Ruwen Ogien proposera des arguments en faveur de la liberté de procréer la plus large possible (décriminalisation de la gestation pour autrui, accès à l'assistance médicale à la procréation des gays, des lesbiennes et des femmes qui sont supposées "ne plus être en âge de procréer"), mais aussi en faveur de la liberté de ne pas procréer la plus large possible (droit d'interrompre une grossesse tardivement sans avoir à rendre des comptes à personne d'autre qu'à soi-même, entre autres). Il proposera également des arguments en faveur de la liberté la plus large possible en matière de fin de vie (décriminalisation des différentes formes de suicide assisté), ce qu'on appelle de façon un peu impropre mais assez significative néanmoins, le "droit de mourir".

Le Multiculturalisme canadien
Université Côte d'Azur

La notion de multiculturalisme en tant qu'idéologie :

Pourquoi considérer le concept de multiculturalisme comme étant une idéologie ? Qu’entendons-nous par idéologie ? Le sens que nous attribuerons ici à cette notion, est relativement simple : il s’agit d’un système d’idée qui façonne et/ou constitue une grille particulière d’interprétation du monde. Ainsi, nous pouvons définir le multiculturalisme en tant que courant de pensée, qui prend son essor dans la fin des années ‘70, soit dans un contexte historique où de nombreux Etats-nations se mirent à adopter une nouvelle gestion des mouvements migratoires, à la suite des chocs pétroliers et des premières crises économiques successives. En tant que courant de pensée, le multiculturalisme ne signale pas simplement que les sociétés sont composées d’individus aux appartenances et aux identités culturelles différentes. C’est un fait historique de n’importe quelle société, ce constat est mis en avant périodiquement, selon comment les pouvoirs publics et les médias s’y intéressent. Le multiculturalisme va au-delà de ce constat, « il prône » la valorisation des identités, leur reconnaissance à l’intérieur des Etats. Dans une optique relativiste, le concept de multiculturalisme, met l’ensemble des cultures au même niveau, sans aucune relation de domination à l’intérieur même d’un pays.

Au niveau empirique, le multiculturalisme devient un fait social dès lors que des groupes s’identifient à des identités autres que celle du pays dans lequel ils résident, et qu’ils revendiquent un statut juridique et social équivalent aux membres de la culture dîtes dominante. Il s’agit d’une revendication sociale qui s’inscrit dans une lutte pour la reconnaissance. Nous pouvons prendre l’exemple des autochtones au Canada, qui se battent pour préserver leur statut social. Ce mouvement, a pour origine l’intériorisation par les membres des groupes aux identités particulières, du regard que la société porte sur eux. C’est aussi parce que la société identifie les individus par rapport à une identité donnée, que ces derniers s’identifient à leur tour à cette identité. Il ne nous faut pas oublier, que les individus se construisent socialement au travers du regard d’autrui, ce qui détermine dans leur évolution leur prise de position ou leur choix d’action sociale. C’est en ne reconnaissant pas les autochtones comme étant canadiens, que ces derniers vont renforcer leur identification à leur histoire, à leurs traditions, à leurs langues…

Concernant l’application des idéaux multiculturalistes et des réponses institutionnelles aux revendications des différents groupes sociaux, les Etats tentent de trouver un juste équilibre entre leurs intérêts et la demande sociale afin d’assurer l’unité des pays et leur cohésion sociale respectives. L’Etat fédéral canadien est actuellement le plus abouti concernant l’application d’une politique multiculturelle. En effet, il a su s’organiser pour gérer son immigration tout en prenant des mesures institutionnelles qui permettent aux nouveaux arrivants de ne pas se sentir exclus en facilitant leur insertion professionnelle, en mettant en place des structures dans lesquelles ils peuvent demander des renseignements pratiques... de cette manière les différentes identités sont reconnues et acceptées. La coexistence entre les différentes communautés est ainsi assurée. De plus, les autorités encouragent la participation à la vie sociale des résidents permanents c'est-à-dire des personnes qui ne sont pas originaires du Canada.

L’enjeu politique du multiculturalisme est de créer de l’unité, un héritage commun à tous les individus qui composent la nation canadienne.

MOOC "Internet, les autres et moi" (C2i niveau 1)

MOOC "Internet, les autres et moi" : cours en ligne délivré du 27 janvier 2014 au 31 mars 2014 sur la plateforme FUN-MOOC.

À propos du cours

Ce MOOC fait partie de la collection de MOOC « Compétences numériques et C2i ». Les 4 premiers MOOCs de cette collection ouvrent en 2014 et permettent de se former aux compétences du C2i niveau 1.

De nombreux services en ligne permettent d’entrer en contact avec d’autres, que ce soit via leur profil ou via les contenus qu’ils diffusent ou re-diffusent. Quelle place occuper dans cet espace vaste et divers que constitue le web social ? Comment construire son identité numérique, qui détermine la façon dont on est perçu sur le web ?

Le travail en équipe restreinte, ou en réseau plus large, conduit à des échanges et des productions communes. Quels usages du numérique peuvent les étayer pour gagner en efficacité, en qualité, en accessibilité, et faciliter le travail à distance ?

Sur le web, on met en ligne régulièrement des données personnelles et des informations privées, que ce soit pour remplir un formulaire d’inscription à un service en ligne, ou en échangeant des messages, des photos avec ses contacts. Comment rester maître de la frontière entre sphère publique et sphère privée ? Quel cadre légal existe-t-il en matière de respect de la vie privée, pour soi et pour autrui ?

Les ressources qu’on trouve en ligne sont généralement libres d’accès. En revanche, les droits associés à leur utilisation peuvent être très restreints ou au contraire très ouverts. Comment s’appliquent les lois sur le droit d’auteur ou le copyright sur ces ressources ? Comment, à travers le choix d’une licence, un auteur peut-il céder des droits à un utilisateur ?

Ce qu’on trouve en ligne est généralement libre d’accès. En revanche, d’une ressource à une autre, le droit à les réutiliser varie énormément : il peut être très libre ou au contraire très limitatif. Comment savoir ce qui est permis selon les ressources ? Comment s’emparer des licences pour respecter le droit d’auteur et définir ce qu’on souhaite autoriser pour ses propres productions ?

Plan du cours

Semaine 1 : Introduction à la thématique, prise en main et principes de préparation à la certification

Semaine 2 : Devenir acteur du web social

Semaine 3 : Etre présent sur le web et construire son identité numérique

Semaine 4 : Travailler en groupe avec le numérique

Semaine 5 : Produire un document numérique à plusieurs

Semaine 6 : Communiquer efficacement avec le numérique

Semaine 7 : Rester maître de sa sphère privée sur Internet

Semaine 8 : Diffuser, utiliser et réutiliser des ressources en ligne