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Les conditions de l'intégration scolaire de la gym...
Université de Franche-Comté

L'histoire de l'EP française s'est assez peu préoccupée des évènements antérieurs à l'intégration scolaire de la gymnastique en janvier 1880 à l'exception de quelques travaux sur les grandes modifications épistémiques des corps et des savoirs et sur les grands acteurs. On s'accorde à dire que la gymnastique a répondu à la fameuse « orthodoxie scolaire » (Arnaud) sans penser que la discipline scolaire résulte d'évolutions corporelles intéressant tout le champ sociétal. Cette grande leçon envisage donc de prendre le contrepied des options habituellement retenues. Autrement dit, la formation des corps, conduisant à l'élaboration d'une gymnastique particulière, n'a-t-elle pas été à l'origine de l'orthodoxie scolaire en raison des relations étroites tissées entre Ecole, société civile et domaine politique ? De nombreux facteurs jouant sur la transformation des corps ont préparé l'avènement de la gymnastique scolaire. Bref, avant les propositions de Gréard (1867-1868), l'orthodoxie scolaire de la gymnastique a une histoire qu'il convient de raconter.

Plan :

Introduction

I. Les débuts de la gymnastique de formation en France

II. Les débuts d'une prise en compte d'une gymnastique scolaire par l'Etat

III. Premières obligations scolaires de la gymnastique

Conclusion

Conditions matérielles d'enseignement de la gymnas...
Université de Franche-Comté

Les conditions matérielles d'enseignement de l'éducation physique modèlent les pratiques enseignantes autant et parfois même davantage que les idées des concepteurs et les prescriptions des textes officiels. Or, cet essentiel montre que les conditions matérielles optimales n'ont jamais été réunies pour l'ensemble des établissements primaires et secondaires, en raison des changements en matière de norme d'équipements pour la pratique de la gymnastique et des sports qui annulent les efforts accomplis jusque-là, mais aussi en raison de décisions politiques.

Selon les époques, l'État choisit de s'engager ou de se désengager, de satisfaire les besoins des établissements scolaires ou de répondre aux besoins de la pratique sociale des activités sportives. En conséquence, la discipline doit de plus en plus composer avec des conditions matérielles qui n'ont pas été pensées en relation avec ses exigences propres.

Le sport intensif, un univers « hors normes ». Le ...
Université de Bordeaux

L'engouement que suscite aujourd'hui le sport dans nos sociétés modernes est à la hauteur des performances réalisées par les sportifs. Le sport fascine et rassemble les foules. Mais cet univers est-il vraiment « hors normes » ? Quelle est la frontière entre normalité et pathologie ?

Le sport, qu'il soit intensif ou de haut niveau, est régi par des normes et des codes qui le singularisent et en font un univers « extraordinaire »: rigorisme, exemplarité, intransigeance, performance...De ce fait, il constitue au même titre que la famille, le travail ou la politique, une sphère sociale avec son propre système normatif et ses propres valeurs d'excellence.

Mais à côté de ces spécificités, le monde sportif s'appuie sur de nombreuses valeurs sociales validées comme l'idéal de justice sociale, le culte du corps et de la santé ou la norme esthétique de la minceur. Ces principes fondateurs, par lesquels on entend susciter performances et dépassements de soi, sont également des facteurs de risque pour le sportif. La « pression » morale et/ou psychologique qu'ils impliquent est très souvent la cause de pathologies graves, de dépendance au sport ou de troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie, obésité). L'équilibre de l'univers sportif est donc un équilibre fragile et instable, au seuil entre normalité et pathologie.

2ème journées de Psychopathologie du sport

- 5 et 6 juin 2008 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2

Le sport intensif, un univers « hors normes ». Du ...
Université de Bordeaux

L'engouement que suscite aujourd'hui le sport dans nos sociétés modernes est à la hauteur des performances réalisées par les sportifs. Le sport fascine et rassemble les foules. Mais cet univers est-il vraiment « hors normes » ? Quelle est la frontière entre normalité et pathologie ?

Le sport, qu'il soit intensif ou de haut niveau, est régi par des normes et des codes qui le singularisent et en font un univers « extraordinaire »: rigorisme, exemplarité, intransigeance, performance...De ce fait, il constitue au même titre que la famille, le travail ou la politique, une sphère sociale avec son propre système normatif et ses propres valeurs d'excellence.

Mais à côté de ces spécificités, le monde sportif s'appuie sur de nombreuses valeurs sociales validées comme l'idéal de justice sociale, le culte du corps et de la santé ou la norme esthétique de la minceur. Ces principes fondateurs, par lesquels on entend susciter performances et dépassements de soi, sont également des facteurs de risque pour le sportif. La « pression » morale et/ou psychologique qu'ils impliquent est très souvent la cause de pathologies graves, de dépendance au sport ou de troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie, obésité). L'équilibre de l'univers sportif est donc un équilibre fragile et instable, au seuil entre normalité et pathologie.

2ème journées de Psychopathologie du sport

- 5 et 6 juin 2008 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2

Les régions économiques du Canada
Université Côte d'Azur

Le Canada se classe parmi les pays les plus riches du monde. Son Produit Intérieur Brut (PIB) en 2010 était est le 10ème sur les 216 pays du monde (http://data.worldbank.org/indicator/NY.GDP.MKTP.CD). En 2011 il a été classé 6ème dans le rang de l’Indice de Développement Humain (http://hdr.undp.org/en/statistics/). Ces quelques indicateurs témoignent du dynamisme et de la grande qualité de vie dans ce jeune pays. Dans cette partie, nous chercherons à démontrer par divers indicateurs la diversité économique au sein du pays. Les données ont été extraites des tableaux sommaires par province/territoire du site de Statistiques Canada (http://www.statcan.gc.ca/tables-tableaux/sum-som/l02/pro01/pro101-fra.htm).

Une histoire de la scolarisation des enfants et de...
Université de Franche-Comté

Cet Essentiel retrace l'histoire de la scolarisation des enfants et adolescents des deux sexes, à travers les transformations des structures du système scolaire, l'évolution des effectifs scolarisés dans les différents types d'établissement ainsi que les conditions de vie et d'étude dans les établissements primaires et secondaires, du XIXᵉ siècle à nos jours.

L'éducation physique y puise une partie de ses justifications ; elle y rencontre l'essentiel des contraintes qui pèsent sur elle au quotidien. Le travail montre que la généralisation puis l'allongement de la carrière scolaire des garçons et des filles s'accompagnent de transformations profondes des formes de scolarisation. Les filières séparées mises en place au XIXᵉ siècle sont progressivement réorganisées en trois degrés. Ces réformes s'accompagnent de changements importants dans les conditions de vie et d'études des élèves du primaire et du secondaire : les rythmes scolaires évoluent, la discipline est assouplie et la pédagogie repensée.

De l'hygiène à l'hygiène scolaire (1815-1914) - L'...
Université de Franche-Comté

De l'hygiène à l'hygiène scolaire (1815-1914) L'éducation physique comme temps hygiénique.

Longtemps pensées séparément, l'hygiène publique et l'hygiène privée visent la conservation de la santé. Dans la seconde partie du 19ᵉ siècle cependant, s'impose progressivement l'idée que le projet hygiénique excède la seule conservation de la santé et qu'il est nécessaire de penser les dimensions publique et privée dans le même mouvement. Cette réflexion se propose de retracer l'histoire de cette rencontre et de montrer que le lien qui se tisse entre santé des populations et santé individuelle s'accompagne de nouvelles déclinaisons de l'hygiène – hygiène de l'enfance et hygiène scolaire – ; d'une responsabilisation de l'individu qui prend place dans un nouveau projet éducatif – l'hygiène privée devient condition de possibilité de l'hygiène publique - ; d'un nouveau regard sur l'enfant et sur son éducation corporelle.

Sciences et Education Physique : une tentative de...
Université de Franche-Comté

L'exposé qui suit - comme d'ailleurs l'ouvrage dont il est inspiré - traite des origines historiques de la « science des mouvements ».

Cette science d'invention française s'est inscrite dans une phase de mise en mouvement des sciences dont la fin du XIXème siècle français - positiviste et industriel - fut le siège exemplaire. Mais ces avancées scientifiques et méthodologiques largement méconnues de la physiologie mécaniste s'offrent aussi comme l'un des plus paradigmatiques efforts de rationalisation scientifique de l'éducation physique auxquels cet art pédagogique ne peut échapper dans les sociétés modernes. Ceci lorsqu'aux différents moments de son histoire les déplacements de ses enjeux (hygiéniques ou techniques, sociopolitiques ou géopolitiques) rencontrent des efforts de rationalisation bien ajustés de ses réformateurs. On s'est attaché à saisir le moment et le sens de cette adéquation.

Offrant à la physiologie et à la médecine du Temps les instruments d'expérience qui leur manquaient la « méthode graphique » de Jules-Etienne Marey permettait de soumettre tous les mouvements des organismes vivants aux exigences des tracés cartésiens. Et donc notamment d'étudier la cinématique et la dynamique de quelques unes des principales fonctions (musculaire, circulatoire, locomotrice …) de l'organisme humain en action. Mais cette même méthode permit aussi à Georges Demenÿ le collaborateur de Marey œuvrant, dans ce laboratoire original annexé au Collège de France, de rechercher les lois qui gouvernent les gestes techniques les plus efficaces de l'Homme ; et ceci dans tous les domaines où la motricité humaine a pu pousser empiriquement ses excellences. Germe alors chez le jeune chercheur l'idée d'un possible perfectionnement de cette « motricité ».

On peut ainsi comprendre cette rencontre concertée du savant et du gymnaste ; d'en souligner les effets très productifs de connaissances tout en dégageant quelques fondements de la discipline universitaire dite « STAPS ».

La notion de "'nordicité" au Canada
Université Côte d'Azur

Le concept du « Nord » est intrinsèque à l’identité canadienne – les hivers rudes, la forêt et les lacs à perte de vue, les animaux sauvages… - tous font parti de l’inconscient canadien, même si le citoyen typique habite souvent dans une grande ville pas loin de la frontière américaine au sud. Le réchauffement climatique perturbe l’équilibre écologique et provoque des dégâts particulièrement importants pour certaines espèces au Canada, tel que l’ours polaire, ou divers environnements, comme la toundra où la fonte du pergélisol transforme les flux d’énergie et de matières organiques qui régissent les équilibres. Certains citoyens regrettent même que les hivers « ne soient plus comme avant » : moins longs, moins froids, moins de neige…, malgré tous les avantages que ces changements peuvent représentés pour le citoyen ordinaire.

Différentes définitions de « nordicité » ont été avancées dans la littérature académique et Bone (XXX) en donne quelques unes dans son ouvrage « The Regional Geography of Canada ». Sur ce site, nous nous limiterons à trois zones :

1) Le « Sud » : cette région correspond aux grandes villes du Canada ainsi qu’aux terres agricoles qui se situent plutôt près de la frontière partagée avec les USA aux sud du pays. Pour certaines villes, comme Winnipeg, Ottawa, et Québec par exemples, le « Sud » demeure une région très froide en hiver avec des températures moyennes bien en-dessous de 0 et des cumuls de neige importants. Le Sud se caractérise surtout par sa concentration du pouvoir politique et économique : les décisions sont prises dans le Sud par des personnes élevées dans les grandes villes et elles sont répercutées sur l’ensemble du territoire.

2) Le « Moyen Nord » : partez de n’importe quelle ville canadienne et suivez la route principale vers le nord et progressivement vous verrez de moins en moins de maisons et de champs agricoles et de plus en plus de forêt. Au bout de la route, vous arriverez probablement à une petite ville minière ou de papeterie. Ces villes partagent plusieurs caractéristiques : elles dépendent essentiellement de l’extraction de ressources primaires pour leur survie et dont les emplois essentiellement d’un seul employeur, elles connaissent des économies de « boom & bust » avec des hauts et des bas, elles sont souvent peuplées de plus d’hommes que de femmes, les habitants y sont très attachés. Voir l’entretien avec Dan Laroque sur la ville de Cobalt – ville minière située au nord de l’Ontario qui fut la plus grande mine d’argent au monde au début du 20ième siècle.

3) Le « Grand Nord » : cette zone regroupe la totalité des territoires du nord ainsi que les extrémités nord des provinces à l’exception des provinces de l’Est. Traditionnellement, elle est habitée par les peuples autochtones et l’arrivée des blancs coïncide avec des « ruées vers l’or » ou d’autres ressources naturelles (pétrole, diamants…). Comme pour le Moyen Nord, l’économie dépend surtout de l’extraction de ressources naturelles dont la richesse bénéficie surtout aux entreprises du sud avec relativement peu de retombées pour les autochtones. Cette tendance est en évolution et progressivement, les conditions d’extraction des ressources naturelles est soumise à un dialogue avec les représentants autochtones.