Estampillage UOH
  • Estampillage UOH (4)

Discipline
  • Arts (2)
    • Arts du spectacle (2)
      • Théâtre (2)
  • Langues, Littératures et Civilisations étrangères (1)
    • Langues et cultures des régions de France (1)
      • Occitan, Provençal et Catalan (1)
  • Lettres classiques, Langues et Littératures françaises et de France (2)
    • Littératures française et de langue française (2)
      • Littérature dramatique (2)
  • Sciences de l'homme (4)
    • Philosophie (2)
      • Philosophie politique (1)
      • Philosophies occidentales de l'Antiquité et du Moyen-Age (2)
    • Sciences des religions (3)
      • Histoire et théorie de la religion - concepts transversaux - analyses comparées (2)
      • Islam, babisme et foi bahaïe (3)
  • Sciences de la société (3)
    • Géographie, Aménagement (1)
      • Géographie humaine (1)
      • Géographie physique (1)
      • Géographie rurale (1)
      • Géographie urbaine (1)
      • Géographie économique et régionale (1)
    • Histoire, Histoire de l'Art, Archéologie (2)
      • Histoire générale (2)

Niveau
  • Enseignement supérieur (8)
  • Formation professionnelle (1)
  • L1 (3)
  • L2 (1)
  • L3 (1)
  • Licence (4)
  • M1 (3)
  • M2 (3)
  • Master (6)

  • Essentiel (type UOH) (1)
  • Glossaire (1)
  • Grande Leçon (type UOH) (6)
  • Webographie, bibliographie (1)
8 résultats pour votre recherche 'foi et raison'
Tri décroissant par
La philosophie et la religion : l'interprétation d...
Ecole normale supérieure de Lyon

Second chapitre d'une troisième partie du cours Averroès, intitulée "les conditions de la politique parfaite".

Bien qu'il y ait eu, en terre d'Islam, de nombreux philosophes entre les XIIIe et XVIIe siècles, de l'andalou Ibn Sab'în (XIIIe siècle) jusqu'au perse Molla Sadra (XVIIe siècle), la plupart des recherches s'accordent à dire que c'est Averroès (1126-1198) qui est le dernier philosophe de la civilisation de l'Islam classique. Ce jugement, qui doit être nuancé sur certains points, repose principalement sur l'ampleur du projet qu'il a réalisé, et surtout sur la réception de ce même projet dans l'Occident latin pendant le Moyen Âge.

Le soufisme dans le monde musulman : Étude compara...
Le Mans Université

Le terme taswwuf en arabe ou soufisme, désigne communément le courant mystique au sein de l'islam. Celui qui pratique le soufisme (le soufi) se distingue de la société par une pratique ascétique et utilise des signes extérieurs de reconnaissance pour se démarquer du reste de la société. Pourtant l'appellation "soufisme" recouvre et même masque, de nombreux courants comme la Koubaria, la Qadirriya, la Chadilia ou encore la Jazoulia, souvent divergents dans leurs pratiques et professant des doctrines parfois contradictoires dans les fondements philosophiques. 

Le soufisme constitue une démarche spirituelle à la recherche d'un chemin pour atteindre la vérité. Trois voies sont définies : la voie philosophique - Hikma -, la voie de la lumière - Nour - et celle de l'amour absolu - Ichak -. Ces dénominations ne sont d'ailleurs que des repères dans un chemin indéfini, inaccessible par des compétences ordinaires par une réflexion philosophique ou par un raisonnement rationnel, seulement ouvert par le coeur - Bassiratou Al Kalb

Le financement public du culte musulman en Europe
Le Mans Université

Durant la seconde moitié du XXe siècle, des populations de confession musulmane se sont installées dans les pays d'Europe occidentale. Ce qui était à l'origine une immigration imaginée comme temporaire et essentiellement masculine s'est mué en une installation durable des familles. Ces populations ont créé des lieux de culte, dont elles ont confié le rôle d'animateurs parfois à des personnalités issues de leurs communautés mais le plus souvent à des imams venus à leur tour de l'étranger et pas nécessairement de leur pays d'origine. Progressivement, les autorités politiques des différents pays concernés par l'immigration musulmane se sont penchées sur la question de l'organisation et du financement du culte islamique. En effet, dans la quasi-totalité des pays européens, il existe des mécanismes de financement public en faveur de certaines communautés confessionnelles. Ces mécanismes sont variés, et inscrits dans l'histoire nationale de chaque pays. La façon dont l'islam peut y être intégré est l'objet de débats et d'initiatives dans tous les pays où existe une communauté musulmane. L'attention dont fait l'objet le culte islamique s'est renforcée depuis quelques années en raison de préoccupations liées au terrorisme islamiste.

Averroès
Ecole normale supérieure de Lyon

Bien qu’il y ait eu, en terre d'Islam, de nombreux philosophes entre les XIIIe et XVIIe siècles, de l’andalou Ibn Sab'în (XIIIe siècle) jusqu’au perse Molla Sadra (XVIIe siècle), la plupart des recherches s'accordent à dire que c’est Averroès (1126-1198) qui est le dernier philosophe de la civilisation de l'Islam classique. Ce jugement, qui doit être nuancé sur certains points, repose principalement sur l’ampleur du projet qu’il a réalisé, et surtout sur la réception de ce même projet dans l'Occident latin pendant le Moyen Âge.

Dans son travail, Averroès cherchait, en effet, à renouer avec l’aristotélisme et avec la méthode rationnelle, longtemps occultés par l’intérêt des philosophes arabes et alexandrins pour les commentaires de l’œuvre du Stagirite plutôt que pour ses textes eux-mêmes. Parallèlement au commentaire systématique des textes d’Aristote, Averroès a entrepris un autre travail de défense de l’acte de philosopher qui s’était trouvé fortement remis en cause par les accusations d’impiété lancées par al-Ghazâlî (1058-1111) contre les philosophes. Ce sont les réponses aux problèmes soulevés par al-Ghazâlî et la discussion de questions comme le rapport entre la philosophie et la religion, la foi et la raison, le philosophe et la cité qui occupent la partie centrale des œuvres personnelles d’Averroès (le Discours décisif, le Traité du dévoilement, et l’Incohérence de l’Incohérence) et qui contiennent une part importante de ses idées politiques.

Renouer avec la méthode scientifique dont le modèle est Aristote et lutter contre le projet intellectuel d’al-Ghazâlî constituent donc les deux dynamiques sur lesquelles repose un pan entier de la philosophie politique d'Averroès. Celle-ci s'engage dans une réflexion sur des sujets qui sont à l’origine de la Modernité, comme, par exemple, l’étude du problème théologico-politique qui est directement lié à la définition du processus de sécularisation. Comment ce travail se présente-t-il dans les textes d’Averroès et de quelle manière peut-il être interprété dans les limites du contexte culturel de l’Islam du XIIe siècle?

En dehors de ce premier aspect, Averroès peut être considéré, du point de vue de la philosophie politique classique, comme le dernier représentant d’une tradition qui remonte aux Grecs et qui est, à partir du Xe siècle, solidement ancrée en terre d’Islam grâce aux écrits de Fârâbî (870-950). Cette tradition consiste à étudier les conditions de la réalisation d’une cité juste et de l’instauration d’un régime parfait. Consignés dans le principal texte politique d’Averroès qui est leCommentaire de la République de Platon, ces développements abordant, entre autres, le statut et le rôle du chef de la cité parfaite, les cités injustes, et la meilleure éducation des citoyens sont loin d’être une spéculation théorique gratuite et éloignée des soucis du réel.

Au contraire, cette recherche s’inscrit pleinement dans un cadre qui reprend les enseignements platoniciens sur la cité idéale tout en les transformant et en les adaptant à un nouveau contexte. Le modèle politique platonicien subira ainsi de nombreuses transformations du fait de l’introduction d’éléments aristotéliciens dans le Commentaire, et de la volonté de redéfinir, sur d’autres bases épistémologiques, l’art politique lui-même. Ce deuxième axe nous permettra donc de voir comment se pose le problème du rapport entre un modèle normatif de la politique hérité des Grecs et l’un des usages qui en est fait, en l'occurrence par Averroès, afin de comprendre l’histoire de l’Islam en général et celle de l'Andalousie en particulier.

 

Ambiguïtés et fonctions de la mort dans le théâtre...
Université de Rouen

Ce cours se divise en plusieurs parties :

- Introduction : pourquoi parler de la mort au théâtre ?

- Mort et genres dramatiques ;

- La représentation de la mort dans le théâtre français ;

- Statuts dramaturgiques de la mort dans le théâtre français ;

- Sémantisme de la mort en scène.

Ambiguïtés et fonctions de la mort dans le théâtre...
Université de Rouen

Cet exemplier se rattache au cours sur les ambiguïtés et fonctions de la mort dans le théâtre français.

Glossaire sur le thème des paysages
Université de Lorraine

En complément de la ressource, le glossaire facilite et consolide la mémorisation des notions et des fondamentaux en matière de lecture de paysages.