- Estampillage UOH (16)
- Arts (11)
- Arts du spectacle (1)
- Cinéma (1)
- Arts visuels et plastiques (8)
- Dessin et arts décoratifs (2)
- La peinture et les peintures (7)
- Arts-Approches transversales et méthodologie (4)
- Approches transversales (4)
- Musique (2)
- Théorie et histoire de la musique (2)
- Arts du spectacle (1)
- Langues, Littératures et Civilisations étrangères (6)
- Anglais (1)
- Littératures (1)
- Langues et cultures des régions de France (5)
- Occitan, Provençal et Catalan (5)
- Anglais (1)
- Lettres classiques, Langues et Littératures françaises et de France (3)
- Langue française (1)
- Langage (1)
- Lettres classiques (1)
- Langue latine (1)
- Littératures française et de langue française (2)
- Poésie (2)
- Langue française (1)
- Sciences de l'homme (3)
- Sciences des religions (3)
- Histoire et théorie de la religion - concepts transversaux - analyses comparées (3)
- Sciences des religions (3)
- Sciences de la société (8)
- Géographie, Aménagement (1)
- Aménagement (1)
- Géographie urbaine (1)
- Histoire, Histoire de l'Art, Archéologie (6)
- Histoire du monde ancien, jusqu'à 499 après J.C. (1)
- Histoire générale (5)
- Sociologie, Démographie, Anthropologie (1)
- Théories sociologiques, ethnologiques, anthropologiques et méthodologie (1)
- Société-Approches transversales et méthodologie (2)
- Approches transversales (2)
- Géographie, Aménagement (1)
- Enseignement supérieur (25)
- L1 (4)
- L2 (2)
- L3 (3)
- Licence (24)
- M1 (2)
- Master (10)
- Autoévaluation (1)
- Conférence, table ronde et entretien (type UOH) (5)
- Diaporama (1)
- Essentiel (type UOH) (8)
- Etude et document (type UOH) (6)
- Glossaire (2)
- Grande Leçon (type UOH) (7)
- Guide pédagogique (2)
- Index (2)
- Webdocumentaire (1)
- Webographie, bibliographie (4)
Eléments de tradition picturale de l’église maroni...
Bien que les peintures murales des églises du Liban du XIIIe siècle constituent un ensemble réduit de décors fragmentaires, elles restent le témoignage concret d’une activité qui a prospéré à l’époque des Croisés, précisément à partir de la fondation du Comté de Tripoli de 1104 jusqu’à 1289, date de sa chute. Ces peintures jouèrent un grand rôle dans l’art des Croisés et des autochtones. La présence des premiers suggère que les murs de ces édifices religieux ont été embellis avec l’aide des mécènes francs. Cette idée ne pouvait être concrétisée que dans le cadre des bonnes relations entre les autorités religieuses et civiles latines et les chrétiens indigènes.
Entretien avec N. Scott Momaday
Ce programme est constitué d'une interview réalisée le 15 décembre 2000, au Centre audio-visuel de l'Université de Toulouse-Le Mirail par Christiane Fioupou et Françoise Besson. N. Scott Momaday, Indien Kiowa qui enseigne la littérature anglaise et américaine à l'Université d'Arizona est l'auteur de deux romans, House Made of Dawn (La Maison de l'aube), qui obtint le Prix Pulitzer en 1969, de deux autobiographies, The Way to Rainy Mountain (Le Chemin de la montagne de pluie) et The Names (Les Noms), disponibles en version française, et de plusieurs recueils de poèmes. Il est aussi l'auteur de Circle of Wonder : A Native American Christmas Story, conte qu'il a lui-même illustré. Il a également écrit la préface de l'ouvrage sur Curtis, Sacred Legacy : Edward S. Curtis and the North American Indian (Edward Sheriff Curtis et l'Indien d'Amérique du Nord), ouvrage dans lequel Christopher Cardozo et Joseph Horse Capture introduisent les photographies de Curtis. N. Scott Momaday est également peintre. Dans cette interview, il évoque la genèse d'un roman, le rôle de l'histoire dans sa vision des choses, son rapport à la poésie et à la peinture, l'influence des paysages sur son écriture.
Images de la mort dans la B.D. et la peinture
A une époque où la mort est devenue une « valeur marchande » pour les médias et où l'intérêt pour le fait divers se fait toujours plus vif, Pierre Christin offre de nous donner un aperçu de la représentation visuelle de la mort dans l'art pictural et photographique et dans la bande dessinée.
Occultée parfois, crainte le plus souvent, la mort est un thème récurrent dans l'art et sa représentation évolue en même temps que les croyances et les sociétés.
Tantôt prise sur le vif comme le permet l'instantané de la photographie, tantôt suggérée par une tonalité, un objet, un sentiment, les procédés narratifs pour représenter le mystère de la mort sont très nombreux : académique (la crucifixion, le cadavre), grotesque, surréaliste. En suscitant des sentiments de peur, de terreur, d'inquiétude chaque représentation permet de pousser la réflexion, d'éduquer, de ramener au souvenir.
Cette réalité de la mort disparait dans la bande dessinée où elle prend l'aspect d'un leurre et est très souvent associée à la disparition ou à la chute d'un personnage. Cette distinction est due principalement comme l'explique Pierre Christin au caractère continu de la bande dessinée. Il est en effet délicat de faire passer dans l'au-delà le personnage d'une série en cours, la disparation permet donc si nécessaire de le « ressusciter ».
Des courants picturaux modernes pour exprimer le r...
Au sein des arts pénétrés par le christianisme et l’islam dans l’Orient arabe et persan, l’image occupe une place, primordiale dans certains cas, comme instrument et moyen de prière. L’art y est le plus souvent au service de la religion. C’est notamment le cas dans les villes libanaises, où des artistes en lien avec la production picturale du monde entier participent à la constitution d’une identité à la fois religieuse et nationale à travers leurs œuvres. C’est également le cas en milieu chiite persan, où la miniature s’inscrit dans une tradition artistique de longue durée, comme le montrent les peintres de la fin du XXe siècle, en développant des traits picturaux spécifiques.
Relations culturelles internationales, acculturati...
Communication de Pascal Ory (Université Panthéon Sorbonne - Paris 1) dans le cadre du colloque "Vous avez dit Hopper ?", organisé par le Musée d'Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l'École normale supérieure le 14 mai 2004 et placé sous la responsabilité de Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glassman (TFA, MAAG). "L'histoire de l’art serait incompréhensible sans la prise en compte de la dimension internationale : beaucoup d'artiste à titre individuel, beaucoup de groupes d'artistes, de mouvements, d'écoles ne peuvent s'interpréter qu'en relation avec une influence, ou contre-influence, d'essence étrangère. Modélisation, hégémonie, référence, ... : il ne s'agit jamais, au fond, que de la version exotique de la maîtrise. Dans le cas d'Edward Hopper le séjour en France, implicitement et explicitement, nous dit beaucoup sur, d'une part, l'attractivité de la France (ou faut-il dire de Paris ?) au début du XXe siècle et, tout particulièrement, la place que se désigne l'art américain à ses côtés, et, de l’autre, la manière, un peu compliquée, par laquelle Hopper a réglé son rapport avec elle – c'est-à-dire, comme toujours en pareil cas, avec soi."
Hopper, ce n'est pas l'Amérique - Colloque "Vous a...
Introduction par le président de séance Jean Kempf (université Lumière - Lyon II) du colloque "Vous avez dit Hopper ?", organisé par le Musée d'Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l'École normale supérieure le 14 mai 2004 et placé sous la responsabilité de Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glassman (TFA, MAAG). "Ce colloque sur l'effet Hopper pose la question de la circulation et de la superposition d'images dans des domaines artistiques différents qui caractérisent l'art d'aujourd'hui. Ce phénomène mérite aussi une analyse de l'image en tant que dépositaire d'une mémoire collective dans laquelle s'infiltrent des contenus identitaires et nationalistes. Les lieux et les personnages peints par Hopper sont devenus des icônes de la vie américaine, bien qu'ils relèvent d'un vocabulaire très personnel. Questionner le pourquoi de la projection d'américanité sur son œuvre permet de mieux comprendre certaines relations entretenues par le public français envers une Amérique imaginaire."
Déclinaisons d'Yves Picquet
Ce document suit les étapes de la création d'une oeuvre d'Yves Picquet "Déclinaisons". Cet artiste contemporain vit et travaille à Plouedern en Bretagne. "Déclinaisons" est un ensemble de 14 grandes toiles. Il s'agit, pour l'artiste de laisser "carte blanche à une série noire". En cours d'exposition, les toiles blanches remplacent emplacement pour emplacement les toiles noires.
Voir ne pas voir - Colloque Daniel Arasse
Séance intitulée "La part de l'oeil", présidée par Eric Darragon (Université Panthéon SOrbonne - Paris 1). Hubert Damisch (EHESS) communique sur le thème : Voir ne pas voir. Colloque organisé à l'Institut national d'histoire de l'art (INHA - Paris) par l'Ecole normale supérieure les 8,9 et10 juin 2006, dans le cadre de la diffusion des savoirs de l'ENS. "Que voit-on dans un tableau ? Et si tout conspire à ce qu'on n'y voie guère, sinon rien, peut-on attendre de l'histoire qu'elle soit de quelque secours en la matière ? : Daniel Arasse en a fait le pari, mais pour y reconnaître une affaire moins de contexte que d'optique."
Cézanne, une montagne
Analyse plastique du tableau "La Montagne Sainte-Victoire" de Cézanne. A l'aide de l'image de synthèse, ce document propose une exploration minutieuse. Cette enquête graphique et chromatique nous entraîne au coeur du mystère de l'oeuvre emblématique du peintre.