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8 résultats pour votre recherche 'terrains d\'étude'
Tri décroissant par
Objet, terrains et méthodes de la sociolinguistiqu...
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Ce module sur l'objet, les terrains et les méthodes de la sociolinguistique est divisé en trois parties :

  • Le langage en tant qu’activité socialement organisée
  • Tâches, méthodes et intervention sociolinguistique
  • La posture scientifique en sociolinguistique
certains contenus en flash. 
Gestion des zones humides dans le sud-ouest de la ...
Université Toulouse - Jean Jaurès

Une vidéo de 45 minutes tournée dans le Sud-Ouest de la France sur le thème de la gestion des zones humides dans le Sud-Ouest.

 

La vidéo se divise en 9 points :

- 0. Les enjeux des zones humides

- 1. Les tourbières en Aveyron

- 2. Les vieux étangs du Bas-Armagnac

- 3. La ripisylve de la Garonne

- 4. Une initiative communale : l'étang de Perchède

- 5. Une action des collectivités : La Save

- 6. Le dispositif ENS : la gestion de la tourbière des Rauzes

- 7. Les mesures agri environnementales (MAET)

- 8. Les mesures de protection des étangs

- 9. Conclusion

 

Résumé :

Les zones humides, dans le paysage actuel, sont de la plus haute importance d'un point de vue écologique. Reconnues par Natura 2000 pour leur biodiversité, elles font souvent l'objet de conflits entre les différents gestionnaires, surtout par rapport aux usages possibles de ces espaces.

Agriculteurs, chasseurs, pêcheurs, écologistes et scientifiques, autant de visions particulières de la manière d'appréhender ou d'utiliser ces espaces. Les étangs, par exemple, peuvent être perçus comme une réserve d'eau pour l'irrigation, une ressource piscicole, une ressource faunistique pour les chasseurs ou un lieu d'observation pour les naturalistes.

Autre exemple, les tourbières, elles aussi, si l'on se place du point de vue de l'agriculteur, représentent une contrainte, un terrain peu rentable qui doit être amélioré. Ces mêmes tourbières, pour d'autres acteurs, représentent une véritable ressource en soi : espace de biodiversité, ressource régulatrice en eau par rapport aux étiages, etc. En outre, ces tourbières constituent de véritables archives archéologiques : elles offrent un terrain d'étude, une ressource scientifique, historique et pédagogique de première importance pour les palynologues, les botanistes et les naturalistes.

"De la théorie à la pratique de l'anthropologie vi...
Aix-Marseille Université

"Il existe aujourd’hui un intérêt croissant pour l’anthropologie visuelle, même si personne ne sait très bien ce que c’est. Son nom même est un acte de foi, comme un costume qui a été acheté un petit peu trop grand dans l’espoir de grandir avec. En fait, ce terme recouvre un certain nombre d’intérêts fort différents. Certains conçoivent l’anthropologie visuelle comme une technique de recherche, d’autres comme un champ d’étude, d’autres comme un outil d’enseignement, d’autres encore comme un mode de publication, et d’autres enfin comme une nouvelle approche de la connaissance anthropologique (...)"

"En réfléchissant à l’anthropologie, nous avons tendance à oublier qu’elle est constituée autant par les enquêtes sur le terrain que par l’écriture et la lecture de textes. On pourrait même dire qu’il y a deux anthropologies, l’une s’exprimant largement au travers de la littérature et l’autre, pour une grande part inexprimée. Ces deux perceptions ne sont pas forcément en conflit, mais elles se différencient tellement par les qualités qu’elles appréhendent, et sont cependant si étroitement imbriquées qu’elles peuvent engendrer une certaine perplexité quant à l’anthropologie elle‐même dans l’esprit du chercheur. La première est l’anthropologie de la culture considérée comme méthodique, restrictive et envahissante. Elle est principalement concernée par les continuités consensuelles et systémiques dans la vie des personnes. La seconde est l’anthropologie culturelle envisagée comme fertile, productive et libératrice. Elle considère que la culture a moins d’influence sur les individus, et qu’elle leur offre plutôt les moyens d’entremêler la signification et le sens de soi dans des aspects plus largement partagés de la vie sociale. Son point de départ, et son objectif, est de savoir comment la culture est vécue par ceux qui finissent par lui donner forme et par la recréer pour eux‐mêmes. Il est bien possible qu’elle mette ainsi l’accent sur les aspects que la première anthropologie rejette (…) Cette seconde anthropologie – cette « structure plus intime de la culture » peut ainsi constituer l’un des fondements de l’anthropologie visuelle du futur."

"Le récent intérêt pour l’anthropologie visuelle a deux sources supplémentaires. La première est l’attention croissante portée par les anthropologues aux diverses expressions de la culture visuelle (incluant le film, la vidéo, la télévision), de la production d’images populaires (par exemple, la photographie, la peinture d’enseignes et les affiches) et de l’essentiel de ce qui était autrefois étudié sous la dénomination d’anthropologie de l’art. Ces modes d’expression visuels forment souvent les fils de systèmes culturels plus larges que Barthes décrivait comme les « tresses » de codes différents. A travers tant d’interconnections, l’anthropologie visuelle peut jouer un rôle dans l’étude de la plus grande partie de ce qui n’est pas visuel dans la société humaine. La seconde source d’intérêt pour l’anthropologie visuelle réside dans la capacité des formes visuelles (particulièrement le film et la vidéo) à devenir un médium reconnu de l’anthropologie − un moyen d’explorer les phénomènes sociaux et d’exprimer la connaissance anthropologique (…)"

David Macdougall, « L’anthropologie visuelle et les chemins du savoir », Journal des anthropologues [En ligne], 98-99 | 2004, mis en ligne le 22 février 2009, consulté le 09 février 2012.

Comment est née “l'échelle métrique de l'intellige...
Université de Lorraine

Cette partie s'intéresse à la naissance de "l'échelle métrique de l'intelligence".

 

Guide pour la réalisation du mémoire de master
Université de Lorraine

Pour accompagner les étudiants dans la réalisation de ce travail de mémoire, l’INSPÉ de Lorraine a fait le choix d’un guide pratique qui présente les objectifs visés, les exigences attendues, les modalités du suivi, le déroulement de la soutenance, ainsi que les critères de l’évaluation. Ce guide a été validé par le Conseil d’Orientation Scientifique et Pédagogique (COSP) de l’INSPÉ. Mis à la disposition des étudiants dès l’entrée en formation, il est un référent commun pour l’ensemble des mentions du master MEEF. Aussi, il tient compte de la diversité des publics accueillis à l’INSPÉ.