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60 résultats pour votre recherche 'Art Nouveau'
Tri décroissant par
Entre maison, synagogue et temple : Jésus et la po...
Le Mans Université

Probablement rédigé aux alentours des années 65-70 du Ier siècle, l'Évangile de Marc est généralement reconnu comme l'évangile le plus ancien parvenu jusqu'à nous. Il est également le deuxième des quatre évangiles retenus dans le canon du Nouveau Testament : le premier et le troisième étant respectivement ceux de Matthieu et de Luc, avec lesquels il forme le groupe des évangiles dits synoptiques, et le dernier celui de Jean. Comme plusieurs chercheurs n'ont manqué de le souligner, le texte de Marc montre un très vif intérêt pour la représentation spatiale de l'activité itinérante de Jésus. 

Anciens dieux, nouveaux cultes en Gaule romaine
Le Mans Université

Le long processus de transformations, qui conduit les provinciaux à "se sentir Romains", selon l'expression du géographe Strabon, a été jadis analysé en termes d'assimilation/ résistance(s). Aujourd'hui, le dialogue entre les traditions locales et la culture romaine, si tant est que celle-ci puisse être définie comme unitaire, est exploré de manière plus féconde, et de nouveaux concepts ont permis d'envisager les aspects multiformes du processus. Parmi ces concepts, celui de romanisation, un temps délaissé pour ceux de métissage et de créolisation, reste aujourd'hui le plus pertinent et le plus clair pour définir non pas un processus d'adoption, par les vaincus, d'un très hypothétique modèle imposé par le vainqueur, mais la synthèse complexe d'élément locaux et d'éléments romains dans sa plein dimension diachronique. 

Marc Henri Piault Leçon 2 : Vers un nouveau langag...
Aix-Marseille Université

Postures scientifiques d'exploration du monde (collecte, identification, appropriation) et d'instrumentalisation à l'origine de l'émergence d'un langage du cinéma :

Exploration et explication du monde se situaient dans la même optique de saisie de la totalité exprimée par le fondateur français de la thermochimie, Marcellin Berthelot, estimant que l’univers était désormais sans mystère : il paraissait désormais établi que rien n’échappait à une stricte détermination dont la recherche scientifique dévoilait peu à peu toutes les manifestations et procédures.

Au-delà des formes et des fantasmes d’une sorte de traduction objective de la réalité qui se ferait dans le passage à l’image, l’histoire qui nous préoccupe et fait sens anthropologique, retrouve les réflexions de l’un des premiers grands théoriciens du cinéma, Béla Balazs, pour qui le travail de construction cinématographique est une interprétation de ce qu’il donne à voir à travers la succession organisée des images. Sous la forme du gros plan, un visage, détaché de son environnement, nous offre une expression directement significative : «... l’expression d’un visage isolé est un tout intelligible par lui-même, nous n’avons rien à y ajouter par la pensée, ni pour ce qui est de l’espace et du temps... Nous voyons de nos yeux quelque chose qui n’existe pas dans l’espace. Les sentiments, les états d’âme, les intentions, les pensées ne sont pas des choses spatiales, seraient-elles mille fois indiquées par des signes spatiaux.»

e cinéma s’invente et se produit dans un espace renouvelé dont il traduit justement la reconsidération et peut-être la reconstruction. L’anthropologie s’en empare immédiatement : elle est en synchronie avec une problématique semblable de l’observation, de la préservation et de la compréhension de cette relation paradoxale et sans cesse retrouvée entre l’universel et le particulier, entre moi et l’autre. En conséquence, les modalités d’exercice, l’usage anthropologique du cinéma et du fait cinématographique devraient éclairer la démarche elle-même en en précisant les conditions qui s’adapteraient à la finalité de ses usages.

Films étudiés: Les Frères Lumière (Ashantis, Melbourne Cup), T. Edison (Indian Snake Dance Series in Moki Land) , R.W. Paul (Une course folle en auto dans Picadilly Circus), L'école de Brighton, H.G. Ponting (L'éternel silence), E. Curtis (In the Land of the head Hunters), L.T. Reis (Rituaes e Festas Borôro).

L’ « art cistercien » : une tradition aniconique d...
Le Mans Université

Comme au sein des autres ordres nouveaux érémitiques de la fin du XIe siècle, des voix se sont rapidement élevées dans les milieux cisterciens pour exprimer de la méfiance vis-à-vis des représentations figurées. Leur porte-parole le plus explicite fut Bernard de Clairvaux, qui dénonçait, vers 1124-1125, la présence de représentations figurées dans les abbayes bénédictines, qu’il jugeait néfaste pour l’activité de méditation des moines. De fait, les historiens de l’art du milieu du XXe siècle ont cru pouvoir discerner l’existence d’un « art cistercien » médiéval, reconnaissable notamment par son dépouillement décoratif et son renoncement aux représentations figurées peintes ou sculptées alors habituelles dans les autres institutions religieuses. Les études les plus récentes ont cependant permis de nuancer ce supposé « aniconisme cistercien ».

La table du Tsar
Université de Lorraine

Ce documentaire présente "Flore de Lorraine", table énigmatique à la marqueterie représentant un paysage allégorique de la Lorraine, commandée en automne 1893 à Emile Gallé et offerte au Tsar Alexandre III à l'occasion de la signature de l'alliance franco-russe. La table du Tsar raconte, en compagnie de conservateurs et restaurateurs du musée de l'Ermitage, d'historiens lorrains, de botanistes et biographes de Gallé, l'histoire de cet exceptionnel objet d'art conçu et fabriqué dans l'urgence par le célèbre artiste de l'Art Nouveau, ses collaborateurs et artisans, en seulement trois semaines.

12 - Machiavel, politique et morale : l'historicis...
Ecole normale supérieure de Lyon

L'acteur politique est celui qui, en fonction d'une " qualité des temps " qu'il est capable d'analyser définit les objectifs de la période, ses enjeux, et du coup, détermine ce qui est bon et ce qui est mauvais en fonction de ces objectifs.

L'existence de la vertu humaine inscrit le rôle de l'acteur politique comme élément déterminant du déroulement de l’histoire.
Elle se lit comme une éthique de l'action : il s'agit d'abord de faire ce que doit en termes machiavéliens : non si abbandonare mai [ ne jamais se laisser aller ].

Le bien ou plutôt l'agir bien est donc, en se comportant en bon médecin, en bon architecte (deux métaphores récurrentes dans le texte du Prince), après avoir déterminé, en fonction de " la qualité des temps ", les enjeux et les qualités du moment, agir en conséquence.
Mais, dès lors, n'importe qui pourvu qu'il ait en lui la force de ce principe éthique peut jouer ce rôle et définir enjeux et objectifs du moment. S'il les atteint, quels qu'ils soient et quels que soient les moyens utilisés, il joue et il joue bien le rôle qui lui est dévolu: le bien et le mal sont radicalement historicisés ; tout acteur politique s'inscrit dans cette réalité.

C'est là le sens du dévoilement machiavélien : mettre en évidence le rôle de la force, des rapports de force, des conflits et de la guerre comme vérité des rapports entre Etats et à l'intérieur même des sociétés.Mais, paradoxalement, ce qui se joue dans ce rapport des temps et des hommes se nomme l'éthique.
Ceci peut se lire dans l'exhortation finale du Prince à libérer l'Italie (chapitre XXVI), qui donne sens à tout l'ouvrage.
Il y a un enjeu central : la rédemption de l'Italie ; un moyen nécessaire : la mise en place d'armes propres (la réflexion sur les armes est récurrente dans le texte) ; un sujet possible de cette rédemption : un prince nouveau et vertueux.il s'agit d'arrêter le cycle de la corruption, d'éviter, si faire se peut, la mainmise étrangère sur l'Italie. Plutôt un prince nouveau que la lente agonie de l'Italie !

Patrimoine et Identité dans les arts finlandais : ...
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Patrimoine et Histoire, Patrimoine et Société, tels sont les titres des cours publics qui furent donnés à l'université Rennes 2, entre 1995 et 1997. Les conférences alors prononcées par les historiens François Hartog, Jean-Pierre Rioux, François Loyer ou Pierre Nora ont laissé un souvenir vif. L'ouverture de la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris, cet automne, montre comment notre héritage commun s'est affirmé, depuis, comme un objet de pratiques culturelles et comment le présent se nourrit des métamorphoses du passé, sous les auspices du marché. Sur la colline de Chaillot, les mécènes se pressent en effet pour éponger les 80 millions d'Euros qu'a coûtés la Cité. Le portail de Vézelay, hérité de l'ancien Musée des monuments français, y côtoie la cité radieuse de Marseille. Alors, Viollet-le-Duc et Le Corbusier, même combat ? Mais l'intégration des modernités dans l'inventaire des valeurs consacrées suit-elle un parcours aussi linéaire ? On a vu avec quelle force ces valeurs ont envahi l'arène politique, lors des dernières élections présidentielles. À l'évidence, les conceptions de la nation et de la République, qu'elles sous-tendent, sont plurielles. Il existe la France certes, mais aussi des France. Comment incarner cette diversité sans la dénaturer ? Le commissaire Maigret, disait-on récemment, est le véritable ministre de l'identité française. Or, voici qu'à présent ces thèmes surgissent au coeur même de la mondialisation. Si l'identité s'est rêvée nationale au XIXe siècle, puis découverte régionale au siècle suivant, chacun d'entre nous est désormais porteur d'identités multiples, de moins en moins réductibles à la couleur du drapeau. Que faut-il attendre de la mutation des identités collectives ? Choc ou enrichissement ? Ouverture pacifiée ou confrontation ? C'est en explorant les systèmes de représentation symbolique du passé proche - ici et ailleurs, en Afrique du Nord ou dans l'ancien empire soviétique notamment - que ce nouveau cours public alimentera le débat d'idées. Marc Gontard Président de l'université Rennes 2 Jean-Yves Andrieux Professeur d'histoire de l'architecture

17 - Francesco Guicciardini (1483-1540), Dialogo d...
Ecole normale supérieure de Lyon

"Une république tempérée"

Bernardo présente, dans le livre II, l'architecture des institutions à mettre en place et la meilleure façon de les faire vivre (et ici prend tout son sens le substantif de "vivere" comme forme de vie politique, régime en actes, incarnée dans une société déterminée).

Ce socle est fondé sur quelques convictions :

  • la libertà est ancrée à Florence ;
  • le peuple ne peut gouverner car il ne sait pas ;
  • le poids du gouvernement repose toujours sur les épaules d’un petit nombre de sages ("sempre si regge in su la virtù di pochi" dit Soderini) ;
  • cela ne signifie pas qu’il faille instaurer un gouvernement aristocratique au sens classique du terme ;
  • tous les gouvernements ont des qualités et des défauts et il ne s’agit donc pas de déterminer le meilleur d’entre eux mais "el manco cattivo" comme le déclare Piero Guicciardini, à savoir notamment le gouvernement qui assure la sicurtà à la cité.

Bernardo va alors exposer les cadres principaux de ce gouvernement "manco cattivo". Le fondement principal et l'âme (p. 149) de ce gouvernement à la fois populaire et bien ordonnée sera le Grand Conseil.


Ce conseil permet d'incarner l'equalità à laquelle tiennent tant les Florentins - et qui représente le primo fondamento di conservare la libertà - sans entrer dans des débats infinis sur le domaine dans laquelle celle-ci doit se déployer. Mais ce n'est pas lui qui aura la charge d’élaborer les lois et d'en discuter (c'est la fonction des conseils restreints) : sa seule prérogative sera de les approuver. Une série de conseils restreints prendra garde notamment aux fonctions régaliennes majeures : le fisc, la justice, l'ordre public et la sécurité de l'Etat.

A l'instar du doge vénitien, un gonfalonier à vie pourra représenter la république en tant que proposto ou priore sans autorità particulière. La vraie autorità del governo devrait revenir à un sénat dont les membres sont nommés à vie et qui choisiraient dans leurs rangs les membres du conseil des Dix députés à la guerre.

La réflexion sur le sénat est décisive pour penser le nouveau groupe dirigeant, ses modalités de constitution et d’action. Le sénat accueille des hommes qui ont montré leur capacité par leur grado (c’est-à-dire pour l’essentiel leur naissance dans une des grandes familles) mais aussi par leur merito En définitive c'est un gouvernement temperato à la vénitienne qui est dessiné à grands traits par Bernardo. 

Le grand chambardement : aménagement régional, vil...
Université Panthéon Sorbonne - Paris 1

La leçon 7, "Le grand chambardement : aménagement régional, villes nouvelles et nouveaux départements (1965-1980)", a pour objectif de différencier villes nouvelles et grands ensembles, de comprendre le fonctionnement de l'urbanisme d'Etat à son apogée et le rôle des technocrates et enfin, de montrer que les décisions des années 1960 sont aux origines de la question du Grand Paris.