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Dieu au village
Collection " Les Bretons et leur Histoire " Les pratiques religieuses catholiques sont au coeur de la société et de la culture, au coeur de la vie quotidienne parfois, pendant plus d'un millénaire, et cela, dans la Bretagne rurale au moins, jusque dans le cours du 20e siècle. Or, aujourd'hui, elles sont devenues si étrangères à une large part de la population que leur signification devient parfois obscure. Comment comprendre, dès lors, l'histoire des siècles passés ? Comment comprendre l'histoire de la Bretagne ? Comment comprendre ce patrimoine artistique exceptionnel que sont les enclos paroissiaux, les innombrables chapelles, leur décoration ? C'est à ces questions que le film tente de répondre, en expliquant, de la manière la plus simple et la plus concrète possible, le vocabulaire de base de la pratique et de l'art religieux. Il est centré sur l'"âge d'or" de l'art religieux, celui des enclos paroissiaux, aux 16e et 18e siècles, et fournit ainsi les clés d'un univers que chacun peut ensuite redécouvrir, avec ou sans la foi.
Le Premier Homme : comment vivre sans Dieu ?
Dans Le Premier Homme, Camus annonçait l'ouverture d'un troisième volet de son oeuvre : le cycle de l'amour, après ceux de l'absurde et de la révolte.
Le Premier Homme se constitue ainsi comme une nouvelle Genèse. Jacques Cormery, nouvel Adam, a cette particularité de s'avancer dans un univers sans créateur.
Si Camus se déclarait d'une incroyance « passionnée », on est frappé pourtant par la perpétuelle résurgence de la question de Dieu, grand absent-présent du Premier Homme.
La structure du manuscrit inachevé conduit Jacques Cormery à accepter la dérobade et l'oubli de l'origine, avant un ressourcement dans l'évocation de l'enfance.
(résumé auteur)
La Cité de Dieu, après-demain ?
Quand Rome est mise à sac le 24 août 410, des voix se lèvent s'interrogeant sur les raisons d'un tel désastre et sur le devenir de Rome. Demain qu'adviendra t-il de la Roma aeterna ? Déconcerté par ce pillage et soucieux d'éclairer les jugements, Saint Augustin décide alors de mener à bien son projet déjà ancien de composer une fresque théologique. Il compose ainsi La cité de Dieu, oeuvre qui oppose la cité terrestre et la cité céleste et qui analyse leurs origines, leur développement et leur fin.
Patrice Cambronne nous donne ici des clés de lecture de la réflexion de Saint Augustin sur les deux cités, en apportant un nouvel éclairage sur la théologie manichéenne et la parabole du bon grain et de l'ivraie.
MOOC d'introduction à la théologie protestante com...
Ce MOOC est proposé par des enseignants des Universités de Strasbourg et de Genève, où la théologie fait partie des disciplines universitaires. Il s’agit d’un MOOC d’introduction : treize spécialistes y font découvrir ce qu’on apprend en faculté de théologie et avec quels outils on y aborde la question de Dieu.
En théologie protestante, on étudie le rapport entre les humains et Dieu tel que le conçoit le christianisme. On essaie de penser Dieu
- à partir de l’analyse des textes bibliques,par l’examen des écrits,
- des événements et des personnes qui ont marqué l’histoire du christianisme et du protestantisme,dans une réflexion sur les concepts,
- les représentations et normes qui en sont issus,à travers une enquête menée sur les communautés chrétiennes actuelles et sur leurs pratiques.
Ces quatre types d’approche – biblique, historique, systématique et pratique – sont présentés ici avec les méthodes scientifiques qui leur sont propres.
Un thème unique tient lieu de fil rouge : « Croire ». Il ouvre à un questionnement sur le lien entre croire et penser. Il permet aussi d’expérimenter la pluralité des approches qui fait la spécificité de la théologie comme discipline universitaire.
Plan de cours
Semaine 1. Introduction. « Je crois, donc je pense. »
Semaine 2. Penser Dieu. Les textes bibliques
Semaine 3. Penser Dieu. Des écrits, des évènements, des hommes et des femmes
Semaine 4. Penser Dieu. Des concepts, des représentations, des normes
Semaine 5. Penser Dieu. Des communautés et des pratiques
Semaine 6. La théologie protestante : des disciplines en dialogue
Mortelles civilisations : décadence de la Rome ant...
En voulant donner une cohérence aux événements du réel, l'historien est souvent amené à dévier d'une démarche purement objective et à porter un regard personnel sur les faits. Cette construction de l'histoire par un point de vue explique la coexistence, hier comme aujourd'hui, d'écrits historiques contradictoires. L'analyse des ouvrages respectifs de Salluste et Augustin sur l'histoire de la décadence de la Rome antique: « La conjuration de Catilina » et « La Cité de Dieu » est très révélatrice de ces divergences d'interprétation : à la conception diachronique (à l'âge d'or succède la décadence) de Salluste s'oppose l'interprétation synchronique d'Augustin. Patrice Cambronne nous livre ici la confrontation de ces deux textes.
« Vous ne pouvez servir Dieu et l'argent » : brève...
Parler de religion et d'argent implique à l'évidence d'examiner le rapport aux richesses et les relations entre riches et pauvres. C'est un thème qui, depuis les grands bouleversements du néolithique et les débuts de l'urbanisation, qui marque la première étape dans la monétarisation des économies, traverse toutes les sociétés humaines et toute l'histoire des représentations du monde. L'histoire des religions n'échappe pas à l'argent, ne serait-ce que dans la mesure où la relation à l'argent exprime avant tout les relations que les humains entretiennent entre eux. Dans les traditions bibliques, l'Argent est parfois même considéré comme une divinité dotée d'un pouvoir d'aliénation des humains (dans les pages qui suivent, on écrit, pour désigner cette puissance divinisée, avec un A majuscule).Nous n'allons pas prétendre ici relire toute l'histoire du christianisme à travers la question de l'argent mais nous allons nous fonder sur un passage aussi célèbre que bref du Nouveau Testament et tenter de montrer comment son interprétation se développe en deux traditions herméneutiques qui s'entrecroisent tout au long de l'histoire.
Le temple du prince saint Echmoun. Sanctuaire puri...
La Phénicie est formée de plusieurs cités-états et sa religion officielle est liée à la cité. Chaque cité cherchant une autonomie propre crée son dieu ou ses dieux et ses déesses auxquels elle consacre un culte. À la tête de chaque panthéon règne une divinité. Celle-ci est maîtresse du lieu et protectrice de la cité, notamment de la figure royale. Elle est généralement associée à une autre divinité formant ainsi un couple divin. Seul El (El signifie premier), est le dieu créateur de la terre, donc par le fait même père des dieux et des hommes ; il est un dieu commun à tous les habitants de la Phénicie.
Le mysticisme dans l'œuvre de l'écrivaine français...
Dans l'encyclopédie catholique Théo, le ou la mystique est "la personne qui donne une grande place dans sa vie au mystère de Dieu et qui cherche de toutes ses forces à vivre en communion avec Lui." Dans des cas assez rares, cette union se manifeste par des phénomènes extraordinaires : visions, prophéties, extases, lévitations, bilocations, stigmates...Le plus souvent, on parle de mystique pour décrire une expérience personnelle de présence de Dieu. Le mystique perçoit la présence divine de façon très réelle et en témoigne. Tout au long de l'histoire de catholicisme, l'écriture a une grande place dans le cheminement des mystiques. Premièrement, elle est un témoignage de leur foi qu'ils souhaitent transmettre aux autres croyants. Deuxièmement, elle les accompagne dans leur tentative de communication avec Dieu et/ou avec le Christ, auxquels ils s'adressent d'ailleurs dans leurs textes.
Le culte d'Apollon et l'idéologie du pouvoir à Rom...
Dès la fin du VIe siècle av.J-C, le dieu grec Apollon est honoré dans les sanctuaires étrusques emporiques à quelques dizaines de kilomètres au nord de Rome, et il semble probable qu'à l'époque des rois étrusques la ville ait connaissance d'un dieu que les Etrusques en pays tyrrhénien assimilaient à l'un de leurs divinités du monde funéraire et souterrain, Suri. Plus tard, en 449 av. J-C, Tit Live (Histoire Romaine, III, 6-11) mentionne la présence d'un Apollinare dans région des Prés Flaminiens, un lieu de culte à ciel ouvert qui pourrait être bien plus ancien. Ensuite, il faut attendre l'année 433 av. J-C. pour avoir le premier témoignage véritablement explicite relatif à la présence d'un lieu de culte officiel du dieu Apollon.