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12 résultats pour votre recherche 'Empire Ottoman'
Tri décroissant par
L'émigration syro-libanaise vers l'Egypte (XVIIIe ...
Le Mans Université

Depuis le XVIe siècle et le traité des "capitulations" (1528) signé entre François Ier er Soliman le Magnifique, la monarchie française dispose d'un statut de protecteur de minorités au sein de l'empire ottoman. La formations d'une partie du clergé maronite et melkite en Italie, la création d'écoles sur le modèle européen, l'engagement des congrégations religieuses catholiques italiennes puis françaises en situation de rivalité avec les missions protestantes anglo-saxonnes, l'établissement de loges maçonniques, l'écho donné aux révolutions européennes du demi-siècle écoulé et aux idées qui les animent, accélèrent un processus de démarcation entre communautés. 

Des Shawam entre Egyptiens et Européens (XVIIIe – ...
Le Mans Université

L'Égypte est située sur la route des élèves maronites allant étudier à Rome dans un collège spécialement fondé pour eux au XVIe siècle. Quelques familles s'y établissent dès ce moment. Leurs noms sont fixés dans les registres paroissiaux tenus par les franciscains, religieux à qui le pape a confié la garde des Lieux saints et dont le supérieur est toujours un légat pontifical auprès des maronites. Leur présence au service de cet ordre catholique reste modeste et ne semble pas avoir suscité d'opposition de la part des autorités ottomanes. Au demeurant, ces chrétiens bénéficient de la protection garantie par le régime des Capitulations. Au XVIIe siècle, deux de leurs savants séjournent encore sur les rives du Nil pour y effectuer une double mission : récolter des manuscrits anciens ; confronter les coptes catholiques dans leur récente union avec l'Église catholique romaine. 

La représentation de l'émigration par des intellec...
Le Mans Université

Si l'on accepte de travailler sur différents types de documents (discours, poèmes, mémoires, expressions picturales) il n'existe pas de représentation monolithique du migrant. Les portraits varient en fonction du temps, du lieu, de la religion, de l'âge, du sexe, de l'appartenance sociopolitique et de bien d'autres traits identitaires encore. Des migrants de toutes conditions sont venus de la région syro-libanaise pour s'établir en Égypte, mais les intellectuels et hommes de lettres ont constitué un groupe au rôle inédit, débordant son seul poids démographique. 

Les Tanzimats : religions, droits et libertés dans...
Le Mans Université

Dès sa naissance au début du XIIIe siècle dans la partie orientale du monde islamique, l’État ottoman a su reprendre à son compte le patrimoine juridique et jurisprudentiel perse et seldjoukide et en faire les piliers de sa construction étatique. Par la suite et tout au long de ses six siècles d'histoire, il a réussi à agréger diverses traditions juridiques constituant un ensemble de textes connu sous différents noms : Kanun-name, adalet-name ou siyaset-name, régissant aussi bien l'administration et la justice que les affaires militaires et financières. Deux grandes périodes peuvent être distinguées dans l'histoire de l'Empire ottoman. Des origines, jusque 1839 et le début de la période des Tanzimat, la shari'a est la source toute législation. Avec les Tanzimat, la législation est réformée en profondeur. A travers les grandes étapes des réformes : le Hatt-i Sharif de Gülhane en 1839, le Hatt-i Humayoun en 1856 et la promulgation de la constitution ottomane en 1876, de nombreuses dispositions antérieures sont abandonnées. En témoigne en particulier l'adoption du code civil ottoman (Majalet al ahkam al adlya) qui constitue un changement juridique et doctrinal majeur dans l'histoire de l'Empire. L'objectif de cette étude sera de comprendre comment les normes juridiques de l’État ottoman étaient fixées et de mesurer à quel point les Tanzimat constituent une rupture dans l'histoire de la législation d'un Etat musulman.

Migrations religieuses (XVIe–XIXe siècles)
Le Mans Université

Des mouvements de population importants ont, dans l'espace euro-méditerranéen, touché toutes les confessions au cours des cinq derniers siècles. Afin d’analyser ce phénomène, les auteurs de cette ressource présentent quatre types de migrations.

Tout d'abord, ils abordent les motifs et les développements des flux migratoires, puis ils présentent la gestion des flux par les autorités civiles et religieuses. Enfin, les mémoires des migrations religieuses sont développées.

De nombreuses références bibliographiques, des références biographiques et un glossaire sont proposés en complément du cours.

L'émirat des Chéhab (1697-1841). Le mandat de Béc...
Le Mans Université

L'émirat du Mont-Liban constitue une entité politique propre au sein de l'Empire ottoman. Il possède une autonomie relative et surtout un statut particulier qui le distingue de nombreuses institutions ottomanes connues, dont la nature est principalement fiscale. La dynastie Maan est la première à avoir régi l'émirat, depuis la conquête ottomane des provinces arabes en 1516 jusqu'à son extinction en 1697. L'émirat se compose de notables et de paysans enserrés dans une société d'ordres quasi immuable. Le pouvoir passe alors aux mains des Chéhab, descendants de Quraysh, originaires de La Mecque et établis à Hasbayya à Wadi t-Taym pour combattre les Francs. 

La théorie du pouvoir durant le mandat de Fakhr-al...
Le Mans Université

L'émir Fakhr al-Din (1572-1635) est une figure majeure de l'histoire de la partie orientale de la Méditerranée au XVIIe siècle. Au sein de l'Empire ottoman, divisé en vilayets eux-mêmes subdivisés en sandjaks , il parvient à instaurer une entité proto-étatique puissante, englobant ce qui deviendra le Liban (au XXe siècle) ainsi que certaines régions environnantes. Il profite des guerres de l'Empire ottoman pour élargir son pouvoir et organiser les structures administratives qui lui sont nécessaires. Le règne de l'émir s'étend sur une longue période mais les historiens ne disposent pas d'écrits signés de sa main ( décrets ou correspondance), susceptibles de livrer la conception du pouvoir selon Fakhr al-Din.

Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon : La li...
Ecole normale supérieure de Lyon

Le Roman de Baybars fait partie de cet univers qu'on nomme "littérature populaire", produite dans le monde arabe du second Moyen Age, pendant une période qui va du XIIe au XVe siècle, du temps des croisades à celui de l'expansion méditerranéenne de l'Empire ottoman. Cette geste ou sira aux nombreuses variantes est centrée sur les aventures du sultan mamelouk Baybars qui, au XIIIe siècle, reprend la lutte, abandonnée après la mort de Saladin, contre les princes croisés.

Le réformisme islamique et la science moderne - Al...
Le Mans Université

Au cours du XIXe sècle, l'Empire ottoman est amené à moderniser ses structures politiques et sociales, face à la pression européenne. Dans les provinces arabes du Moyen-Orient ottoman s'opère alors des changements de nature diverse, dans les domaines politique, littéraire, artistique, social et religieux. La notion d'"éveil" - Nahda en arabe - fait son apparition, pour désigner le combat visant à extraire la société arabe de la "stagnation" (inhitat) dans laquelle elle se trouve. La Nahda est ainsi supposée annoncer une ère nouvelle de réformes et nécessairement en rupture avec un passé considéré comme obscurantiste et inique (zulm), ou tout du moins sclérosé (djumud). En ce sens, la Nahda se rapporte à un processus visant au changement, plutôt qu'à un événement précis, et on comprend aisément que sa nature peut varier en fonction des origines sociale, politique et géographique de ses acteurs.