- Estampillage UOH (9)
- Langues, Littératures et Civilisations étrangères (5)
- Anglais (1)
- Civilisations (1)
- Espagnol (1)
- Civilisation (1)
- Langues et cultures des régions de France (3)
- Occitan, Provençal et Catalan (3)
- Anglais (1)
- Lettres classiques, Langues et Littératures françaises et de France (1)
- Lettres classiques (1)
- Grec classique (1)
- Lettres classiques (1)
- Sciences de l'homme (5)
- Philosophie (2)
- Philosophie politique (1)
- Épistémologie, causalité, genre humain (1)
- Sciences des religions (4)
- Histoire et théorie de la religion - concepts transversaux - analyses comparées (4)
- Philosophie (2)
- Sciences de la société (9)
- Géographie, Aménagement (2)
- Géographie humaine (2)
- Géographie physique (1)
- Géographie rurale (1)
- Géographie urbaine (1)
- Géographie économique et régionale (1)
- Histoire, Histoire de l'Art, Archéologie (7)
- Histoire de l'Afrique (1)
- Histoire de l'Europe (1)
- Histoire générale (6)
- Sociologie, Démographie, Anthropologie (2)
- Sociologie des groupes sociaux (1)
- Théories sociologiques, ethnologiques, anthropologiques et méthodologie (1)
- Géographie, Aménagement (2)
- Doctorat (1)
- Enseignement supérieur (16)
- Formation continue (1)
- Formation professionnelle (1)
- L1 (3)
- L2 (1)
- L3 (1)
- Licence (15)
- M1 (3)
- M2 (3)
- Master (8)
- Conférence, table ronde et entretien (type UOH) (4)
- Essentiel (type UOH) (5)
- Etude et document (type UOH) (1)
- Glossaire (2)
- Grande Leçon (type UOH) (6)
- Webographie, bibliographie (1)
Sciences et religions à l'époque contemporaine XIX...
La relation entre science et religion est un thème d’étude controversé. Parmi les enjeux historiographiques figurent la caractérisation de ce qui s’est passé dans l’Europe du XVIIe siècle et la place de l’héritage religieux, juif, chrétien et musulman. Le contenu du module d’histoire HEMED se place en aval de cette période, en distinguant trois volets le premier consiste à montrer comment les « sciences humaines et naturelles » ont acquis une indépendance à l’égard du « savoir religieux » ; le deuxième est centré sur la variété des réactions des autorités religieuses face au progrès scientifique et technologique ; le troisième vise à rendre compte de débats contemporains autour des questions épistémologiques. La spécificité de l’approche consiste à ne pas séparer a priori l’histoire de milieux culturels trop souvent présentés comme des blocs fossilisés.
Colloque L'Islam et l'Occident à l'époque médiéval...
Organisé par les laboratoires Triangle Action, discours, pensée politique et économique (UMR 5206), Cerphi Centre d'Etudes en Rhétorique, Philosophie et Histoire des Idées, Ciham Centre Interuniversitaire d'Histoire et d'Archéologie Médiévales à l'Ecole normale supérieure Lettres et sciences humaines, ce colloque international est conçu comme un moment de débat scientifique et d'échanges sur les enjeux sociaux de l'écriture de l'histoire, dès lors que l'on traite du monde arabo-musulman, de ses rapports avec les sociétés occidentales et, plus particulièrement, de la transmission des savoirs entre les deux mondes au Moyen Âge.
Les Almohades : une théorie du pouvoir spécifique ...
Le Maroc contemporain a été lieu d'établissement de structures proto-étatiques ou étatiques à l'époque médiévale, correspondant aux premiers siècles de l'hégire. Le terme Dawla, traduit aujourd'hui par "État", signifiait davantage "dynastie". Divers régimes se sont succédés : les Idrissides, les émirats indépendants, les Almoravides et les Almohades. Cette variété ne doit pas voiler une constante : l'importance de la base confessionnelle musulmane.
Les minorités ethniques en Grande-Bretagne
Cet entretien informel aborde le thème des minorités ethniques en Grande-Bretagne à l'époque contemporaine.
Il fait remarquer que les résultats de recherches récentes sur les minorités ethniques contredisent certaines idées reçues sur ces populations, notamment dans les domaines de la réussite scolaire et de l'accès à l'emploi.
Il éclaircit notamment ce que le concept de multiculturalisme signifie pour les Britanniques.
La mort comme fondation des sociétés humaines
Les attitudes fondamentales des hommes et des cultures à l'égard de la mort se modifient dans l'histoire. Source de grands mythes et de croyances (immortalité, résurrection...) à l'époque pré-moderne, la mort perd, avec la rationalité et l'individualisme, tout fondement réel. L'homme la nie et la rejette devenant se faisant un individu a-mortel. Cette crise contemporaine de la mort qui s'intensifie avec les guerres mondiales du XX° siècle, guerres de sacrifice et guerres-massacre, est une cause du mal être de notre société : la mort est devenue inhumaine.
Lexique de l'Espagne moderne
Ce lexique de l'Espagne du Siècle d'or et des Lumières définit, dans des articles généraux, les principales caractéristiques, tendances et spécificités d'un certain nombre de notions, institutions et phénomènes de l'Ancien Régime.
Il a été conçu comme un outil de travail pour saisir divers aspects tant de l'histoire que de la littérature ou des arts.
C'est aussi un manuel de culture générale pour les étudiants de concours, qui permet de saisir de façon schématique et claire les grands processus à l'oeuvre dans une Espagne qui régentait, à son heure, le destin du monde avant de connaître un lent et irrémédiable déclin jusqu'à l'époque contemporaine récente.
(d'après résumé des auteurs)
Religions et gestion de la violence
Au cours des siècles passés, et encore à l’époque contemporaine, des responsables religieux comme politiques ont appelé à la transcendance divine pour justifier des actes de violence.
D’autres autorités religieuses, au contraire, ont agi pour, canaliser, limiter ou bannir la violence. Pour comprendre la manière dont fonctionne la dynamique à l’œuvre dans la dialectique paix/guerre qui a travaillé les religions, il est impératif d’historiciser le phénomène en distinguant les textes de référence et leur interprétation, le contexte des épisodes conflictuels ou de pacification, les pratiques individuelles et collectives.
De la sorte peuvent être mis au jour les grandes tensions susceptibles de mener à commettre des actes violents, notamment guerriers.
Les philosophes et la Bible
À la Renaissance, la Bible change de statut. Elle est désormais traduite en langue vernaculaire, elle constitue l’enjeu des controverses religieuses liées à la Réforme, et elle est continuellement convoquée pour intervenir dans des questionnements scientifiques ou politiques. On se demande par exemple si les lois mosaïques fournissent un modèle théocratique, si l’Église a une indépendance à l’égard de l’État – voire un droit de contrôle sur celui-ci. On essaie parfois, en s’appuyant sur l’Écriture Sainte, de déterminer la nature de la liberté humaine. On tente, aussi, de déterminer ce qu’est le sens de la Bible dans un monde héliocentrique, régi par des lois universelles, apparemment incompatibles avec les miracles relatés dans l’Écriture.
Ainsi, chacun des grands philosophes de l’âge classique est amené à se confronter avec l’Écriture Sainte – pour s’en réclamer, pour s’interroger sur la portée de ses enseignements, pour proposer une méthode d’interprétation, pour tracer une frontière avec les thèses qu’il défend en sciences, en métaphysique ou en politique.
La série explore les prises de positions des grands philosophes de l’époque moderne à l’égard de l’Écriture Sainte, le matériel dont chacun disposait (éditions, traductions, instruments de travail, milieu exégétique), la cohérence de ces positions avec son système, ainsi que leur éventuelle transformation au cours de l’évolution de ce système. La série souligne aussi, en sens inverse, l’influence que les élaborations philosophiques ont pu avoir sur les contemporains et la postérité, y compris sur les spécialistes – éditeurs, traducteurs et théologiens, dont le travail ne se réduit pas à une pure activité technique mais passe aussi par une réception des cadres de pensée proposés par les philosophies.
Linguistique grecque
Le présent cours, consacré à la préhistoire du grec ancien et à son histoire jusqu'à l'époque classique, offre un panorama rapide de sa phonétique et de sa morphologie. La première partie porte sur la phonétique, où sont abordées occlusives, sifflantes, liquides et nasales, semi-voyelles et voyelles. La seconde partie consacrée à la morphologie du nom évoque les déclinaisons thématiques et athématiques, les déclinaisons en A ainsi que les adjectifs et pronoms. Enfin dans une dernière partie sur la morphologie des verbes sont étudiés l'aoriste, le présent et le parfait.