Estampillage UOH
  • Estampillage UOH (15)

Discipline
  • Langues, Littératures et Civilisations étrangères (15)
    • Arabe (15)
      • Civilisation (15)
  • Sciences de l'homme (16)
    • Sciences des religions (16)
      • Histoire et théorie de la religion - concepts transversaux - analyses comparées (1)
      • Islam, babisme et foi bahaïe (15)
  • Sciences de la société (1)
    • Histoire, Histoire de l'Art, Archéologie (1)
      • Histoire générale (1)

Niveau
  • Enseignement supérieur (16)
  • L2 (14)
  • L3 (14)
  • Licence (14)
  • M1 (15)
  • M2 (1)
  • Master (15)

  • Conférence, table ronde et entretien (type UOH) (15)
  • Grande Leçon (type UOH) (16)
16 résultats pour votre recherche 'Jihâd'
Tri décroissant par
Jihâd et harb (Cours : Guerre et Paix en Islam, 2/...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

Le sens militaire du jihâd (Cours : Guerre et Paix...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

Conclusion (Cours : Guerre et Paix en Islam, 14/14...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

Guerre et Paix en Islam
Ecole normale supérieure de Lyon

Accédez aux 14 micro-ressources qui constituent ce cours grâce aux hyperliens du bloc Voir aussi de cette page.

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

Approche du thème de la guerre en islam : introduc...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

Les Miroirs des princes : une pensée réaliste de l...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

Le droit de la guerre en Islam : Présentation (Cou...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

La pensée de la guerre dans les Miroirs des prince...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.

Le droit de la guerre en Islam : Comparaison avec ...
Ecole normale supérieure de Lyon

Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.

Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.

Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.