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La Cité de Dieu, après-demain ?
Quand Rome est mise à sac le 24 août 410, des voix se lèvent s'interrogeant sur les raisons d'un tel désastre et sur le devenir de Rome. Demain qu'adviendra t-il de la Roma aeterna ? Déconcerté par ce pillage et soucieux d'éclairer les jugements, Saint Augustin décide alors de mener à bien son projet déjà ancien de composer une fresque théologique. Il compose ainsi La cité de Dieu, oeuvre qui oppose la cité terrestre et la cité céleste et qui analyse leurs origines, leur développement et leur fin.
Patrice Cambronne nous donne ici des clés de lecture de la réflexion de Saint Augustin sur les deux cités, en apportant un nouvel éclairage sur la théologie manichéenne et la parabole du bon grain et de l'ivraie.
Mortelles civilisations : décadence de la Rome ant...
En voulant donner une cohérence aux événements du réel, l'historien est souvent amené à dévier d'une démarche purement objective et à porter un regard personnel sur les faits. Cette construction de l'histoire par un point de vue explique la coexistence, hier comme aujourd'hui, d'écrits historiques contradictoires. L'analyse des ouvrages respectifs de Salluste et Augustin sur l'histoire de la décadence de la Rome antique: « La conjuration de Catilina » et « La Cité de Dieu » est très révélatrice de ces divergences d'interprétation : à la conception diachronique (à l'âge d'or succède la décadence) de Salluste s'oppose l'interprétation synchronique d'Augustin. Patrice Cambronne nous livre ici la confrontation de ces deux textes.
Le temple du prince saint Echmoun. Sanctuaire puri...
La Phénicie est formée de plusieurs cités-états et sa religion officielle est liée à la cité. Chaque cité cherchant une autonomie propre crée son dieu ou ses dieux et ses déesses auxquels elle consacre un culte. À la tête de chaque panthéon règne une divinité. Celle-ci est maîtresse du lieu et protectrice de la cité, notamment de la figure royale. Elle est généralement associée à une autre divinité formant ainsi un couple divin. Seul El (El signifie premier), est le dieu créateur de la terre, donc par le fait même père des dieux et des hommes ; il est un dieu commun à tous les habitants de la Phénicie.
L'argent dans l'islam
L'économie islamique prend ses racines dans la shar'ia. Par conséquent, les pratiques économiques et financières de la cité islamique doivent se conformer à l'ensemble de ses principes directeurs qui organisent non seulement les aspects spirituels, mais aussi tous les aspects de la vie quotidienne des populations musulmanes. Ainsi, l'économie islamique constitue un paradigme selon lequel les questions économiques ne sont plus considérées isolément mais dans le contexte global de tout un système social et culturel.Dans l'économie islamique les valeurs morales telles que l'équité, la liberté, la justice, l'honnêteté, etc. président. Cependant, toutes ces notions sont des termes abstraits qui possèdent des connotations différentes selon les sociétés, les périodes et les lieux, ce qui veut dire que l'expression « principes de l'islam » pour une économie islamique peut être vague. Le rôle de l'économie islamique, selon la shar'ia, est d'empêcher l'injustice dans l'acquisition des ressources matérielles et de fournir la satisfaction à l'homme devant Dieu et la société. Dans ce cadre religieux l'homme musulman est celui qui a peur de Dieu, il est pieux, vertueux, modeste, vrai, juste, sincère et altruiste, puisque par sa soumission à Dieu, il veut échanger les biens matériels de ce monde provisoire contre le paradis en respectant les valeurs les plus importantes.
Mastrabelé
Mastrabelè est paru après quatorze années sans publication majeure de l'écrivain, en langue occitane, depuis L'Envòl de la tartana édité en 1986 par le CRDP de Montpellier.
Mastrabelè est aussi le premier recueil dont la typographie et la correction graphique soient aussi soignées. La fin des années 1980 a vu en effet dans l'édition occitane naître - ou renaître - un souci d'exigence concernant la cohérence graphique et la qualité d'impression.
Roland Pécout et Max Rouquette (Roland Pécout, un ...
Comme il le dit dans l’entretien, Max Rouquette compte parmi les écrivains qui ont servi de phares à Roland Pécout. L’œuvre immense de Rouquette que la critique commence à découvrir est de celles qui ont orienté la littérature occitane contemporaine.
Ambiguïtés et fonctions de la mort dans le théâtre...
Cet exemplier se rattache au cours sur les ambiguïtés et fonctions de la mort dans le théâtre français.
Litterature grecque antique : Platon, Lysis
Le cours présente un dialogue de Platon intitulé le Lysis et constitue une aide à la traduction du texte grec de l'édition de la C.U.F. Une introduction porte sur les liens entre Philia (l'amitié) et Eros (l'amour) dans la société grecque antique. Avant d'aborder le texte du Lysis proprement consacré à l'amitié, l'auteur invite à considérer l'importance d'Eros, d'abord du point de vue du vocabulaire grec, puis des institutions et enfin à rappeler son rôle dans les deux grands dialogues platoniciens qui lui sont consacrés, le Banquet et le Phèdre.