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Méthodologie de travail universitaire pour futur é...
Dans quelques mois, tu feras tes premiers pas à l'université, un lieu nouveau où tu auras beaucoup à apprendre. Tu vas découvrir les cours en amphi, le besoin de travailler seul(e) en dehors des cours, prendre des notes, etc. Le rythme et les méthodes de travail seront bien différents de ceux auxquels tu es habitué(e) et peut-être même que tu habiteras seul(e), ou en coloc' avec d'autres étudiant(e)s. Tout cela mis bout à bout implique qu'il va falloir gagner en autonomie !
Afin de te préparer progressivement, nous te proposons de t'accompagner sur deux grandes thématiques grâce à quelques tests et exercices.
Dans un premier temps, nous te proposons une séquence pour t'aider à définir ta motivation pour les études supérieures et construire un plan d'études. Réfléchir aux raisons qui te poussent à aller à l'université est très important pour rester motivé(e) tout au long de l'année. Sans objectif précis, il est plus simple de se décourager.
Dans un second temps, nous te proposons différentes séquences progressives pour apprendre à travailler selon les exigences universitaires. Ces mots peuvent impressionner, mais pas de panique, tu as le temps de t'entraîner, et beaucoup de ces conseils peuvent t'être utile dès maintenant pour réviser le bac !
Alors, ne tarde plus et rends-toi à la première séquence !
Les premières théories médiévales de l'État en Cas...
Le terme " État" n'est pas médiéval : le mot "status" ne prend ce sens avant la fin du XVe siècle. L'idée circule cependant au XIIe siècle derrière les termes populus, corona, regnum, civitas et regna, ou respublica. L'historien ne peut donc se pencher que rétrospectivement sur la naissance d'autorités étatiques à cette époque. Pour tenir compte de la diversité des situations en milieu majoritairement chrétien, le cas de la France, où le processus de construction de l'État, bien connu, est réputé très précoce, est examiné en parallèle avec celui de la Castille. La comparaison porte plus précisément sur les règnes longs et consécutifs de deux souverains forts de la seconde moitié du XIIe siècle.
Théories et pratiques de l'argent en religions
Composé de : « Vous ne pouvez servir Dieu et l'argent » : brève histoire de la réception de Mt 6,24 - Michel Grandjean (Université de Genève) L'argent dans l'islam - Abdelkrim Madoun (Université Ibn Zohr Agadir) Les Juifs et l'argent en Allemagne aux XVIIe-XVIIIe siècles : théories et pratiques de la figure du « Juif usurier » - Rachel Renault (Le Mans Université) Les revenus de l'Église maronite dans le vilayet de Sidon à la fin du XVIIIe s. - Karam Rizk & Grace Younès (Université du Saint Esprit de Kaslik)Les finances des habous et des zaouias - Mohamed El Mazouni (Université Ibn Zohr Agadir)
Capitalisme, finance et religions - Enjeux contemp...
Composé de : Protestantisme et capitalisme : la théorie de Max Weber - Sarah Scholl (Université de Genève) Être riche et chrétien. Les associations catholiques des dirigeants, cadres et patrons (1920-2019) (Belgique-France) - Cécile Vanderpelen (Université Libre de Bruxelles) Les enjeux de la finance islamique contemporaine : le cas du Maroc - Abdelkrim Madoun (Université Ibn Zohr Agadir) Le financement public du culte musulman en Europe - Caroline Sägesser (Université Libre de Bruxelles)
La perception des résultats scientifiques modernes...
Dans le prolongement du mouvement de « renaissance » et de « réforme » ayant émergé au XIXe siècle, le milieu des personnes s'exprimant « au nom de l'islam » sur des sujets scientifiques a débordé le corps des ulémas, ces savants formés dans des institutions traditionnelles telles que l'Université d'Al-Azhar en Egypte ou l'Université Qarawiyyin de Fès. Depuis le début du XXe siècle, l'ouverture d'universités reprenant les disciplines et les méthodes élaborées en Europe, tout comme l'envoi d'étudiants boursiers dans les Etats européens ou américains, a provoqué de profonds changements suscitant des tensions, des débats et parfois des affrontements. Au cours des années 1970, c'est au sein même de ces universités modernes qu'ont été ouverts des « Départements d'études islamiques » visant à revaloriser les disciplines islamiques classiques. Ce chapitre vise à étudier des groupes, des personnes et des thèmes qui sont liés à ce mouvement. Leur caractéristique commune consiste à affirmer que la religion musulmane concerne tous les aspects de la vie de l'individu : cultuelle, économique, politique et sociale.
Deux points en particulier sont abordés :
- Les intellectuels défendant une vision globale de l'islam : wahhabites et réformistes ;
- Entre concordisme et réforme épistémologique.
Tableau des déclinaisons latines (Kit de survie du...
Fiche sur le tableau des déclinaisons latines.
Al-Muqtataf : une manière inédite de concevoir la ...
Al-Muqtataf est une revue mensuelle spécialisée dans les questions scientifiques. Ses fondateurs, Yaacoub Sarrouf et Fares Nimr, sont des membres actifs du cercle intellectuel constitué autour du Collège syrien protestant, ouvert en 1866 avec une classe de 16 étudiants. Cet établissement prendra le nom de l'Université américaine de Beyrouth en 1920. Une telle institution s'inscrit dans les initiatives qui accompagnent ke mouvement de la Nahda émergeant autour de Beyrouth, du Caire et d'Alexandrie et touchant les élites de langue arabe. Le choix de la spécialisation est à la fois volontaire et dicté par la contingence. Sous le règne du sultan Abduhamid II, il est plus aisé de publier sur les questions scientifiques que de pratiquer toute autre activité à caractère politique, soumise à un contrôle rigoureux et à la censure.
Le créationnisme dans les milieux évangéliques éta...
A la différence d'autres sujets liés à l'histoire des sciences, le créationnisme est une question sensible dans un certain nombre de milieux religieux contemporains. Ce caractère sensible implique d'expliciter d'entrée de jeu le lieu d'où l'on parle et la position méthodologique que l'on suit. L'optique adoptée est celle de l'histoire du christianisme. Il ne faut donc chercher dans ces pages ni une contribution à l'histoire des sciences en tant que telle, ni un exposé philosophique ou théologique sur la question de la création du monde. Formé dans le contexte d'une université européenne (celle de Genève, en Suisse), qui doit son origine au contexte chrétien, notamment au protestantisme, et qui revendique aujourd'hui une orientation laïque, l'auteur de ce chapitre enseigne dans une Faculté qui garantit à ses membres la liberté académique, ce qui exclut toute inféodation à quelque position idéologique que ce soit, fût-elle défendue par tel ou tel lobby protestant.
Dans ce cadre, le créationnisme est historiquement considéré comme une doctrine qui part de certitudes religieuses, en l'occurrence la notion de création telle qu'elle est interprétée à partir de la Bible et qui cherche à vérifier ces certitudes en leur apportant la caution de la science. D'un point de vue philosophique, une telle démarche mêle des catégories qui doivent être méthodologiquement distinguées, en cela qu'elle postule une finalité à tous les phénomènes naturels et qu'elle se fonde sur des textes considérés comme révélés (la Bible, et en particulier le récit de la création tel qu'il figure dans les premiers chapitres de la Genèse) pour élaborer un discours à prétention scientifique. Paul Clavier a montré, du point de vue philosophique qui est le sien, qu'il est parfaitement possible d'envisager une philosophie ou une théologie dans laquelle un agent transcendant a joué ou joue un rôle dans le surgissement et dans le devenir du monde (cf. Qu'est-ce que le créationnisme ?, 2012). Mais il s'agit alors d'une affirmation métaphysique, qui ne saurait d'aucune façon interférer avec la démarche scientifique. Ces raisons, qu'on pourrait longuement développer, justifient d'une part que le créationnisme ne soit pas considéré comme une science, mais bien comme une idéologie religieuse (et cela quoi qu'en disent ses porte-parole) ; d'autre part que cette doctrine ne soit pas enseignée dans les facultés des sciences des universités européennes.
Lectures contemporaines de l'affaire Galilée - Uel...
Pour l'ouverture de l'année académique en janvier 2008, les responsables de la Sapienza de Rome avaient prévu un orateur éminent : le pap Benoît XVI en personne. Mais les organisateurs de cette ouverture n'avaient pas suffisamment pris en compte la valeur symbolique d'une telle invitation. Peu après l'annonce du programme, le professeur Marcello Cini s'est indigné contre la présence d'un représentant religieux dans le domaine scientifique : dans une lettre ouverte au recteur de l'université il a déclaré que la religion n'avait pas affaire à la science, et que cela était d'autant plus clair si on considérait des cas comme ceux de Darwin ou de Galilée. Et, quand quelqu'un a découvert qu'une vingtaine années auparavant le futur pape avait défendu dans un discours le tribunal ecclésiastique contre Galilée, ce discours a été pris comme preuve indéniable de l'anti-scientificité du pape. L'intervention du pape Benoît XVI n'a jamais eu lieu.