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Religions et violences autour de la Méditerranée :...
Dans les histoires nationales ou religieuses, nombre de violences sont souvent occultées. Leurs motifs obéissent à des ressorts complexes dans lesquels la référence religieuse tient une place, y compris lorsque ce sont des fidèles d'une même religion qui s’entre tuent.
La violence domestique au Liban, et le positionnem...
Dans ce chapitre,le positionnement des croyants chrétiens et musulmans vis-à-vis de la violence domestique est abordé à partir de l'étude du cas libanais. La violence domestique existe dans toutes les sociétés, elle frappe d'abord les femmes et les enfants. Au regard des Nations Unies, elle constitue une atteinte majeure aux droits fondamentaux. Au Liban, il est impossible d'exercer sa citoyenneté en dehors d'une des dix-huit communautés confessionnelles. Le droit civil est largement inspiré par celui qui prévaut en France, mais le droit privé concernant le mariage, le divorce, la tutelle et l'héritage est régi par des doctrines et règlements propres à chaque confession. Elles sont les seules références légitimes reconnues par l'Etat. Chacune dispose de ses tribunaux religieux qui régissent le statut personnel.De ce fait, la société libanaise permet de saisir la diversité des manières avec laquelle cette violence est pensée, interprétée, régulée et jugée.
Violence (symbolique) et histoire des religions
L'existence potentielle d'une vraie religion, d'origine universelle (adamique ou naturelle), est reconnue par des penseurs juifs, chrétiens et musulmans.
Il serait possible, selon eux, d'en reconnaître l'influence chez des païens ; cette idée ouvre la porte à des spéculations portant sur des traces de la vérité au sein même de ce que la foi réprouve comme relevant de l'erreur ou de l'idolâtrie.
Les théologiens chrétiens du christianisme antique hésitent alors entre deux scénarios explicatifs : soit ils postulent (comme le font Tertullien et Augustin d'Hippone) l'existence de païens éclairés par la lumière naturelle, conscients de l'existence d'un seul et unique dieu créateur ; soit ils affirment (parmi d'autres : Justin de Naplouse , Lactance ) que dans les élucubrations les plus délirantes du paganisme, et dans les tromperies elles-mêmes du Démon, on peut rencontrer des vérités voilées, déformées, mais bien présentes.
Sébastien Castellion : un réquisitoire contre la v...
Le nom de Sébastien Castellion ne figure pas parmi les plus connus des humanistes du XVIe siècle ni des intellectuels de la Réforme protestante. Disciple d'abord et même ami de Jean Calvin, à Strasbourg puis à Genève, Castellion attire sur lui les suspicions du réformateur et se réfugie à Bâle où il vit d'expédients (enseignant de grec à l'Académie, éditeur, ouvrier imprimeur).
On lui doit plusieurs traductions, notamment de la Bible (traductions latine et française), ainsi qu'un certain nombre de textes qui furent aussitôt condamnés comme subversifs (comme le Conseil à la France désolée de 1562) ou qui ne furent jamais publiés de son vivant : le Libelle contre Calvin ne sera par exemple publié qu'au XVIIe siècle et le De haereticis non puniendis (littéralement : « Il ne faut pas punir les hérétiques »), pour donner un autre exemple, attendra même sa publication jusqu'au XXe siècle.
Violence et santé publique
A travers la question de la violence posée en terme de santé publique, Roger Salamon, directeur du Haut Conseil de Santé Publique, présente de façon plus élargie ce qu'est le travail de l'épidémiologiste, les outils à mettre en oeuvre pour déterminer des facteurs de risques mais souligne aussi toutes les difficultés liées à la construction des enquêtes et aux innombrables biais d'interprétation.
Religions et gestion de la violence
Au cours des siècles passés, et encore à l’époque contemporaine, des responsables religieux comme politiques ont appelé à la transcendance divine pour justifier des actes de violence.
D’autres autorités religieuses, au contraire, ont agi pour, canaliser, limiter ou bannir la violence. Pour comprendre la manière dont fonctionne la dynamique à l’œuvre dans la dialectique paix/guerre qui a travaillé les religions, il est impératif d’historiciser le phénomène en distinguant les textes de référence et leur interprétation, le contexte des épisodes conflictuels ou de pacification, les pratiques individuelles et collectives.
De la sorte peuvent être mis au jour les grandes tensions susceptibles de mener à commettre des actes violents, notamment guerriers.
Dans l'espace du soupçon : terrorisme et société
Lundi 11 décembre 2006 Conférence de Dominique Linhardt, sociologue, Ecole nationale supérieure des mines de Paris, Centre de sociologie de l'innovation. Toutes les aires culturelles sont concernées par la problématique de la violence, interne ou importée, externe, proche ou lointaine. Le haut niveau de développement de moyens de communication et de diffusion des informations contraint chacun à un spectacle permanent. Des séquences d'affrontement en scènes de harcèlement, ces violences permanentes et persistantes, lues, vues, vécues... se perçoivent en terme d'insécurité, que l'on occulte en les banalisant ou au contraire que l'on cherche à éradiquer en leur donnant une ampleur démonstrative jamais atteinte. Qu'elles soient organisées ou impromptues, classiques ou plus contemporaines, chacun se trouve dans l'obligation de prendre position sur leurs origines et sur les réductions dont elles font l'objet. Quand la criminologie s'invente au XIX ème siècle, elle participe d'un courant de pensées fortement marqué par de théories médicales, biologiques et sociologiques incluant la santé mentale et le désordre public dans une police et une criminalistique qui se cherchaient. Aujourd'hui avec quoi, avec qui se construit-elle et où sont les résistances à sa construction ? Pourquoi la criminologie devrait-elle devenir au XXI ème siècle, en Sciences Humaines et Sociales, un bien aussi commun que la Psychiatrie l'a été au XX ème siècle ? En d'autres termes, comment et avec quelles déterminations participons-nous à l'écriture du crime aujourd'hui ? Quelles perspectives en avons-nous, avec quelles rétrospectives? Le cours public organisé cette année va tenter de reprendre quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?
La rhétorique apocalyptique de Daech à travers sa ...
Dar-al-Islam est l'organe de presse qui relaye la propagande de Daech en français depuis décembre 2014, avec des contributions propres et des traductions de Dabiq, le magazine anglophone de l'État islamique créé en juillet 2014, quelques semaines après la proclamation de « l'État islamique ». C'est la voix autorisée de Daech, dont dix livraisons ont été mises en ligne sur Internet jusqu'à l'automne 2016. Les deux revues sont produites par une agence multimédia dénommée « Centre médiatique Al-Hayat », organe de la communication de Daech qui diffuse notamment sa propagande sur Twitter.
Les images analysées dans ce chapitre ont été produites par l'un des groupes armés les plus violents du début du XXIe siècle dans un but de propagande. Nous attirons l'attention des étudiant-e-s/professeurs sur la nocivité de leur contenu sans le filtre de l'étude critique.
Sexisme ordinaire, harcèlement, violences faites a...
Cette formation, intitulée « Être en responsabilité demain : se former à l'égalité femmes-hommes », traite de l'égalité réelle entre les femmes et les hommes, en abordant l'éducation, les stéréotypes, l'orientation, la parité et la mixité des filières et des métiers, le sexisme ordinaire, le harcèlement et les violences faites aux femmes, pour conclure en terme de responsabilité et de vie citoyenne. Elle est destinée à tout-e étudiant-e et plus largement tout-e apprenant-e désirant se former à ces thèmes.
Cette séquence, intitulée "Sexisme ordinaire, harcèlement, violences faites aux femmes", est la sixième d'une série de sept.
Comme toute séquence, elle est découpée en plusieurs sous-thèmes. Un même scénario pédagogique est déployé par sous-thème : tout d'abord quelques minutes de sensibilisation utilisant le plus souvent une vidéo, puis un quiz en quelques questions permettant à l'apprenant-e de situer ses connaissances, enfin, quelques points de cours apportant des réponses aux questions soulevées par la vidéo et le quiz. A la fin de la séquence, après un récapitulatif en 10 points, une auto-évaluation finale est proposée.
Sauf indication contraire, toutes les données concernent la France, les données chiffrées résultant de nombreux travaux scientifiques en sociologie de l'éducation et sociologie du genre.
un podcast en flash.