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2 résultats pour votre recherche 'effet Hopper'
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Relations culturelles internationales, acculturati...
Ecole normale supérieure

Communication de Pascal Ory (Université Panthéon Sorbonne - Paris 1) dans le cadre du colloque "Vous avez dit Hopper ?", organisé par le Musée d'Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l'École normale supérieure le 14 mai 2004 et placé sous la responsabilité de Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glassman (TFA, MAAG). "L'histoire de l’art serait incompréhensible sans la prise en compte de la dimension internationale : beaucoup d'artiste à titre individuel, beaucoup de groupes d'artistes, de mouvements, d'écoles ne peuvent s'interpréter qu'en relation avec une influence, ou contre-influence, d'essence étrangère. Modélisation, hégémonie, référence, ... : il ne s'agit jamais, au fond, que de la version exotique de la maîtrise. Dans le cas d'Edward Hopper le séjour en France, implicitement et explicitement, nous dit beaucoup sur, d'une part, l'attractivité de la France (ou faut-il dire de Paris ?) au début du XXe siècle et, tout particulièrement, la place que se désigne l'art américain à ses côtés, et, de l’autre, la manière, un peu compliquée, par laquelle Hopper a réglé son rapport avec elle – c'est-à-dire, comme toujours en pareil cas, avec soi."

Hopper, ce n'est pas l'Amérique - Colloque "Vous a...
Ecole normale supérieure

Introduction par le président de séance Jean Kempf (université Lumière - Lyon II) du colloque "Vous avez dit Hopper ?", organisé par le Musée d'Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l'École normale supérieure le 14 mai 2004 et placé sous la responsabilité de Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glassman (TFA, MAAG). "Ce colloque sur l'effet Hopper pose la question de la circulation et de la superposition d'images dans des domaines artistiques différents qui caractérisent l'art d'aujourd'hui. Ce phénomène mérite aussi une analyse de l'image en tant que dépositaire d'une mémoire collective dans laquelle s'infiltrent des contenus identitaires et nationalistes. Les lieux et les personnages peints par Hopper sont devenus des icônes de la vie américaine, bien qu'ils relèvent d'un vocabulaire très personnel. Questionner le pourquoi de la projection d'américanité sur son œuvre permet de mieux comprendre certaines relations entretenues par le public français envers une Amérique imaginaire."