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Les feux de forêts (Les enjeux territoriaux de la ...
Ce cours a pour objet de mettre en relief les conséquences de la fréquentation touristique sur un territoire déjà fortement soumis au risque feu de forêt. Il décrit et analyse les processus qui mènent à l’augmentation de ce risque, en s’arrêtant sur ses deux volets : l’aléa et la vulnérabilité. L’attractivité touristique du littoral méditerranéen a deux effets majeurs qui, à la fois, marquent le territoire et le rendent plus sensible aux incendies de forêt. Le premier effet est la demande en logements individuels (dédiés aux résidences secondaires), qui sur territoire saturé, conduit à la fragmentation et à la pénétration du front urbain au sein des espaces naturels. Cette attractivité implique aussi une très haute fréquentation des campings, souvent situés aux marges des espaces boisés. Lors des périodes estivales, de nombreux facteurs sont donc réunis sur un même territoire pour qu’un feu de forêt se déclenche. En guise d’illustration, deux incendies graves sont présentés. Ils ont été sélectionnés pour leur représentativité : tous deux sont nés à l’interface entre le front urbain et la forêt, lieu qui semble être un des plus fragiles face à ce risque.
L'industrie en en France : Des pompes à feu à la m...
Histoire et technique de la pompe à feu jusqu'à la machine à vapeur de Watt
Le suicide
Conférence publique sur le suicide et ses raisons, revenant sur grand nombre d'idées reçues. Le mot suicide a été introduit par un prêtre au 18ème siècle pour contrebalancer un mot trop fort homicide. La mortalité en France a baissé de 40% sauf le suicide qui n'a baissé que de 20%. 3 suicidés sur 4 sont des hommes plutôt âgés en milieu rural qui utilisent des méthodes très violentes comme la pendaison et l'arme à feu. Le suicide chez le sujet jeune est aussi un souci de santé publique. 20 % des accidents de la route sont en fait des suicides non reconnus. Le portrait robot du suicidant en revanche est féminin, vit en milieu urbain et est âgé de moins de 40 ans. La méthode utilisée est essentiellement l'intoxication par psychotropes. En situation de survie, le suicide est rare.
Le nouveau visage de la guerre - Comment combat l'...
"Comment combat l'armée française en 1918 ?" est un focus proposé par François Cochet, Professeur émérite en Histoire contemporaine, sur la manière dont l’armée française, forte d’une expérience de quatre années de combat, se spécialise, se bat sur le front du saillant de Saint-Mihiel et lors de l’offensive Meuse-Argonne. À l’expérience du combat acquise durant les premières années de guerre du premier conflit, s’ajoute une évolution des armes et des moyens techniques dans les armées françaises, allemandes et américaines. Alors que les capacités de feu surpassent prodigieusement celles de 1914, la nécessité de préserver les hommes s’affirme comme une exigence importante. Le combat tactique évolue. Chaque armée tente à sa façon de s’adapter à la transformation de la bataille, grâce à la formation et à l’équipement spécifique des soldats ainsi qu’à la rigueur des préparatifs.
Le nouveau visage de la guerre - Comment combat l'...
"Comment combat l'armée américaine en 1918 ?" proposé par Michaël Bourlet, Commandant détaché dans l’Education Nationale nous permet de comprendre comment l’armée américaine, équipée par les armées alliées, novice dans ce type de « guerre des tranchées », parvient à reprendre le saillant de Saint-Mihiel et affronte l’ennemi lors de l’offensive Meuse-Argonne. À l’expérience du combat acquise durant les premières années de guerre du premier conflit, s’ajoute une évolution des armes et des moyens techniques dans les armées françaises, allemandes et américaines. Alors que les capacités de feu surpassent prodigieusement celles de 1914, la nécessité de préserver les hommes s’affirme comme une exigence importante. Le combat tactique évolue. Chaque armée tente à sa façon de s’adapter à la transformation de la bataille, grâce à la formation et à l’équipement spécifique des soldats ainsi qu’à la rigueur des préparatifs.
Le nouveau visage de la guerre - Comment combat l'...
"Comment combat l'armée allemande en 1918 ?" est le point de vue allemand proposé par Nicolas Czubak, historien et membre du service éducatif du Mémorial de Verdun, sur la manière de mener la bataille du saillant de Saint-Mihiel et l’offensive Meuse-Argonne. À l’expérience du combat acquise durant les premières années de guerre du premier conflit, s’ajoute une évolution des armes et des moyens techniques dans les armées françaises, allemandes et américaines. Alors que les capacités de feu surpassent prodigieusement celles de 1914, la nécessité de préserver les hommes s’affirme comme une exigence importante. Le combat tactique évolue. Chaque armée tente à sa façon de s’adapter à la transformation de la bataille, grâce à la formation et à l’équipement spécifique des soldats ainsi qu’à la rigueur des préparatifs.
Le nouveau visage de la guerre - Combattre fin 191...
François Cochet, Professeur émérite en Histoire contemporaine, nous explique en quoi cette bataille se joue selon des modes de combat profondément modernisés par rapport aux techniques employées au début de la Grande guerre. À l’expérience du combat acquise durant les premières années de guerre du premier conflit, s’ajoute une évolution des armes et des moyens techniques dans les armées françaises, allemandes et américaines. Alors que les capacités de feu surpassent prodigieusement celles de 1914, la nécessité de préserver les hommes s’affirme comme une exigence importante. Le combat tactique évolue. Chaque armée tente à sa façon de s’adapter à la transformation de la bataille, grâce à la formation et à l’équipement spécifique des soldats ainsi qu’à la rigueur des préparatifs.
Gestion des estives et pastoralisme dans les Pyrén...
Il s'agit d'une vidéo de 35 minutes tournée dans les Hautes-Pyrénées sur la gestion des estives et le pastoralisme dans les Pyrénées.
Cette vidéo se divise en 4 parties :
- 1. Les origines du pastoralisme
- 2. L'écobuage ou le feu du berger
- 3. La transhumance
- 4. Rôle et enjeux des estives
Résumé :
Le paysage des Pyrénées que nous connaissons aujourd'hui est le produit d’une lente construction des terroirs agro-pastoraux qui a commencé dès le Néolithique, voici plus de 6 000 ans. Les études paléo-écologiques, archéologiques et historiques permettent les grandes phases de cette histore ; elles montrent de grandes phases de défrichement par le feu et d’expansion des cultures et pâturages à l’âge du Bronze (vers 1000 av. J.C.), durant l’Antiquité et finalement au Moyen Âge, quand l’essentiel de l’espace agro-pastoral est alors établi. Aux XVIIIème-XIXème siècle, la population est maximale, l’espace intensément exploité, le paysage des vallées est celui de « l’apogée des terroirs ». Mais à partir de la fin du XIXème siècle commence une crise profonde de l’économie et de la société montagnarde, qui va entraîner exode rural, dépopulation des vallées, abandon des terres et enfrichement. En à peine un siècle, une grande partie de l’espace agraire construit depuis des siècles, voire des millénaires, va retourner à la forêt. Cette évolution qui se produit sous nos yeux est inédite, par son ampleur et ses formes, à l’échelle de la longue durée historique. Aujourd’hui, les éleveurs montagnards s’efforcent de maintenir, souvent à grand peine, les pâturages nécessaires à leur activité.
Le nouveau visage de la guerre
À l’expérience du combat acquise durant les premières années de guerre du premier conflit, s’ajoute une évolution des armes et des moyens techniques dans les armées françaises, allemandes et américaines. Alors que les capacités de feu surpassent prodigieusement celles de 1914, la nécessité de préserver les hommes s’affirme comme une exigence importante. Le combat tactique évolue. Chaque armée tente à sa façon de s’adapter à la transformation de la bataille, grâce à la formation et à l’équipement spécifique des soldats ainsi qu’à la rigueur des préparatifs. Ces ressources en histoire contemporaine ont été produites pour l'exposition temporaire "Le nouveau visage de la guerre" proposée au public du Mémorial de Verdun - Champ de bataille, du 4 juillet au 21 décembre 2018. Elle a permis à ce public de découvrir les manières de combattre adoptées par les belligérants à la fin du conflit dans les combats de Saint-Mihiel et de Meuse-Argonne. Les vidéos ont été réalisées avec François Cochet (Professeur des Universités en Histoire Contemporaine), Nicolas Czubak (Enseignant d'Histoire-Géographie, membre du service éducatif du Mémorial de Verdun) et Michaël Bourlet (Ancien officier, docteur en histoire et professeur agrégé). "Le nouveau visage de la guerre - Combattre fin 1918 : l'expérience américaine en Meuse" à reçu le Prix du meilleur film pédagogique 2018 au Festival du Film ANSTIA, Association Nationale des Services TICE et Audiovisuels de l’enseignement supérieur et de la recherche.