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Descartes et la médecine
En quel sens la médecine est-elle une des plus hautes branches de l’arbre philosophique chez Descartes? Pour le comprendre, il faut l’envisager dans sa double dimension théorique et pratique.
Catholicisme et médecine au XIXe siècle. Conflits,...
Forgée à une époque durant laquelle les médecins n'étaient guère assurés de leur position centrale dans la société, l'idée d'une opposition entre médecine et religion est restée forte au sein de la représentation progressiste d'une science vouée à réduire ce qui été consolidée par la mise en avant de figures de savants investis dans l'effort de construction de la République Hygiéniste, par le récit de la laïcisation des institutions hospitalières, et par la mise en avant d'indices de désacralisation de l'acte de soigner. La médicalisation se développant en symbiose avec la laïcisation, tel est le schéma qui paraît surgir des discours dominants de la fin du XIXe siècle. Cependant, depuis plusieurs années les travaux des historiens, particulièrement ceux qui concernent le catholicisme français, montrent que médecine et religion se sont certes trouvées en situation d'affrontement, mais aussi d'association.
La médecine légale et ses nouveaux enjeux
Conférence de Marie-Annick Le Gueut, professeur de médecine légale, Université de Rennes 1, le 18 Décembre 2006. Le cours public reprend quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?
Bourgery & Jacob – Anatomistes et dissection
Chapitre 8 – Les anatomistes et la dissection
Dans ce chapitre, vous découvrirez :
– un article du Pierre Sprumont, Professeur d’anatomie.
Ce chapitre est consacré à la question de la dissection du point de vue desmédecins. Le Professeur Pierre Sprumont, aborde la place de la dissection dans la formation des médecins, les dimensions historiques, éthiques et philosophiques concernant le recours au corps, les enjeux et les protocoles du don de corps aux fins de recherches scientifiques.
Descartes et la morale
La morale désigne chez Descartes une des trois plus hautes branches de l’arbre de la philosophie. Pourtant, Descartes n’en a pas produit d’étude systématique. Comment rendre raison de cette ambiguïté?
Enjeux éthiques et anthropologiques des cellules s...
Conférence donnée par Anne Fagot-Largeault, Professeure au Collège de France le 15 mai 2006 à l'Université Pierre-Mendès-France, Grenoble2. Durée : 1h.44min.
Soin et sport intensif. Impact du décalage des nor...
Marginalisés et assujettis à des normes strictes de dépassement de soi et de performance, les sportifs sont soumis à des règles de vie et à des entraînements intensifs éprouvants. Mais quels rapports entretiennent-ils avec la douleur et la souffrance ? Faut-il souffrir pour être performant ?
Les témoignages qu'apportent David Douillet et Serge Simon sont unanimes: de par ses valeurs et son idéologie, le milieu sportif intègre et banalise les sensations de douleur et de blessure. A force d'efforts et d'entraînements, la douleur devient même un indicateur de progrès : avoir mal, souffrir fait partie du contrat. Résistants à la douleur, les sportifs de haut niveau en deviennent des surhommes surprotégés car ils ont le devoir d'user de leurs corps sans jamais l'user.
Mais la banalisation de la souffrance rend difficile le repérage et la reconnaissance des pathologies psychologiques et physiques. Reconnues comme normales malgré le cadre légal, certaines blessures échappent à la prise en charge sanitaire alors que ce qui est d'urgence sanitaire chez le non-sportif l'est tout autant chez le sportif de haut niveau. Mais peut-on remettre en cause un système qui fonctionne ?
2ème journées de Psychopathologie du sport
- 5 et 6 juin 2008 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2
* Le soin dans cet univers « hors normes ». L'impact du décalage des normes sur le dispositif sanitaire
La « bulle sportive ». Les micros sociétés, l'élit...
Fondée sur une idéologie structurante et protectrice forte, l'institution sportive a des effets régulateurs sur le comportement des sportifs qu'elle mobilise vers un idéal. Le sentiment d'appartenance à une communauté et d'engagement vers un objectif défini sont des valeurs qui offrent un cadre rassurant et stimulant. Mais à vouloir surprotéger, à vouloir trop donner, ne risque t-on pas de marginaliser et d'uniformiser le milieu sportif car nous le constatons déjà l'idéologie sportive a ses contreparties et ses ambivalences. Elle génère des angoisses sur la valeur : suis-je apte à atteindre cet idéal sportif ?, elle suggère une uniformisation des comportements et freine les échanges verbaux car la priorité c'est la performance. Tenus écartés des réalités du monde ordinaire et assujettis à des codes de comportement uniformes, les sportifs, en formation ou déjà confirmés, peuvent par la suite avoir du mal à trouver leurs repères à l'extérieur. L'idéologie sportive est donc, au même titre que le dopage ou l'isolement géographique, un facteur déterminant de la marginalisation des sportifs, elle est partie composante de la « bulle sportive ».
2ème journées de Psychopathologie du sport
- 5 et 6 juin 2008 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2
Sport intensif: douleur et performance
Marginalisés et assujettis à des normes strictes de dépassement de soi et de performance, les sportifs sont soumis à des règles de vie et à des entraînements intensifs éprouvants. Mais quels rapports entretiennent-ils avec la douleur et la souffrance ? Faut-il souffrir pour être performant ?
Les témoignages qu'apportent David Douillet et Serge Simon sont unanimes: de par ses valeurs et son idéologie, le milieu sportif intègre et banalise les sensations de douleur et de blessure. A force d'efforts et d'entraînements, la douleur devient même un indicateur de progrès : avoir mal, souffrir fait partie du contrat. Résistants à la douleur, les sportifs de haut niveau en deviennent des surhommes surprotégés car ils ont le devoir d'user de leurs corps sans jamais l'user.
Mais la banalisation de la souffrance rend difficile le repérage et la reconnaissance des pathologies psychologiques et physiques. Reconnues comme normales malgré le cadre légal, certaines blessures échappent à la prise en charge sanitaire alors que ce qui est d'urgence sanitaire chez le non-sportif l'est tout autant chez le sportif de haut niveau. Mais peut-on remettre en cause un système qui fonctionne ?
2ème journées de Psychopathologie du sport
- 5 et 6 juin 2008 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2 * Le soin dans cet univers « hors normes ».