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7 résultats pour votre recherche 'orthodoxie'
Tri décroissant par
Le mariage de Nicolas
Université de Lorraine

Un portrait de René-Nicolas Ehni sous forme de film documentaire, à l'occasion du mariage de l'écrivain sundgauvien (La Gloire du Vaurien, Le Voyage en Belgique...) à Plaka en Crète, là où il s'est établi à demeure. Un temps fort et festif de dix jours qui est à la fois un mariage de transfuge culturel, un mariage dans la plus pure tradition orthodoxe, rehaussé par la participation du "chantre sublime" Kostas, un mariage crétois auquel participent tous les gens du village, un mariage dans une île grecque où règnent la force des lieux et le souvenir des dieux. Un mariage enfin, commenté par le marié lui-même, conteur intarissable.

Les conditions de l'intégration scolaire de la gym...
Université de Franche-Comté

L'histoire de l'EP française s'est assez peu préoccupée des évènements antérieurs à l'intégration scolaire de la gymnastique en janvier 1880 à l'exception de quelques travaux sur les grandes modifications épistémiques des corps et des savoirs et sur les grands acteurs. On s'accorde à dire que la gymnastique a répondu à la fameuse « orthodoxie scolaire » (Arnaud) sans penser que la discipline scolaire résulte d'évolutions corporelles intéressant tout le champ sociétal. Cette grande leçon envisage donc de prendre le contrepied des options habituellement retenues. Autrement dit, la formation des corps, conduisant à l'élaboration d'une gymnastique particulière, n'a-t-elle pas été à l'origine de l'orthodoxie scolaire en raison des relations étroites tissées entre Ecole, société civile et domaine politique ? De nombreux facteurs jouant sur la transformation des corps ont préparé l'avènement de la gymnastique scolaire. Bref, avant les propositions de Gréard (1867-1868), l'orthodoxie scolaire de la gymnastique a une histoire qu'il convient de raconter.

Plan :

Introduction

I. Les débuts de la gymnastique de formation en France

II. Les débuts d'une prise en compte d'une gymnastique scolaire par l'Etat

III. Premières obligations scolaires de la gymnastique

Conclusion

Le prophète en son pays
Université de Lorraine

Trois jours en Alsace avec René-Nicolas Ehni, écrivain et dramaturge, s'apprêtant à quitter sa région natale. La gloire du vaurien, son premier roman, le fit vivre à Paris. Après son retour en Alsace, ses pérégrinations balkaniques le menèrent en Grèce. Optant pour Byzance, il se convertit à l'orthodoxie et décide de vivre en Crète. Trois jours à la découverte de ce personnage et des thèmes qui lui tiennent à c½ur, à la fois écrits, pensés, sentis et perçus.

Sacerdoce et mariage : l'exemple des femmes de prê...
Le Mans Université

Dans la religion chrétienne, la relation entre sacerdoce et mariage est très diverse. Il est à noter que "le célibat des prêtres n'est pas un dogme dans l'Eglise" mais une règle de discipline. Dans l'Eglise catholique romaine par exemple, seuls des hommes célibataires peuvent être ordonnés prêtres. Les Eglises catholiques orientales ordonnent des hommes mariés, au Liban en particulier. Les prêtres peuvent se marier également dans les Eglises orthodoxes, l'Eglise anglicane et les autres Eglises protestantes. 

La femme qui accepte d'épouser un serviteur de Dieu ne sera pas seulement l'épouse de son mari, mais la femme du prêtre. Ce fait aura une grande répercussion dans sa vie et dans son foyer. 

Évolution du confucianisme coréen
Ecole normale supérieure de Lyon

Cette présentation souhaite remonter à la période antique coréenne pour mieux saisir comment se sont faites la naissance et l'évolution des idées confucéennes au cours de l'histoire.

On observera d'abord la période pré-philosophique puis le temps des Trois Royaumes lorsque le confucianisme était dans une relation ouverte avec le bouddhisme et le taoïsme. On prendra en considération l'évolution des idées sous la période de Koryô avant que ne se fasse au 13e siècle l'introduction du néo-confucianisme qui fleurit durant la dynastie Yi fondée en 1392. Sur cette base on présentera les grandes figures néo-confucéennes coréennes jusqu'à la formation du courant des Lumières appellé sirhak, c'est-à-dire l'étude du réel qui débuta à partir de la fin du 17e siècle.

La Corée est habituellement présentée comme un pays qui a été presque uniquement imprégné d'un néo-confucianisme orthodoxe de l'école de Zhu Xi (Chu Hsi 1130-1200). Cependant elle est moins connue pour sa créativité de pensée qui n'en est pas moins réelle. La Corée n'a introduit les caractères chinois, et avec eux la culture philosophique, que dans les premiers siècles de l'ère chrétienne. Ainsi les Coréens ont-ils été confrontés à la tâche redoutable d'assimiler des idées et une sagesse qui s'étaient développées pendant presque mille ans.

L'« islam politique » et la violence dans le monde...
Le Mans Université

Dans la plupart des pays majoritairement musulmans, l'islam est proclamé « religion d'Etat » et la sharî‘a source principale voire exclusive de toute législation. L' « islam politique » se définit lui-même comme un projet d'instauration d'un gouvernement se fondant sur le Coran, le Hadîth et des valeurs associées qui sont promues comme normes suprêmes, ainsi que sur l'islamisation des codes, des pratiques et des discours dans l'espace public. L'« islamisme » n'est pas un mouvement monolithique, même si tous ceux qui s'y attachent se reconnaissent dans une vision binaire du monde, opposant le dâr al-islâm d'un côté et le dâr al-kufr de l'autre.

Il a pris trois formes distinctes, chacune porteuse d'un rapport au monde et de modes opératoires spécifiques :

- Les mouvements islamiques politiques (al-harakat al-islâmiyya al-siyâssiyya), représentés par l'association des Frères musulmans en Egypte, matrice d'autres organisations au Maghreb et au Moyen-Orient ayant pris des visages différents.

- Les mouvements islamiques missionnaires en vue de la conversion (al-da‘wa). Leur objectif primordial n'est pas le pouvoir politique, mais la défense et la promotion d'une orthopraxie, d'une orthodoxie, d'une identité, d'un ordre moral face à ce qu'ils appellent l' « incroyance » (kufr ou zandaqa).

- Les mouvements djihadistes (al-harakat al-jihâdiyya), qui appellent à la lutte armée contre l' « ennemi proche », à savoir les régimes se référant à l'islam mais considérés par eux comme « impies » (nuzumkuffâr), et à la lutte globale contre l' « ennemi lointain », c'est-à-dire prioritairement « l'Occident non-musulman », mais aussi les bouddhistes ou les hindous en Asie. Ils se réclament notamment de la pensée de l'Egyptien Sayyid Qutb

Le manuscrit du Pomorié (un livre, deux regards - ...
Ecole normale supérieure de Lyon

Entretien autour du "manuscrit de Pomorié" avec Anne Maître (Bibliothèque Diderot, Lyon), père René Marichal (Bibliothèque de Meudon – Lyon) et Catherine Volpilhac-Auger (ENS de Lyon et IUF).