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9 résultats pour votre recherche 'relativisme'
Tri décroissant par
Universalité et nécessité, les limites des Science...
Ecole normale supérieure de Lyon

Thémes abordés : La naissance des catégories vs leur universalisation. Le problème de Quine. Le « relativisme » est-il une bonne réponse à la relativité ?

Le relativisme : toute connaissance est-elle relat...
Université de Lorraine

Le relativisme : toute connaissance est-elle relative à un contexte ?


- Ça, c'est du relativisme !
- Définition et formalisation
- Qui est relativiste et pourquoi ?
- La notion de paradigme de T.S. Kuhn
- Les sociologues des sciences relativistes

Ça, c'est du relativisme ! (La philo en petits mor...
Université Nancy 2

Ce huitième épisode s'intéresse au relativisme.

Le relativisme : toute connaissance est-elle relative à un contexte ?

Ludique et pédagogique, ce court film d'animation sur la philosophie des sciences émane de la série La Philo En Petits Morceaux.

Approche globale de la maltraitance
Université de Bordeaux

La maltraitance sportive vue à travers le filtre de l'anthropologie, du droit et de la sociologie.

Trois regards avertis sur la « société sportive » et une même volonté de combattre les violences subies par les sportifs de haut niveau. Une cause juste qui bénéficie de l'appui des instances officielles et pénales et voit la multiplication des programmes de lutte, des campagnes de prévention et une clarification des lois. Il s'agit là d'un combat difficile car les victimes sont encore trop nombreuses à se taire au nom de la performance mais aussi au nom de valeurs, de codes dont la micro-société sportive est vectrice et qui, s'ils ne justifient pas l'inacceptable, légitiment certaines pratiques sportives. La frontière entre acceptable et inacceptable est très variable : ce qui est considéré comme une pratique admise en France ne le sera pas forcément dans un autre pays ; les critères de jugement évoluent selon les sociétés, les cultures, les traditions. Il faut donc traiter le problème de la maltraitance sportive avec un certain relativisme et replacer le comportement étudié dans son contexte culturel.

« Aucune société n'est parfaite. Toutes comportent une impureté incompatible avec les normes qu'elles proclament, et qui se traduit concrètement par une certaine dose d'injustice, d'insensibilité, de cruauté. Des sociétés qui nous paraissent féroces à certains égards savent être humaines et bienveillantes quand on les envisage sous un autre aspect. » Claude Lévi-Strauss, Tristes Tropiques

Sport Intensif et Maltraitance

3e journées de Psychopathologie du sport

4 et 5 juin 2009 CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2 * Approche globale de la maltraitance

3 questions clés de philosophie des sciences
Université de Lorraine

La philosophie des sciences et sa place dans la démarche scientifique :


Le développement des sciences et de leurs applications appelle une démarche réflexive qui est fondamentale dans toute formation universitaire. L'initiative proposée ici consiste à donner à des étudiants une première approche philosophique portant sur des sujets classiques et très généraux, et à leur donner l'idée, voire le goût d'une pensée de type épistémologique, applicable à leur discipline, et plus généralement à toute entreprise d'ordre scientifique.

Questions clés en philosophie des sciences
Université de Lorraine

Cette collection aborde la thématique de la philisophie des sciences et de sa place dans la démarche scientifique.

Elle se compose en 12 parties :

- La démarcation : Alors, scientifique ou pas ?

- La causalité

- Mathématiques et réalités

- Changements de paradigme

- Introduction à la logique

- L'âme, l'esprit et la matière

- Le principe de précaution

- Le relativisme

- Les expériences de pensée

- Expliquer ou comprendre

- La connaissance

- Machines et pensée

Le développement des sciences et de leurs applications appelle une démarche réflexive qui est fondamentale dans toute formation universitaire. L'initiative proposée ici consiste à donner à des étudiants une première approche philosophique portant sur des sujets classiques et très généraux, et à leur donner l'idée, voire le goût d'une pensée de type épistémologique, applicable à leur discipline, et plus généralement à toute entreprise d'ordre scientifique.

Le choix des sujets traités vise à couvrir un éventail large de problématiques disciplinaires (en sciences de la nature et sciences humaines) et transdisciplinaires (dans l'examen de notions comme la démarcation, la causalité, etc.). On illustrera ainsi une réflexion philosophique conçue non pas comme « sui generis », mais liée à des pratiques et des théories existantes.

Les expériences de pensée : science et imagination...
Université de Lorraine

Les expériences de pensée : science et imagination


- Un peu d'imaginascience !
- Qu'est-ce qu'une expérience de pensée ?
- Le fictionnalisme

Le principe de précaution (3 questions clés de phi...
Université de Lorraine

Principe de précaution :
- Le principe de précaution et l'exemple des OGM
- Les acteurs et le contexte du principe de précaution
- Les différents visages du risque
- Science et citoyenneté

Le Multiculturalisme canadien
Université Côte d'Azur

La notion de multiculturalisme en tant qu'idéologie :

Pourquoi considérer le concept de multiculturalisme comme étant une idéologie ? Qu’entendons-nous par idéologie ? Le sens que nous attribuerons ici à cette notion, est relativement simple : il s’agit d’un système d’idée qui façonne et/ou constitue une grille particulière d’interprétation du monde. Ainsi, nous pouvons définir le multiculturalisme en tant que courant de pensée, qui prend son essor dans la fin des années ‘70, soit dans un contexte historique où de nombreux Etats-nations se mirent à adopter une nouvelle gestion des mouvements migratoires, à la suite des chocs pétroliers et des premières crises économiques successives. En tant que courant de pensée, le multiculturalisme ne signale pas simplement que les sociétés sont composées d’individus aux appartenances et aux identités culturelles différentes. C’est un fait historique de n’importe quelle société, ce constat est mis en avant périodiquement, selon comment les pouvoirs publics et les médias s’y intéressent. Le multiculturalisme va au-delà de ce constat, « il prône » la valorisation des identités, leur reconnaissance à l’intérieur des Etats. Dans une optique relativiste, le concept de multiculturalisme, met l’ensemble des cultures au même niveau, sans aucune relation de domination à l’intérieur même d’un pays.

Au niveau empirique, le multiculturalisme devient un fait social dès lors que des groupes s’identifient à des identités autres que celle du pays dans lequel ils résident, et qu’ils revendiquent un statut juridique et social équivalent aux membres de la culture dîtes dominante. Il s’agit d’une revendication sociale qui s’inscrit dans une lutte pour la reconnaissance. Nous pouvons prendre l’exemple des autochtones au Canada, qui se battent pour préserver leur statut social. Ce mouvement, a pour origine l’intériorisation par les membres des groupes aux identités particulières, du regard que la société porte sur eux. C’est aussi parce que la société identifie les individus par rapport à une identité donnée, que ces derniers s’identifient à leur tour à cette identité. Il ne nous faut pas oublier, que les individus se construisent socialement au travers du regard d’autrui, ce qui détermine dans leur évolution leur prise de position ou leur choix d’action sociale. C’est en ne reconnaissant pas les autochtones comme étant canadiens, que ces derniers vont renforcer leur identification à leur histoire, à leurs traditions, à leurs langues…

Concernant l’application des idéaux multiculturalistes et des réponses institutionnelles aux revendications des différents groupes sociaux, les Etats tentent de trouver un juste équilibre entre leurs intérêts et la demande sociale afin d’assurer l’unité des pays et leur cohésion sociale respectives. L’Etat fédéral canadien est actuellement le plus abouti concernant l’application d’une politique multiculturelle. En effet, il a su s’organiser pour gérer son immigration tout en prenant des mesures institutionnelles qui permettent aux nouveaux arrivants de ne pas se sentir exclus en facilitant leur insertion professionnelle, en mettant en place des structures dans lesquelles ils peuvent demander des renseignements pratiques... de cette manière les différentes identités sont reconnues et acceptées. La coexistence entre les différentes communautés est ainsi assurée. De plus, les autorités encouragent la participation à la vie sociale des résidents permanents c'est-à-dire des personnes qui ne sont pas originaires du Canada.

L’enjeu politique du multiculturalisme est de créer de l’unité, un héritage commun à tous les individus qui composent la nation canadienne.