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15 résultats pour votre recherche 'ressource naturelle'
Tri décroissant par
Mieux gérer les ressources naturelles
Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique / Interstices URL: http://www.inria.fr
L’exploitation raisonnée des matières premières et des sources d’énergie implique d’en évaluer les stocks et d’en étudier les interactions avec le milieu environnant.
Genèse des paysages lorrains
Université de Lorraine

Cette deuxième partie s'articule autour de six thématiques :

- Une extraordinaire richesse d'espaces naturels ;

- Une terre longuement façonnée par les hommes ;

- Une province stratégique profondément marquée par l'histoire des conflits ;

- Une région riche en ressources ;

- Les paysages urbains ;

- Évolution récente des paysages.

L'Andorre
Université de Perpignan - Via Domitia

Présentation de la principauté d’Andorre au travers de son évolution politique, économique, démographique et culturelle.

Sciences et religions à l'époque contemporaine XIX...
Le Mans Université

La relation entre science et religion est un thème d’étude controversé. Parmi les enjeux historiographiques figurent la caractérisation de ce qui s’est passé dans l’Europe du XVIIe siècle et la place de l’héritage religieux, juif, chrétien et musulman. Le contenu du module d’histoire HEMED se place en aval de cette période, en distinguant trois volets le premier consiste à montrer comment les « sciences humaines et naturelles » ont acquis une indépendance à l’égard du « savoir religieux » ; le deuxième est centré sur la variété des réactions des autorités religieuses face au progrès scientifique et technologique ; le troisième vise à rendre compte de débats contemporains autour des questions épistémologiques. La spécificité de l’approche consiste à ne pas séparer a priori l’histoire de milieux culturels trop souvent présentés comme des blocs fossilisés.

La notion de "'nordicité" au Canada
Université Côte d'Azur

Le concept du « Nord » est intrinsèque à l’identité canadienne – les hivers rudes, la forêt et les lacs à perte de vue, les animaux sauvages… - tous font parti de l’inconscient canadien, même si le citoyen typique habite souvent dans une grande ville pas loin de la frontière américaine au sud. Le réchauffement climatique perturbe l’équilibre écologique et provoque des dégâts particulièrement importants pour certaines espèces au Canada, tel que l’ours polaire, ou divers environnements, comme la toundra où la fonte du pergélisol transforme les flux d’énergie et de matières organiques qui régissent les équilibres. Certains citoyens regrettent même que les hivers « ne soient plus comme avant » : moins longs, moins froids, moins de neige…, malgré tous les avantages que ces changements peuvent représentés pour le citoyen ordinaire.

Différentes définitions de « nordicité » ont été avancées dans la littérature académique et Bone (XXX) en donne quelques unes dans son ouvrage « The Regional Geography of Canada ». Sur ce site, nous nous limiterons à trois zones :

1) Le « Sud » : cette région correspond aux grandes villes du Canada ainsi qu’aux terres agricoles qui se situent plutôt près de la frontière partagée avec les USA aux sud du pays. Pour certaines villes, comme Winnipeg, Ottawa, et Québec par exemples, le « Sud » demeure une région très froide en hiver avec des températures moyennes bien en-dessous de 0 et des cumuls de neige importants. Le Sud se caractérise surtout par sa concentration du pouvoir politique et économique : les décisions sont prises dans le Sud par des personnes élevées dans les grandes villes et elles sont répercutées sur l’ensemble du territoire.

2) Le « Moyen Nord » : partez de n’importe quelle ville canadienne et suivez la route principale vers le nord et progressivement vous verrez de moins en moins de maisons et de champs agricoles et de plus en plus de forêt. Au bout de la route, vous arriverez probablement à une petite ville minière ou de papeterie. Ces villes partagent plusieurs caractéristiques : elles dépendent essentiellement de l’extraction de ressources primaires pour leur survie et dont les emplois essentiellement d’un seul employeur, elles connaissent des économies de « boom & bust » avec des hauts et des bas, elles sont souvent peuplées de plus d’hommes que de femmes, les habitants y sont très attachés. Voir l’entretien avec Dan Laroque sur la ville de Cobalt – ville minière située au nord de l’Ontario qui fut la plus grande mine d’argent au monde au début du 20ième siècle.

3) Le « Grand Nord » : cette zone regroupe la totalité des territoires du nord ainsi que les extrémités nord des provinces à l’exception des provinces de l’Est. Traditionnellement, elle est habitée par les peuples autochtones et l’arrivée des blancs coïncide avec des « ruées vers l’or » ou d’autres ressources naturelles (pétrole, diamants…). Comme pour le Moyen Nord, l’économie dépend surtout de l’extraction de ressources naturelles dont la richesse bénéficie surtout aux entreprises du sud avec relativement peu de retombées pour les autochtones. Cette tendance est en évolution et progressivement, les conditions d’extraction des ressources naturelles est soumise à un dialogue avec les représentants autochtones.

Les régions du Canada
Université Côte d'Azur

Le visiteur européen au Canada est souvent étonné par l’homogénéité des paysages canadiens. Par endroit, il faut parcourir des milliers de kilomètres avant de percevoir un changement notable dans le paysage. La traversée du bouclier canadien en Ontario n’est qu’un exemple : heure après heure de forêts, lacs et rochers – de Toronto à Kenora, la traversée en voiture semble interminable. Et après une quinzaine d’heures du bouclier, le voyageur s’attaque ensuite à quelques jours de prairies… Le contraste est fort avec la France, où chaque région possède sa spécificité – les Landes, le Massif Central, la Méditerranée, Les Alpes, la Bretagne…

Avant de décrire les caractéristiques physiques et humaines des provinces et territoires, une brève présentation des superficies permettra de mieux appréhender les disparités régionales. Le Canada a une superficie totale de 9 984 670 km2, dont 9 093 507 km2 de terre et 891 163 km2 d’eau douce, ce qui le classe deuxième plus grand pays du monde après la Russie. La répartition des surfaces en terre et eau est montrée dans les figures ci-dessous : en km2 et en % des surfaces terrestres et en eau.

Le premier fait marquant est la faible superficie des provinces maritimes (Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Ecosse, et l’Ile du Prince Edouard). Ensemble, ces trois provinces cumulent moins de 1,5% du pays. Les implications de ces faibles superficies sont importantes, surtout en termes d’exploitations de ressources primaires : avec moins de surface, le potentiel pour cultiver le sol ou découvrir et exploiter des ressources minières et forestières reste limité.

Le Nunavut se distingue par sa très grande superficie, plus de 20% du pays. Cependant, les terres du Territoire de Nunavut sont dispersées sur de nombreuses îles et restent difficilement accessibles pour cette raison ainsi que pour sa position dans les très hautes latitudes. La province du Québec a la plus grande superficie terrestre provinciale et toutes les provinces à l’ouest du Québec ont des valeurs similaires. Enfin, l’extrême ouest du Canada (Colombie-Britannique, Alberta, le Yukon) représente des terres avec relativement peu d’eau douce par rapport aux autres provinces et territoires de tailles similaires.

Pour le Canada, l’unité administrative la plus simple à traiter est celle de la province ou territoire. Dans l’ensemble de ce site web, seules les régions physiographiques, ou naturelles, ne correspondent aux limites administratives des provinces et territoires. Certaines limites naturelles s’imposent comme une barrière naturelle – des lignes de crêtes, des cours d’eau, des îles – mais le plus souvent une unité physiographique est partagée par différentes provinces/territoires et une province ou un territoire peut contenir différentes unités physiographiques. Cette partie débutera par une description des unités physiographiques (géologie et relief, climat, végétation, sols) avant de s’adresser aux aspects « humains » : les richesses économiques des provinces et territoires ainsi que leurs caractéristiques démographiques. Enfin, cette première partie se terminera par un bref résumé de ce que nous appellerons la « nordicité » du Canada (d’après Bone, 2002) et un bilan global des régions du Canada.

Glossaire sur le thème des paysages
Université de Lorraine

En complément de la ressource, le glossaire facilite et consolide la mémorisation des notions et des fondamentaux en matière de lecture de paysages.

PIPC : Prononciation Interaction et Phonétique Cor...
Université Toulouse - Jean Jaurès

Il convient de distinguer deux parcours au sein de la ressource audio-visuelle PIPC : 

1. Le parcours SCP Sons communication et parole est « tous publics ». Il constitue une initiation à la Phonétique générale et descriptive du français. Les objectifs globaux sont :

- de définir ce que recouvrent les notions de communication, langage et parole           

- de distinguer les différentes composantes de la matière sonore du français- sons, rythme intonation, d’en montrer les caractéristiques et d’en décrire le fonctionnement dans la communication et l’interaction orales,           

- d’établir des comparaisons avec d’autres langues-cultures afin de mettre concrètement en évidence des différences perceptives et culturelles. 

 

2. Le parcours PEPF Pratiques de l’enseignement de la prononciation en fle est plus spécialisé en phonétique corrective du français langue étrangère et seconde (FLES). Il concerne plus particulièrement les étudiants, enseignants, formateurs, méthodologues et didacticiens du domaine. Et, plus largement, tout « professionnel » de langue vivante (L2), certains principes étant transposables pour toute L2.

Les objectifs globaux sont:

- de circonscrire les domaines d’intervention de la _phonétique à visée didactique_ (plus valorisant que « phonétique corrective », expression consacrée par l’usage)

- d’aborder des problèmes d’ordre pédagogique évacués par les manuels qui n’abordent que les aspects techniques, et de proposer des suggestions et des solutions;

- de présenter les différentes méthodes de correction phonétique en détaillant les procédures de remédiation qu’elles recommandent en les illustrant par de nombreux extraits vidéos;

- de s’interroger sur les questions d’accents, de norme, de « bonne » prononciation en les replaçant non dans l’aire de l’Hexagone mais dans l’espace francophone, ce qui bien plus réaliste. 

Des professeurs de fle souhaitant rafraichir leurs connaissances en Phonétique peuvent naturellement s’appuyer sur les documents mis à disposition dans le parcours SCP.

Regards sur le trio pour violon, cor et piano de G...
Université de Bourgogne - Dijon

Ce web-documentaire aborde une œuvre phare de la musique du XXe siècle. Il s’inscrit dans un projet de recherche sur l’interprétation de la musique de Ligeti mené par le GREAM (Groupe de Recherches Expérimentales sur l'Acte Musical). 

Il est  principalement destiné aux étudiants qui suivent des études de musicologie à l’université ou des études d’interprète dans un Pôle d’Enseignement Supérieur de la Musique ou un Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse.

Il a pour objectif d’éclairer le rapport entre la partition écrite, avec son langage spécifique et ses exigences techniques et expressives, et l’interprète qui doit transmettre l’œuvre au public avec sa propre sensibilité et sa compréhension de l’œuvre.          

Le web documentaire comporte deux parcours et des ressources documentaires :

- Le premier est constitué par la captation d’un concert-lecture filmé en mai 2014 au Consortium à Dijon. Pierre Michel, musicologue spécialiste de Ligeti, propose des éléments historiques et analytiques de l’œuvre et invite les musiciens de l’Ensemble intercontemporain à jouer des extraits. Des incrustations de partitions illustrent les propos de Pierre Michel et des liens permettent d’approfondir certains aspects de l’œuvre en visionnant des extraits de l’enregistrement synchronisés avec la partition.

- Le second, intitulé « Le Trio interprété », est l’œuvre interprétée dans son intégralité par Diego Tosi (violon), Jean-Christophe Vervoitte (cor), Dimitri Vassilakis (piano),  musiciens de l’Ensemble Intercontemporain. Un schéma formel permet à l’utilisateur du web-documentaire de se repérer dans le déroulement de chaque mouvement.

- Les ressources documentaires comportent :

  • neuf extraits de l’œuvre synchronisés avec la partition et agrémentés d’explications textuelles ou graphiques, 
  • des vidéos : Ligeti et Brahms, Ligeti et l'avant garde, Ligeti et l'émotion, Le cor naturel,
  • un extrait d’une émission radiophonique où Ligeti parle de son œuvre,
  • des esquisses des 1er et 2e mouvements du Trio commentés par Pierre Michel.