Estampillage UOH
  • Estampillage UOH (1)

Discipline
  • Sciences de l'homme (2)
    • Psychologie (1)
      • Psychologie sociale (1)
    • Sciences du langage (1)
      • Sociolinguistique (1)
  • Sciences de la société (2)
    • Sociologie, Démographie, Anthropologie (2)
      • Sociologie des processus sociaux (1)
      • Théories sociologiques, ethnologiques, anthropologiques et méthodologie (1)

Niveau
  • Autres (1)
  • Doctorat (1)
  • Enseignement supérieur (3)
  • Formation continue (1)
  • L2 (1)
  • L3 (2)
  • Licence (3)
  • Master (1)

  • Conférence, table ronde et entretien (type UOH) (1)
  • Essentiel (type UOH) (1)
  • Grande Leçon (type UOH) (1)
  • Webographie, bibliographie (1)
3 résultats pour votre recherche 'sociologie de l\'innovation'
Tri décroissant par
L'innovation : élément pour une rencontre de la So...
Université de Lorraine

L'approche de l'innovation proposée ici s'écarte des versions couramment présentées en sciences de gestion qui ont en commun d'être centrées sur des secteurs (les produits ou les services innovants) et d'être séquentielles (de la conception à la diffusion, une série d'étapes conçues comme irréversibles).

On considère ici l'innovation comme un processus de traduction, dans lequel le passage de chacun des quatre grands moments (problématisation, intéressement, enrôlement et mobilisation) à l'autre est une opération complexe qui n'a rien d'irréversible et dans laquelle les objets sont un point de passage obligé.

Au cours de la discussion qui sert de base à ce module, on cherche à décentrer un peu l'attention de l'examen de situations industrielles pour s'intéresser notamment aux innovations sociales et culturelles. Enfin, on s'efforce également de mettre en relation la notion d'innovation avec d'autres notions voisines ou complémentaires (comme la notion d'objet-frontière) et de rapporter la sociologie de l'innovation à la question centrale de l'expertise.

Dans l'espace du soupçon : terrorisme et société
Université Haute Bretagne - Rennes 2

Lundi 11 décembre 2006 Conférence de Dominique Linhardt, sociologue, Ecole nationale supérieure des mines de Paris, Centre de sociologie de l'innovation. Toutes les aires culturelles sont concernées par la problématique de la violence, interne ou importée, externe, proche ou lointaine. Le haut niveau de développement de moyens de communication et de diffusion des informations contraint chacun à un spectacle permanent. Des séquences d'affrontement en scènes de harcèlement, ces violences permanentes et persistantes, lues, vues, vécues... se perçoivent en terme d'insécurité, que l'on occulte en les banalisant ou au contraire que l'on cherche à éradiquer en leur donnant une ampleur démonstrative jamais atteinte. Qu'elles soient organisées ou impromptues, classiques ou plus contemporaines, chacun se trouve dans l'obligation de prendre position sur leurs origines et sur les réductions dont elles font l'objet. Quand la criminologie s'invente au XIX ème siècle, elle participe d'un courant de pensées fortement marqué par de théories médicales, biologiques et sociologiques incluant la santé mentale et le désordre public dans une police et une criminalistique qui se cherchaient. Aujourd'hui avec quoi, avec qui se construit-elle et où sont les résistances à sa construction ? Pourquoi la criminologie devrait-elle devenir au XXI ème siècle, en Sciences Humaines et Sociales, un bien aussi commun que la Psychiatrie l'a été au XX ème siècle ? En d'autres termes, comment et avec quelles déterminations participons-nous à l'écriture du crime aujourd'hui ? Quelles perspectives en avons-nous, avec quelles rétrospectives? Le cours public organisé cette année va tenter de reprendre quelques questions du quotidien criminologique en se centrant tantôt sur ceux qui l'écrivent, en rendent compte, tantôt encore sur ceux qui en cherchent l'élucidation, tantôt sur ceux qui tentent d'une autre manière de conjuguer justice et équité. Psychologues, Sociologues, Juristes, Médecins, Historiens, Journalistes vont contribuer à mettre en scène ces interrogations d'hier et d'aujourd'hui. Avec un même objectif d'analyse : comment est mis en mots, et avec quels mots, ce qui paraît échapper à la raison ? Comment faire entrer dans un discours rationnel ce qui peut ne sembler qu'errements, transgressions, dans une pensée qui s'absenterait ou qui, au contraire, paraît jubiler à écrire le mal et le malaise ?

Arts de dire et formes de contrôle en situations d...
Université de Lorraine

« L'écologie linguistique en milieu éducatif : l'exemple luxembourgeois » est la deuxième partie de la Grande Leçon Arts de dire et formes de contrôle en situations de plurilinguisme. L’intervention de Sabine Ehrhart et de Sarah Vasco Correia aborde l’école au Luxembourg comme une institution multilingue où, grâce à une population scolaire très hétérogène, une multitude de plurilinguismes individuels évoluent. Leur démarche écolinguistique vise une prise en compte des répertoires linguistique des élèves dans leur totalité et dans un mouvement au travers des différents contextes de communication et de socialisation dans l’objectif de créer un lien explicite entre les pratiques au sein de l’école et de la famille. Dans leur présentation, elles rapprochent l’analyse de l’interaction à l’école plurilingue de l’étude des langues de contact. Les créoles, pidgins ou jargons représentent des stratégies naturelles qui ont réussi à créer des ponts entre des cultures différentes. Leur exemple de politique linguistique conjointe exercée entre membres de communautés distinctes enrichit le débat sur l’innovation de la place des langues à l’école aujourd’hui, et ceci dans l’optique d’une plus grande cohésion sociale.