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A l'épreuve des inégalités culturelles
Les inégalités sociales sont un objet récurrent pour les sociologues. Les champs d'études les plus divers de la sociologie (le travail, l'éducation, la santé, la culture, etc.) y sont confrontés. Nous vous proposons de voir de quelle manière, à partir de sa démarche de recherche, Jean-Marc Leveratto tente d'analyser, de qualifier, de mesurer les inégalités culturelles.
Anthropos et émotion (Colloque : Comment peut-on ê...
Socio-anthopologie / Anthropo-sociologie ? Empathie, Epistémêsis, décloisonnement et incertitude (Florent Gaudez)
Sciences "sans qualité" ? Sortir des canons de la recherche est-il toujours possible... (Martine Lani-Bayle)
Les émotions en tant que processus anthropo-sociaux (Sergio Manghi)
Pour une métamorphose des métaphores. Vers une socio-anthropologie poétique à l'ère de l'anthropocène (Jean-Claude Besson-Girard)
Modérateur : Jean-Olivier Majastre
Rapporteur : Stéphane Alvarez
La mort comme fondation des sociétés humaines
Les attitudes fondamentales des hommes et des cultures à l'égard de la mort se modifient dans l'histoire. Source de grands mythes et de croyances (immortalité, résurrection...) à l'époque pré-moderne, la mort perd, avec la rationalité et l'individualisme, tout fondement réel. L'homme la nie et la rejette devenant se faisant un individu a-mortel. Cette crise contemporaine de la mort qui s'intensifie avec les guerres mondiales du XX° siècle, guerres de sacrifice et guerres-massacre, est une cause du mal être de notre société : la mort est devenue inhumaine.
Comment peut-on être socio-anthropologue aujourd'h...
Ce thème de « la posture socio-anthropologique » (interdisciplinarité, transversalité et décloisonnement des sciences humaines) se situe dans le cadre d'un cycle de colloques de socio-anthropologie : "Comment peut-on être Socio-Anthropologue aujourd'hui ?". Chaque édition est consacrée à l'œuvre d'un invité d'honneur ayant marqué l'histoire scientifique dans cette perspective. Cette quatrième édition était consacrée à Edgar Morin.
Sociologie de la musique et des amateurs
L'écoute de la musique est aujourd'hui la pratique la plus répandue chez les jeunes. Antoine Hennion éclaire les enjeux actuels d'une sociologie du goût musical. Jean-Marc Leveratto nous propose ici une introduction à l'analyse sociologique de la consommation culturelle.
Rencontres avec Edgar Morin : Le Star-System, myth...
Extrait d'une série d'entretiens avec Edgar Morin à l'Institut d'études politiques de Grenoble. Entretien mené par Jean-Pierre Saez,directeur de l'Observatoire des politiques culturelles, et avec la participation de Françoise Benhamou, économiste spécialiste de la culture et des médias.
Le capitalisme, culture américaine ?
Séminaire "existe-t-il une culture américaine ?" Conférence de Pierre Gervais et Jean Heffer organisée le 25 janvier 2007 à l'ENS LSH.
Aux fondements de l'identité de la culture corpore...
A quel moment peut-on dire que la gymnastique est devenue scolaire ? Bien sûr, la loi George de 1880 instituant l'obligation scolaire de la gymnastique est la réponse la plus facile, mais est-elle la plus convaincante ? Au cours du XIXème siècle, des tentatives d'impositions législatives antérieures (1854 Fortoul, Duruy 1869) ont eu lieu. Or, elles-mêmes sont les conséquences d'idées, de courants et d'actions politiques et culturelles plus ou moins abouties qui ont commencés bien avant. Par ailleurs, la nature des pratiques elles-mêmes pose le souci de l'identité scolaire de cet enseignement. Il faut donc remonter le temps et le questionner de manière idoine ! Dès lors, dans cette présentation nous tenterons resituer de manière plus complexe le phénomène « d'intégration » scolaire à travers quatre parties qui s'échelonnent depuis les préoccupations privées et philosophiques de la gymnastique au XVIIIème siècle pour devenir une réelle préoccupation nationale.
Plan :
Introduction
I. L'émergence d'une idée d'éducation physique nationale au regard du patrimoine culturel hexagona
lII. De nouvelles finalités : une EP patriotique (1789-1795)
III. La possibilité d'une autre éducation corporelle ? (1794-1801)
IV. Les réformes napoléoniennes : retour ou progrès ? (1801-1814)
Conclusion
"De la théorie à la pratique de l'anthropologie vi...
"Il existe aujourd’hui un intérêt croissant pour l’anthropologie visuelle, même si personne ne sait très bien ce que c’est. Son nom même est un acte de foi, comme un costume qui a été acheté un petit peu trop grand dans l’espoir de grandir avec. En fait, ce terme recouvre un certain nombre d’intérêts fort différents. Certains conçoivent l’anthropologie visuelle comme une technique de recherche, d’autres comme un champ d’étude, d’autres comme un outil d’enseignement, d’autres encore comme un mode de publication, et d’autres enfin comme une nouvelle approche de la connaissance anthropologique (...)"
"En réfléchissant à l’anthropologie, nous avons tendance à oublier qu’elle est constituée autant par les enquêtes sur le terrain que par l’écriture et la lecture de textes. On pourrait même dire qu’il y a deux anthropologies, l’une s’exprimant largement au travers de la littérature et l’autre, pour une grande part inexprimée. Ces deux perceptions ne sont pas forcément en conflit, mais elles se différencient tellement par les qualités qu’elles appréhendent, et sont cependant si étroitement imbriquées qu’elles peuvent engendrer une certaine perplexité quant à l’anthropologie elle‐même dans l’esprit du chercheur. La première est l’anthropologie de la culture considérée comme méthodique, restrictive et envahissante. Elle est principalement concernée par les continuités consensuelles et systémiques dans la vie des personnes. La seconde est l’anthropologie culturelle envisagée comme fertile, productive et libératrice. Elle considère que la culture a moins d’influence sur les individus, et qu’elle leur offre plutôt les moyens d’entremêler la signification et le sens de soi dans des aspects plus largement partagés de la vie sociale. Son point de départ, et son objectif, est de savoir comment la culture est vécue par ceux qui finissent par lui donner forme et par la recréer pour eux‐mêmes. Il est bien possible qu’elle mette ainsi l’accent sur les aspects que la première anthropologie rejette (…) Cette seconde anthropologie – cette « structure plus intime de la culture » peut ainsi constituer l’un des fondements de l’anthropologie visuelle du futur."
"Le récent intérêt pour l’anthropologie visuelle a deux sources supplémentaires. La première est l’attention croissante portée par les anthropologues aux diverses expressions de la culture visuelle (incluant le film, la vidéo, la télévision), de la production d’images populaires (par exemple, la photographie, la peinture d’enseignes et les affiches) et de l’essentiel de ce qui était autrefois étudié sous la dénomination d’anthropologie de l’art. Ces modes d’expression visuels forment souvent les fils de systèmes culturels plus larges que Barthes décrivait comme les « tresses » de codes différents. A travers tant d’interconnections, l’anthropologie visuelle peut jouer un rôle dans l’étude de la plus grande partie de ce qui n’est pas visuel dans la société humaine. La seconde source d’intérêt pour l’anthropologie visuelle réside dans la capacité des formes visuelles (particulièrement le film et la vidéo) à devenir un médium reconnu de l’anthropologie − un moyen d’explorer les phénomènes sociaux et d’exprimer la connaissance anthropologique (…)"
David Macdougall, « L’anthropologie visuelle et les chemins du savoir », Journal des anthropologues [En ligne], 98-99 | 2004, mis en ligne le 22 février 2009, consulté le 09 février 2012.