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8 résultats pour votre recherche 'tactique'
Tri décroissant par
Des goûts (dégoût ?) d’apprendre
Université Toulouse - Jean Jaurès

La vidéo Des goûts (dégoût ?) d’apprendre propose un excursus, basé sur des extraits de témoignages spontanés. La vidéo permet à l’étudiant de découvrir (par comparaison, par opposition, par mise en perspective, en relation…) les manières dont des personnes très éloignées en âge, en habitude et en statut professionnel déclarent s’organiser lorsqu’elles doivent mémoriser, apprendre, être capable de parler à l’oral en vue d’une performance (orale ou écrite).

La ruée du 21 février - Cours n°1 - Thème n°2 - MO...
Université de Lorraine

"La ruée du 21 février" est le cours n°1 du thème "Verdun, les batailles emboîtées (le déroulement de la bataille)" du Mooc Verdun #1 "Sur les pas des combattants de Verdun : 1916 - 2016" présenté par Rémy Porte, Lieutenant-colonel, Docteur et HDR en Histoire et Référent "Histoire" pour l'armée de terre. 

Le nouveau visage de la guerre - Comment combat l'...
Université de Lorraine

"Comment combat l'armée française en 1918 ?" est un focus proposé par François Cochet, Professeur émérite en Histoire contemporaine, sur la manière dont l’armée française, forte d’une expérience de quatre années de combat, se spécialise, se bat sur le front du saillant de Saint-Mihiel et lors de l’offensive Meuse-Argonne. À l’expérience du combat acquise durant les premières années de guerre du premier conflit, s’ajoute une évolution des armes et des moyens techniques dans les armées françaises, allemandes et américaines. Alors que les capacités de feu surpassent prodigieusement celles de 1914, la nécessité de préserver les hommes s’affirme comme une exigence importante. Le combat tactique évolue. Chaque armée tente à sa façon de s’adapter à la transformation de la bataille, grâce à la formation et à l’équipement spécifique des soldats ainsi qu’à la rigueur des préparatifs. 

Le nouveau visage de la guerre - Comment combat l'...
Université de Lorraine

"Comment combat l'armée américaine en 1918 ?" proposé par Michaël Bourlet, Commandant détaché dans l’Education Nationale nous permet de comprendre comment l’armée américaine, équipée par les armées alliées, novice dans ce type de « guerre des tranchées », parvient à reprendre le saillant de Saint-Mihiel et affronte l’ennemi lors de l’offensive Meuse-Argonne. À l’expérience du combat acquise durant les premières années de guerre du premier conflit, s’ajoute une évolution des armes et des moyens techniques dans les armées françaises, allemandes et américaines. Alors que les capacités de feu surpassent prodigieusement celles de 1914, la nécessité de préserver les hommes s’affirme comme une exigence importante. Le combat tactique évolue. Chaque armée tente à sa façon de s’adapter à la transformation de la bataille, grâce à la formation et à l’équipement spécifique des soldats ainsi qu’à la rigueur des préparatifs.

Le nouveau visage de la guerre - Comment combat l'...
Université de Lorraine

"Comment combat l'armée allemande en 1918 ?" est le point de vue allemand proposé par Nicolas Czubak, historien et membre du service éducatif du Mémorial de Verdun, sur la manière de mener la bataille du saillant de Saint-Mihiel et l’offensive Meuse-Argonne. À l’expérience du combat acquise durant les premières années de guerre du premier conflit, s’ajoute une évolution des armes et des moyens techniques dans les armées françaises, allemandes et américaines. Alors que les capacités de feu surpassent prodigieusement celles de 1914, la nécessité de préserver les hommes s’affirme comme une exigence importante. Le combat tactique évolue. Chaque armée tente à sa façon de s’adapter à la transformation de la bataille, grâce à la formation et à l’équipement spécifique des soldats ainsi qu’à la rigueur des préparatifs.

Le nouveau visage de la guerre - Combattre fin 191...
Université de Lorraine

François Cochet, Professeur émérite en Histoire contemporaine, nous explique en quoi cette bataille se joue selon des modes de combat profondément modernisés par rapport aux techniques employées au début de la Grande guerre. À l’expérience du combat acquise durant les premières années de guerre du premier conflit, s’ajoute une évolution des armes et des moyens techniques dans les armées françaises, allemandes et américaines. Alors que les capacités de feu surpassent prodigieusement celles de 1914, la nécessité de préserver les hommes s’affirme comme une exigence importante. Le combat tactique évolue. Chaque armée tente à sa façon de s’adapter à la transformation de la bataille, grâce à la formation et à l’équipement spécifique des soldats ainsi qu’à la rigueur des préparatifs.

Le nouveau visage de la guerre
Université de Lorraine

À l’expérience du combat acquise durant les premières années de guerre du premier conflit, s’ajoute une évolution des armes et des moyens techniques dans les armées françaises, allemandes et américaines. Alors que les capacités de feu surpassent prodigieusement celles de 1914, la nécessité de préserver les hommes s’affirme comme une exigence importante. Le combat tactique évolue. Chaque armée tente à sa façon de s’adapter à la transformation de la bataille, grâce à la formation et à l’équipement spécifique des soldats ainsi qu’à la rigueur des préparatifs. Ces ressources en histoire contemporaine ont été produites pour l'exposition temporaire "Le nouveau visage de la guerre" proposée au public du Mémorial de Verdun - Champ de bataille, du 4 juillet au 21 décembre 2018. Elle a permis à ce public de découvrir les manières de combattre adoptées par les belligérants à la fin du conflit dans les combats de Saint-Mihiel et de Meuse-Argonne. Les vidéos ont été réalisées avec François Cochet (Professeur des Universités en Histoire Contemporaine), Nicolas Czubak (Enseignant d'Histoire-Géographie, membre du service éducatif du Mémorial de Verdun) et Michaël Bourlet (Ancien officier, docteur en histoire et professeur agrégé). "Le nouveau visage de la guerre - Combattre fin 1918 : l'expérience américaine en Meuse" à reçu le Prix du meilleur film pédagogique 2018 au Festival du Film ANSTIA, Association Nationale des Services TICE et Audiovisuels de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Arts de dire et formes de contrôle en situations d...
Université de Lorraine

« Passages de langues et légitimités linguistiques » est la première partie de la Grande Leçon Arts de dire et formes de contrôle en situations de plurilinguisme. Il est utile d’aborder les problèmes sociologiques touchant au plurilinguisme par l’observation des conditions de circulation entre les langues. Bilinguisme et diglossie sont parmi les formes les plus évidentes de cette circulation. Ils peuvent alors être analysés comme des expressions de rapports sociaux, qui engagent des questions globales de légitimité et de normes et non pas seulement des questions de degrés de maîtrises des langues. L’alternance codique est l’un des phénomènes marquants de ces rapports sociaux. Pour en saisir les contraintes et les ressources, les modèles socio-anthropologiques sont précieux : ils invitent à considérer que ces passages d’une langue à l’autre prennent tout leur sens sur un marché linguistique, qui confère des valeurs différenciées aux pratiques linguistiques, tout simplement parce que les langues en contact sont inégalement ajustées aux situations dans lesquelles les personnes les utilisent.Comprendre comment l’on peut tour à tour subir les contraintes de cadres rigides et formels d’interaction linguistique, puis s’en dégager par des habiletés tactiques, c’est comprendre comment l’alternance codique, loin d’être le symptôme d’un déficit linguistique, est le plus souvent le signe d’une compétence sociale. Le niveau de reconnaissance des langues en contact et leur degré de patrimonialisation pèsent néanmoins sur cette compétence, puisqu’ils offrent aux usagers de ces langues des dispositifs politiques très inégaux pour assumer la légitimité de leurs passages entre les langues.