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La théologie politique (Cours : Averroès 14/15)
Troisième chapitre d'une troisième partie du cours Averroès, intitulée "les conditions de la politique parfaite".
Bien qu'il y ait eu, en terre d'Islam, de nombreux philosophes entre les XIIIe et XVIIe siècles, de l'andalou Ibn Sab'în (XIIIe siècle) jusqu'au perse Molla Sadra (XVIIe siècle), la plupart des recherches s'accordent à dire que c'est Averroès (1126-1198) qui est le dernier philosophe de la civilisation de l'Islam classique. Ce jugement, qui doit être nuancé sur certains points, repose principalement sur l'ampleur du projet qu'il a réalisé, et surtout sur la réception de ce même projet dans l'Occident latin pendant le Moyen Âge.
Théologie et politique dans le Coran (Cours : Guer...
Loin des idées reçues et des lectures apologétiques, ce cours aborde la guerre en Islam à partir de différents textes (religieux, juridiques et politiques) pour montrer la manière dont la réflexion sur ce thème a été conduite depuis la naissance de l’islam au début du VIIe siècle, jusqu’aux évolutions récentes du XXIe siècle.
Tout en analysant les références religieuses qui étaient au fondement de l’émergence de la troisième religion monothéiste, ce cours refuse d’interpréter la guerre en Islam en tant qu’activité exclusivement et nécessairement investie par les dimensions du sacré et de la sainteté. D’où le refus d’utiliser systématiquement la traduction de « jihad » par « guerre sainte », comme cela est présent dans de nombreux usages académiques ou autres.
Le cours explique, au contraire, comment la réflexion sur la guerre a subi la détermination de l’éthique et de la politique, et argumente en faveur de cette lecture par des exemples historiques et par la mise en évidence des pratiques juridiques majeures qui ont aussi bien marqué la représentation de l’ennemi et des frontières, que la conception de la souveraineté et des lois de la conduite de la guerre. La même démarche est suivie pour l’analyse de la transformation contemporaine de la signification du « jihad » et du rôle de la violence en politique. La mise en évidence de ces éléments débouche sur une désessentialisation de ce terme et de l’activité guerrière, permettant ainsi de conduire des comparaisons avec les conceptions universelles qui ont approché la guerre de manière réaliste ou qui l’ont ramené à l’horizon de la morale comme dans la tradition occidentale de la guerre juste.
Entre maison, synagogue et temple : Jésus et la po...
Probablement rédigé aux alentours des années 65-70 du Ier siècle, l'Évangile de Marc est généralement reconnu comme l'évangile le plus ancien parvenu jusqu'à nous. Il est également le deuxième des quatre évangiles retenus dans le canon du Nouveau Testament : le premier et le troisième étant respectivement ceux de Matthieu et de Luc, avec lesquels il forme le groupe des évangiles dits synoptiques, et le dernier celui de Jean. Comme plusieurs chercheurs n'ont manqué de le souligner, le texte de Marc montre un très vif intérêt pour la représentation spatiale de l'activité itinérante de Jésus.
Identité et communautarisme
Yves Michaud, professeur de philosophie et spécialiste d’esthétique, présente très clairement les caractéristiques essentielles des notions suivantes et leurs articulations : individu, groupe, identité, citoyenneté démocratique, communautarisme.
Les vingt dernières minutes sont consacrées aux questions/réponses avec de nombreux exemples, parfois polémiques : les Indiens au Canada, l’âge du droit de vote (ne pourrait-on pas voter à partir de 14 ou 15 ans ?), la charia (lois issues d’une lecture du Coran), la croyance en Dieu et la théologie, etc...
Conférence d’Yves Michaud, philosophe, le 16 novembre 2007, au lycée professionnel La Viste à Marseille.
Changement confessionnel et accès à l'indépendance...
Le 21 mai 1536, l'assemblée des Citoyens de la ville de Genève accepte de se convertir à la Réforme mettant ainsi un terme au processus d'indépendance politique et religieuse entamé au début du XVIe siècle. Depuis 1517, les nouvelles idées réformées inspirées par Luther se répandent à travers le Saint Empire romain germanique gagnant peu à peu le reste de l'Europe. Sous l'influence de différents prédicateurs, les principes luthériens se diversifient et donnent naissance à des courants théologiques variés. À Genève, ce sont les idées de Guillaume Farel et de Jean Calvin qui influencent les nouvelles pratiques religieuses. Pour les Genevois, le changement confessionnel entérine la scission d'avec l'Église catholique romaine et coïncide avec la fin de la dépendance politique de la cité envers le prince-évêque et le duché de Savoie.
Léon IX - un homme, une légende
Portrait du Pape Léon IX, né en 1002 en Alsace, cousin de l'Empereur, chef de guerre, poète et musicien. Durant les cinq années de son pontificat, il ne passe que neuf mois à Rome et voyage à travers l'Europe pour engager l'Eglise dans une profonde réforme politique et théologique à l'issue de la période la plus sombre du Moyen Age : affirmation de la suprématie pontificale, restauration de la discipline et du célibat au sein du clergé, refus de la vie de cour, condamnation des simonies... Un film sous forme d'enquête.
Conclusion (Cours : Averroès 15/15)
Bien qu'il y ait eu, en terre d'Islam, de nombreux philosophes entre les XIIIe et XVIIe siècles, de l'andalou Ibn Sab'în (XIIIe siècle) jusqu'au perse Molla Sadra (XVIIe siècle), la plupart des recherches s'accordent à dire que c'est Averroès (1126-1198) qui est le dernier philosophe de la civilisation de l'Islam classique. Ce jugement, qui doit être nuancé sur certains points, repose principalement sur l'ampleur du projet qu'il a réalisé, et surtout sur la réception de ce même projet dans l'Occident latin pendant le Moyen Âge.
Plan du cours :
- Introduction
- Première partie : une biographie politique
- Le philosophe et le politique
- Le milieu intellectuel andalou et le projet d'Averroès
- Averroès et les traditions de pensée politiques de l'islam classique
- La fondation de la science politique : le paradigme médical
- Deuxième partie : la cité parfaite
- La théorie des excellences humaines
- Le statut du roi-philosophe
- Les attributs de la cité parfaiteLes régimes injustes
- Troisième partie : les conditions de la politique parfaite
- L'éducation des citoyens
- La philosophie et la religion : l'interprétation du texte coranique
- La théologie politique
- Conclusion
Introduction (Cours : Averroès 1/15)
Bien qu'il y ait eu, en terre d'Islam, de nombreux philosophes entre les XIIIe et XVIIe siècles, de l'andalou Ibn Sab'în (XIIIe siècle) jusqu'au perse Molla Sadra (XVIIe siècle), la plupart des recherches s'accordent à dire que c'est Averroès (1126-1198) qui est le dernier philosophe de la civilisation de l'Islam classique. Ce jugement, qui doit être nuancé sur certains points, repose principalement sur l'ampleur du projet qu'il a réalisé, et surtout sur la réception de ce même projet dans l'Occident latin pendant le Moyen Âge.
Plan du cours :
- Introduction
- Première partie : une biographie politique
- Le philosophe et le politique
- Le milieu intellectuel andalou et le projet d'Averroès
- Averroès et les traditions de pensée politiques de l'islam classique
- La fondation de la science politique : le paradigme médical
- Deuxième partie : la cité parfaite
- La théorie des excellences humaines
- Le statut du roi-philosophe
- Les attributs de la cité parfaite
- Les régimes injustes
- Troisième partie : les conditions de la politique parfaite
- L'éducation des citoyens
- La philosophie et la religion : l'interprétation du texte coranique
- La théologie politique
- Conclusion
Philosophes (Les philosophes et la bible, 1/4)
À partir du XVIe siècle, toute une série de thèmes empruntés à l’Écriture Sainte passent d’une philosophie à l’autre. Il peut s’agir de la Providence, de l’existence de Dieu, de l’État des Hébreux comme modèle politique, ou encore de la tolérance et de la liberté de conscience. La philosophie a donc à nous dire sur la Bible quelque chose d’irréductible à la théologie et à l’érudition philologique.
Parmi les philosophes de l’époque moderne qui se sont intéressés à la Bible ou aux personnages bibliques, nous avons choisi ceux qui sont susceptibles de représenter un certain nombre de positions clés : l’apologétique, l’interprétation rationaliste et ses différentes variantes, la lecture morale et l’usage politique enfin.
Cette sélection permet à la fois de lire ces philosophes classiques sous un angle peu abordé par l’histoire de la philosophie et de considérer sous un jour nouveau le rapport entre rationalisme et sécularisation.